Ryôgoku / Asakusa

Mardi 3 août, réveil à 7h, on commence à prendre le bon rythme. Aujourd’hui comme le titre l’indique, le programme est consacré à la visite de deux quartiers de Tôkyô, Ryôgoku et Asakusa.

Petit bonus qu’il n’y aura peut-être pas à chaque fois, une carte de notre ballade :
carte de la ballade Ryôgoku / Asakusa

A 10h, nous partons mais arrivé à la station Nippori, mon frère réalise qu’il n’a pas pris sa carte de transport SUICA. 30 bonnes minutes de perdu. Nous profitons de ce temps pour demander à une commerçante de la gare où se trouve la ligne Keihintohoku que nous sommes sensés prendre car elle n’est indiquée nulle part. Elle nous explique qu’en fait elle est tout simplement sur le même quai que la Yamanote. En vrai, on n’avait pas complètement compris son explication mais on a percuté en voyant les panneaux en bas de l’escalator qui mène au quai, c’est pas simple le métro tokyoïte. Nous arrivons donc sur place aux environs de 11h. Nous avons aperçu le stade sumotori depuis le train, nous trouvons donc facilement notre premier objectif, le Ryôgoku Kokugikan. Nous nous dirigeons vers lui mais ne trouvons pas l’entrée du musée, apparemment il fallait entrer via le stade au début de la rue. Comme nous tombons sur un parc dont j’ignorais l’existence suite à mes recherches, nous décidons de modifier un peu le programme et l’ordre des choses. Nous commençons donc notre visite par l’ancien jardin Yasuda où il y avait malheureusement pour nous quelques travaux d’installations pour des festivités donc au final nous n’avons pas de clichés de certains éléments. Consultez la totalité des photos du parc en suivant le lien dans l’image ci-dessous :

Nous retournons donc ensuite vers le Ryôgoku Kokugikan. A l’intérieur, nous trouvons le musée mais il était interdit de prendre des photos (aucune surveillance de leur part mais on respecte les japonais donc vous n’en verrez pas). Le musée est assez petit et nous en ferons le tour plus rapidement que prévu. L’entrée est gratuite et pour ce prix là vous avez droit à des estampes, des photos, des manuscrits sur l’histoire des sumos. Vous avez même un écran de télé qui diffusent des combats. On fait le tour complet du stade (impossible de rentrer à l’intérieur, il faudrait pour cela revenir en septembre pour la prochaine compétition) et notons la présence de nombreux journalistes. On croise même des sumotoris en yukata (pas de photo non plus, c’est malpolie). L’ensemble des photos en cliquant ci-dessous :

Nous nous rendons ensuite au musée Edo-Tôkyô situé juste derrière. Il s’agit d’un musée qui propose de redécouvrir le Tôkyô de l’ère Edo sous la forme de maquettes, reproductions grandeur nature et divers objets d’époque (estampes, manuscrits,…). La visite du musée nous a pris environ 1h30, c’est dire si il y a des choses à voir et cela ne vous coûtera que 600 yens l’entrée avec possibilités de rentrer et sortir plusieurs fois dans la même journée. Cliquez sur la photo du musée pour voir l’ensemble des photos (certaines sont ratées, j’en assume l’entière responsabilité, j’ai tout fait en manuel, même si je n’étais clairement pas aidé par mon vieil appareil et les conditions avec bcp de surexpositions et l’interdiction au flash pour la majeur partie du musée).

A bientôt 14h, la faim se faisait sentir et nous nous sommes mis à la recherche d’un petit restaurant pas trop cher. Nous avons trouvé notre bonheur tout près de la station Ryôgoku de la Sobu Line. L’appel de l’estomac m’a encore fait oublier de prendre la photo mais j’y ai pensé en sortant et j’ai pris la photo de mon Kimuchi Gyûdon (Bol de riz couvert de boeuf et de kimuchi) à 360 yens sur le menu.

Notre estomac bien rempli, nous partons en direction d’un temple aperçu lors de notre passage matinal dans le parc Yasuda et arrivons ainsi au parc Yokoami-cho koen où l’on trouve donc un grand temple surplombé d’une pagode à 3 étages ainsi que des sculptures sur les effets des bombardements de 1945. Cliquez sur la photo pour voir l’ensemble des photos.

Nous sommes donc ensuite parti en direction du quartier Asakusa avec la ferme intention de faire un détour par la brasserie Asahi situé au bord de la rivière Sumida. Mon amie aimait alors l’idée de s’y arrêter pour boire une petit bière et c’est ainsi que nous nous retrouverons au 22F (étage) du building de la brasserie pour prendre une bonne bière fraîche avec une vue panoramique sur les environs. On pouvait donc voir le quartier Asakusa tout proche sur la gauche, et sur la droite la grande tour en construction, la Tokyo Sky three. Quelques photos de ce rapide moment de détente ci-dessous :

Il est maintenant 16h et nous nous dirigeons vers le quartier d’Asakusa. Comme nous l’avions vu de haut, il n’a pas été bien difficile de le trouver. Comme je m’y attendais l’endroit est rempli de touristes, il est plus que difficile de prendre de bons clichés dans ces conditions mais voici tout de même le résultat de mes efforts.

Nous sommes ensuite rentrés sur Nippori pour nous reposer un peu. Je trouverai le courage de finir ma journée par un petit live du B5 des AKB48 vécu depuis la pièce juxtaposée au théâtre via un écran géant. Un bien beau moment avec l’anniversaire de Masuda Yuka. J’espère avoir bientôt moi aussi la chance de pénétrer dans ce théâtre.

Journée d’acclimatation ^_^

Deuxième jour au Japon (la vraie première journée), réveil à 5h. Le soleil tape déjà très fort à travers la fenêtre, impossible de se rendormir. Vers 6h, tout le monde est levé. Comme nous n’avons pas pris le nécessaire la veille, on file au combini du coin pour acheter de quoi petit-déjeuner. On déjeune entre 7h et 8h, la cuisine commune est déjà bien vide. Ensuite, on se branche sur Internet avec nos restes de batterie pour prendre rendez-vous avec un ami (issen) déjà sur place. Le rendez-vous est donné pour 10h sortie Hachiko, station de Shibuya.

On arrive sur place vers 9h50 et on commence à attendre. On s’étonne de voir autant d’uniformes scolaires alors que le Japon est actuellement en période de vacances d’été, sans doute un moyen plus facile de se reconnaître dans la foule ? On attend lorsqu’un petit couple de japonais nous accoste à grand coup de “Europa ?”. On répond “hai. furansujin.”, grand sourire il enchaîne avec un “Nice ?”. On répond “Paris” et tout confus il nous quitte. Apparemment on est pas les seuls français dans le coin ! Vers 10h30, toujours pas de Issen en vu… On se dit qu’on devrait peut-être aller jeter un oeil du côté de la statue Hachiko (statue dédiée à un chien qui est célèbre pour avoir attendu son maître à cet endroit précis même après la mort de celui-ci) et on l’y trouve effectivement. En fait, il a pas pris la bonne sortie et a fait le tour complet de la station, on a bien failli se louper… Comme quoi c’est bien pratique un téléphone portable !

La journée est consacrée à l’achat de plusieurs choses importantes, des adaptateurs pour prise japonaise et des places de concert à venir. On se dirige donc tout d’abord au Shibuya 109 (grand magasin de mode) où l’on trouve au 2F (second étage japonais mais premier étage français, au Japon point de rez-de-chaussée) une boutique de billets, Ticket Port STATION. Bien évidemment, on ne la voit pas et on finit par demander à une vendeuse qui nous indique le chemin. C’était pas compliqué en fait mais il faut le savoir. Le magasin se trouve en effet à l’extérieur de la galerie, il faut donc sortir via une porte sur le côté. Là, on achète deux billets pour le Tokyo Idol Festival qui aura lieu le dimanche 8 août à Shinagawa (quartier de Tôkyô), un pour moi l’autre pour Issen.

Direction ensuite le magasin HMV aperçu en chemin. Enfin, j’ai l’occasion de visiter en réel un magasin sur lequel je commande souvent en ligne. A l’intérieur, c’est une vraie boucherie, je ressors au final avec un mook (magazine) et 7 CDs. Jugez plutôt (trouveras-tu l’intrus ?).

Comme je n’ai pas trouvé un visual book qui m’intéressait au HMV, on file au Tsutaya tout près, normal. Là, je fais preuve d’un grand courage et ne ressort qu’avec le visual book visible ci-dessous. Team B Oshi \o/

Retour à la station de métro et direction Harajuku pour trouver une boutique de revente de billets. On trouve sans trop de difficultés grâce aux indications trouvables en ligne mais nous n’avons point vu de 7-eleven, peut-être a-t-il disparu ? A l’intérieur, nous trouvons nos précieux sésames, des places pour les concerts du “HP! Summer” et de “Buono!” mais les billets pour Buono! tout juste mis en vente sont encore bien trop cher à mon goût. On prend donc 3 billets pour le HP!Summer du samedi 7 août à 19.000~20.000 yens (deux rang 16 et un 21). En fait, un pour moi et deux pour des amis (Seasher et Albatruc) qui arrivent le lendemain.

On recherche ensuite un petit coin pour manger mais on ne trouve que des restos de nourritures étrangères ou trop chers à notre goût. Comme on passe par hasard devant le Soccer Sho Kamo (magasin dédié au football) où j’avais prévu de me rendre, on y passe vite fait. J’en ressors avec un maillot d’entraînement et une écharpe de mon club japonais préféré, les Kashima Antlers. Au départ, je voulais soit un strap soit un porte clé mais ils étaient trop moches.

Toujours affamés, on remonte dans le métro direction Akhabara, le quartier de l’électronique. On cherche et trouve assez facilement le magasin Softmap où l’on trouvera sans problème, grâce à Issen déjà venu en éclaireur pour le même topo, nos adaptateurs tant attendus. On se pose ensuite dans un petit restaurant pas très cher. C’est le type de restaurant où on repère sur le menu ce que l’on veut et on le commande sur une machine qui nous donne un papier à poser ensuite au comptoir. Pour 410 yens, je m’offre donc un Karedon et profite du distributeur d’eau fraîche gratuite. J’ai malheureusement oublié de prendre le plat en photo, j’ai pas encore le réflexe. Enfin, nous sommes allés faire un tour du côté du Don Quichote, immeuble où les AKB48 et SDN48 se produisent régulièrement et où l’on trouve aussi une boutique officiel AKB et des salles d’arcades ou magasins pour Otaku. En voici un petit cliché.

Derrière, on est rentré car la chaleur et le décalage horaire nous affectent encore un peu. Pour finir je vous offre un petit cliché de mon repas fort équilibré du soir, un melon pan.

Japon me voilà (enfin) !

Ce matin, je suis donc enfin arrivée à Narita, aéroport international de Tôkyô, à 7h20 heure locale ! Enfin, après 1 an de préparation, me voici enfin lancé dans un vieux rêve. Bon, revenons un peut toutefois sur cette première journée qui a été très éprouvante.

Bien évidemment, je n’ai pas pu dormir la veille du départ (normal penserons peut-être certains). Je suis parti à samedi 10h50 heure française. Aux environs de 12h, je faisais une petite escale à Frankfurt en Allemagne. Pour la forme, en voici un petit cliché :

Ensuite, c’est donc le vol direct pour le japon avec l’arrivée à l’heure annoncé un peu plus haut. Au passage, je me suis même fait deux amis, un vieux couple de retraités assis à côté de moi dans l’avion et avec qui j’ai réussi à échanger en japonais pendant 2 bonnes heures. En leur détaillant mon voyage (le côté touristique j’entends), j’ai ainsi pu apprendre que la femme était de Nagoya et son mari de Takayama, deux villes où je vais me rendre donc. Leur conseil avant de me quitter a été “rends-toi absolument dans un onsen”, je compte bien y répondre favorablement. Voici donc la première image à mon arrivée sur place :

Ensuite, j’ai du attendre. Oui, attendre et ce fut très long. Mon programme, acheter un carte de téléphone et faire une photocopie de mon passeport pour la guesthouse en attendant l’arrivée de mes deux comparses, la première à 11h et le second à 14h40. Au final, j’ai du faire deux fois le tour complet de l’aéroport et cela m’a d’ailleurs donné l’occasion de croiser l’incroyable fanboyisme japonais avec des supporters de Chiba venus en masse pour saluer leur équipe apparemment dans l’un des avions sur la piste…

Mais comme rien ne se passe jamais comme prévu, les ennuis ont fusé :/

L’avion de mon second comparse (mon frère) a eu 30 minutes de retard auxquelles il a fallu ajouter 2h d’attente pour le check-in… Bref j’ai attendu comme un con son arrivée à la sortie du terminal 1 pendant 2h. Ensuite, direction l’agence principale JR de l’aéroport pour faire le pass train NEX+carte suica à 3.500 yens et activer les JR Pass. Encore une fois, beaucoup d’attente et au final point d’activation des JR Pass, trop marre. On file à Nippori notre point de chute où devra nous attendre notre hôte que j’ai appelé un peu plus tôt pour le prévenir de notre arrivée. Sur place, au bénéfice du doute on fait même l’économie du trajet Tôkyô (station) -> Nippori, on a pas vu où se trouvait les bornes de validation en sortant du Narita Express… Voici d’ailleurs un petit cliché de ce moyen de transport fort luxueux :p

Je rappelle notre hôte pour le prévenir de notre arrivée à la station Nippori, on va devoir attendre encore 30min… Au bout de 40 minutes d’attente, toujours personne, je rappelle de nouveau et il finit par arriver 5 minutes plus tard. Il nous fait d’ailleurs le reproche d’être en retard par rapport à l’heure prévu au départ. T’es gentil mais je contrôle pas le destin des avions et des douanes japonaises… En plus son anglais est affreux, je vous dis pas comment j’ai eu du mal à me faire comprendre au téléphone…

Au final, nous voilà dans notre chambre à 20h passée… on est crevés… D’ailleurs je vais me coucher et je vous offre un petit cliché de la chambre en guise d’amuse gueule. A demain.

Alsace, je t’épouserai !

Dernièrement, je me suis donc rendu, comme l’indique si bien mon titre, en Alsace pour le mariage de mon meilleur ami. Comme j’ai de la chance, j’étais même témoin !

Je suis arrivé sur Strasbourg le mardi en début d’après-midi. Dès mon arrivée, les festivités commençaient… courses pour les jours à venir et nettoyage d’un sous-sol pour accueillir plusieurs invités. Qui a dit que je débarquais en touriste ?

Le lendemain, une grosse journée nous attendait avec au programme Europa-Park (parc d’attractions situé en Allemagne) et enterrement de vie de garçon.

Commençons donc par une petite photo de l’entrée du parc en question :

Europa-ParkSi vous cliquez sur l’image, vous aurez accès à l’ensemble de mes photos du parc.

On commençait doucement avec le “Matterhorn-Blitz” suisse, une attraction un peu courte. Derrière, alors qu’on a déjà distribué des pistolets à eau, on choisissait une attraction qui mouille, le “Poseidon” grec. Grâce à une âme fortement attentionnée, j’en sortirai littéralement trempé jusqu’aux os. On filait ensuite en Russie pour s’essayer à “Euro-Mir”, une attraction un peu longue à partir avec une montée interminable où l’on tourne en rond mais qui offre un final fort sympathique. Nous continuions ensuite notre petit tour d’Europe avec le Portugal. Cette fois-ci point d’attractions mais pour certains c’était l’occasion de profiter des retombées aquatiques de la “douche atlantica”. On se dirigeait enfin vers une attraction à sensation forte, le “blue fire megacoaster” islandais. C’est dans cette attraction que je découvrais un concept tout à fait original, on avait le choix entre 2 files : la file du premier rang et la file pour les rangs suivants. Autre concept intéressant, il y avait possibilité de laisser ses affaires (sac et co) dans un grand box qui se fermait ensuite le temps de l’attraction et se rouvrait à notre sortie. Devant les sensations extrêmes qui nous attendaient avec grand looping et vrilles à répétition, certains avaient préféré aller se poser dans un café avoisinant. L’attraction finie nous nous posions quelques minutes avec les récalcitrants. On entamait ensuite une petite ballade avant de se décider à faire l’attraction autrichienne “Les rapides du Tyrol”. Pas franchement emballé par celle-ci, j’en profitais pour quitter mes compagnons pour faire le tour du parc et multiplier les clichés. Lorsque je les rejoignais à la sortie de leur attraction, de nouveaux les avis divergés. Je choisissais le camps des téméraires et prenais la direction de l’attraction ultime le “silver star”. Celle-ci bien savourée, il était malheureusement déjà l’heure d’y aller afin de récupérer les derniers invités à la gare de Strasbourg…

Le soir donc, changement de décors radical. Nous attaquions tout d’abord la soirée avec un restaurant spécialisé dans les flammeküches, le Flam’s. Au menu, des flammes bien évidemment mais à volonté : la traditionnelle, la gratinée, la tartiflette, la forestière, la barcelonaise et la munster. Pour bien diriger tout ça rien de mieux que 2 girafes de bière et de picon. En dessert, par gourmandise, on se laissera tenter par une glace Iceberg. Derrière, le programme prévoyait un bar karaoké mais nous étions semble-t-il trop nombreux… Par dépit (et par fatigue aussi un peu à cause des fortes chaleurs de la journée), nous atterrissions finalement dans un bar à chicha. Après avoir tiré quelques lattes et but mon thé samouraï (on se refait pas), nous rentrions en taxi pour nous coucher.

Jeudi, on se réveillait pépère vers 10h du matin. Direction la maison de la grand-mère de la mariée pour un petit brunch entre fêtards des soirées d’enterrement. L’ambiance y était bonne enfant, on faisait tranquillement connaissance avec les demoiselles amies de la mariée. L’après-midi deux programmes totalement opposés nous attendaient. Pour les filles, les thermes Caracalla en Allemagne. Pour les garçons, paintball dans la banlieue strasbourgeoise. J’en sortirai plein de peintures un peu partout. Chacun rentrait ensuite de son côté. Pour ma part, je suivais avec un petit entrain l’autre témoin (un ami de lycée) et notre hôte, barman, dans une petite tournée des bars de Strasbourg. Nous n’en ferons que deux au final mais l’aventure se terminera tout de même à 4h du matin.

Vendredi, réveil difficile vers 11h. Au programme de la journée, mise en place de la salle de réception pour l’après mariage. Rien de bien transcendant quoi. Le soir fous que nous sommes nous remettions une nouvelle fois la tournée des bars à l’affiche, uniquement dans le bar de notre hôte cette fois-ci et avec une rentrée à une heure moins tardive vers 2h.

Samedi, c’était le grand jour. On se réveillait encore difficilement vers 6h du matin. Direction l’appartement du futur marié avec au programme coiffeur et habillage. Arrive enfin le moment fatidique avec le mariage à la mairie. Celui-ci fait, nous prenions la direction de la chapelle prévue pour le mariage. Arrivée sur place, je suis chargée de l’organisation pendant que les mariés se font photographier. En préparant la cérémonie, on se rend vite compte qu’il manque quelque chose. Le lecteur CD et le CD des morceaux prévus plus la prière universelle (que je devais lire) avait été oubliés par la famille du marié. 30 minutes de retard donc. La cérémonie se déroulait ensuite dans la plus pure tradition et se concluait avec un petit pot dans une salle avoisinante. Ensuite, pour la famille proche c’était directement la salle des fêtes. La soirée était particulièrement réussie. S’enchaînaient avec brio jeux, chansons/danses et repas par étape. On finissait même par un ovni, la chanson d’Albert l’alsacien. Jugez plutôt :

Le lendemain, après une nouvelle nuit trop courte, on se retrouvait vers 14h pour fêter l’anniversaire de la grand-mère de la mariée et ranger/nettoyer la salle.

Lundi, j’étais l’un des rares à ne pas être parti. J’en profitais donc pour faire la visite de la ville d’Obernai avec la famille du marié avec à la fin un petit détour par la boutique fabrique de pain d’épice Fortwenger de Gertwiller. Ci-dessous vous pouvez voir l’ensemble de mes photos de cette journée en cliquant sur l’image :

Obernai

Et ce fut donc le lendemain, le mardi, que je rentrai enfin sur Paris. Une bien belle semaine mais épuisante.

Petit tour par Dijon

Le 8 juillet, en me rendant en Franche-Comté, j’ai dû faire une halte à Dijon pour 3 heures. Malgré un gros sac sur le dos, je me suis fait un rapide tour de la ville en photo. Retrouvez ci-dessous le lien vers celles-ci :

Noël, jour de l’an à Strasbourg !

Pour les fêtes de fin d’année, je suis donc retourné chez mon ami à Strasbourg. Je suis arrivé le 23 décembre sur place. J’avais pensé aller voir le désormais célèbre marché de noël mais celui-ci finissait lors je suis arrivé. De plus, mes amis sur place m’ont déconseillé d’y aller pour la simple et bonne raison que cela est devenu trop commercial. Est très vite arrivé le jour de noël où nous avons eu le plaisir d’avoir de la neige en grand quantité ! Autant dire que cela m’a fait énormément plaisir car je n’avais plus vu de la neige depuis un certain nombre d’année.
Pour cadeau, j’eus droit à ma grande surprise à autre chose que des chocolats (j’en ai eu quand même, miam) : un magnifique livre sur l’architecture japonaise, « Vivre au Japon ».

mon cadeau 😀

Derrière les soirées s’enchaînaient un peu partout. Puis arrivait le jour de l’an avec au programme, une petite soirée fondue de chocolat. Tout plein d’accompagnement pour cette fondue comme des fruits (banane, pomme…) et du chamalow, miam miam 😀
Un peu avant minuit, nous partions à une soirée organisée dans une péniche, ambiance danse floor. A l’intérieur, deux ambiances : rétro ou techno. Après seulement dix pas, j’avais déjà croisé un petit groupe de japonais ! Nous nous installions dans le carré rétro où une table confortable nous attendait. Nous commandions rapidement une bouteille de vodka qui nous fut servie avec des bonbons en apéritif. Minuit arrivant, ce fut le moment des folles embrassades. La nuit fut ensuite consacrée exclusivement à la danse et c’est finalement vers 5h du matin que nous regagnions notre foyer.

Le 2 janvier, je prenais enfin le temps de prendre des clichés de la ville en allant un peu partout. Le 3 fut le jour de mon retour sur la banlieue parisienne. Mes photos sont disponibles en cliquant sur l’image ci-dessous, enjoy ^^

Un petit tour à Kehl

Pour les vacances de la Toussaint, je suis allé voir un très bon ami à moi installé sur Strasbourg et, au cours d’une journée, on a en profité pour aller faire un petit tour à la frontière allemande, à Kehl.
Voir les quelques clichés que j’ai pris ce jour-là :

Catalunya, Tossa de Mar

Pour mon 2ème jour en Catalunya, nous avons pris la direction d’une ville proche de Lloret de Mar, Tossa de Mar. Nous trouvons dans cette ville l’une des murailles médiévales les plus importantes de la Costa Brava.
Voici quelques photos souvenirs de la ville :

Tossa de Mar

 

Tossa de Mar

 

Tossa de Mar