Oui, oui ça fait bien longtemps que je n’ai pas posté sur mon blog. J’accumule même les nombreux billets dans l’espace brouillon mais ne soyez pas impatient ça va finir par arriver d’ici peu, je vous le promets. Bientôt la totalité de mon voyage 😉
En attendant, le week-end dernier, j’ai eu l’occasion de me rendre dans la nouvelle salle d’arcade qui s’est ouverte du côté de Nation à Paris. Et j’en suis revenu plus que satisfait. Je commence déjà par vous donner l’adresse et ensuite je détaille un peu l’endroit. C’est donc au 10 rue des immeubles industriels 75011 Paris. C’est ouvert du lundi au samedi, de 12h à 22h.
L’entrée est assez commune, c’est une salle grande baie vitrée avec une petite affichette sur la porte d’entrée pour indiquer le nom du lieu. Mais, à l’intérieur, c’est une tout autre histoire !
Déjà, commençons par le rez-de-chaussée. Vous y trouvez la caisse où vous pourrez acheter un bon petit café fait sur place. Pour le reste de la salle, ce ne sont pratiquement “que” des bornes de jeux de baston : Street Fighter 3.3, Super Street Fighter 4, Blaz Blue CS, Tekken 6… Bref, le paradis si vous êtes fan de ce type de jeu. En plus, combien la partie me direz-vous ? Réponse en photo :
Et comme vous pouvez le voir, c’est même moins cher (pour certaines bornes) qu’au Japon ! Comparé au 2 € qui est la pratique habituelle en France, ça fait une sacrée différence ! Concernant les conditions de jeu maintenant, c’est comme au Japon (une première en France je crois bien), on retrouve des bornes dos à dos liées entre elles permettant ainsi de jouer en face de son adversaire et sans que ni l’un ni l’autre ne voit l’écran adverse ! Nouvelle preuve en image :
Trop de monde devant la borne et pas envie de rester debout comme un con à attendre 1h. Pas de problème, y’a de quoi se poser et c’est plus que confortable :
Passons maintenant au sous-sol. Vous y trouverez différents types de jeu, des shmups, du jeu de baston et une borne DDR. En détail, ça donne ça : Street Fighter 2 HD Remix, ESPgaluda 2, DoDonPachi, Metal Slug X, Alien VS Predator etDance Dance Revolution X. Concernant cette dernière, la partie coûte 1 € pour 1 joueur et 2 € pour 2 joueurs, faut dire qu’à entretenir ça doit pas coûter le même prix ! Et en photo, ça donne ça :
Vous l’avez compris, si vous êtes fan de jeux-vidéo et de bonnes conditions de jeu à la japonaise, c’est désormais THE PLACE TO BE ! Sur ce, je retourne m’entraîner à DDR o/
Dernièrement, je me suis donc rendu, comme l’indique si bien mon titre, en Alsace pour le mariage de mon meilleur ami. Comme j’ai de la chance, j’étais même témoin !
Je suis arrivé sur Strasbourg le mardi en début d’après-midi. Dès mon arrivée, les festivités commençaient… courses pour les jours à venir et nettoyage d’un sous-sol pour accueillir plusieurs invités. Qui a dit que je débarquais en touriste ?
Le lendemain, une grosse journée nous attendait avec au programme Europa-Park (parc d’attractions situé en Allemagne) et enterrement de vie de garçon.
Commençons donc par une petite photo de l’entrée du parc en question :
Si vous cliquez sur l’image, vous aurez accès à l’ensemble de mes photos du parc.
On commençait doucement avec le “Matterhorn-Blitz” suisse, une attraction un peu courte. Derrière, alors qu’on a déjà distribué des pistolets à eau, on choisissait une attraction qui mouille, le “Poseidon” grec. Grâce à une âme fortement attentionnée, j’en sortirai littéralement trempé jusqu’aux os. On filait ensuite en Russie pour s’essayer à “Euro-Mir”, une attraction un peu longue à partir avec une montée interminable où l’on tourne en rond mais qui offre un final fort sympathique. Nous continuions ensuite notre petit tour d’Europe avec le Portugal. Cette fois-ci point d’attractions mais pour certains c’était l’occasion de profiter des retombées aquatiques de la “douche atlantica”. On se dirigeait enfin vers une attraction à sensation forte, le “blue fire megacoaster” islandais. C’est dans cette attraction que je découvrais un concept tout à fait original, on avait le choix entre 2 files : la file du premier rang et la file pour les rangs suivants. Autre concept intéressant, il y avait possibilité de laisser ses affaires (sac et co) dans un grand box qui se fermait ensuite le temps de l’attraction et se rouvrait à notre sortie. Devant les sensations extrêmes qui nous attendaient avec grand looping et vrilles à répétition, certains avaient préféré aller se poser dans un café avoisinant. L’attraction finie nous nous posions quelques minutes avec les récalcitrants. On entamait ensuite une petite ballade avant de se décider à faire l’attraction autrichienne “Les rapides du Tyrol”. Pas franchement emballé par celle-ci, j’en profitais pour quitter mes compagnons pour faire le tour du parc et multiplier les clichés. Lorsque je les rejoignais à la sortie de leur attraction, de nouveaux les avis divergés. Je choisissais le camps des téméraires et prenais la direction de l’attraction ultime le “silver star”. Celle-ci bien savourée, il était malheureusement déjà l’heure d’y aller afin de récupérer les derniers invités à la gare de Strasbourg…
Le soir donc, changement de décors radical. Nous attaquions tout d’abord la soirée avec un restaurant spécialisé dans les flammeküches, le Flam’s. Au menu, des flammes bien évidemment mais à volonté : la traditionnelle, la gratinée, la tartiflette, la forestière, la barcelonaise et la munster. Pour bien diriger tout ça rien de mieux que 2 girafes de bière et de picon. En dessert, par gourmandise, on se laissera tenter par une glace Iceberg. Derrière, le programme prévoyait un bar karaoké mais nous étions semble-t-il trop nombreux… Par dépit (et par fatigue aussi un peu à cause des fortes chaleurs de la journée), nous atterrissions finalement dans un bar à chicha. Après avoir tiré quelques lattes et but mon thé samouraï (on se refait pas), nous rentrions en taxi pour nous coucher.
Jeudi, on se réveillait pépère vers 10h du matin. Direction la maison de la grand-mère de la mariée pour un petit brunch entre fêtards des soirées d’enterrement. L’ambiance y était bonne enfant, on faisait tranquillement connaissance avec les demoiselles amies de la mariée. L’après-midi deux programmes totalement opposés nous attendaient. Pour les filles, les thermes Caracalla en Allemagne. Pour les garçons, paintball dans la banlieue strasbourgeoise. J’en sortirai plein de peintures un peu partout. Chacun rentrait ensuite de son côté. Pour ma part, je suivais avec un petit entrain l’autre témoin (un ami de lycée) et notre hôte, barman, dans une petite tournée des bars de Strasbourg. Nous n’en ferons que deux au final mais l’aventure se terminera tout de même à 4h du matin.
Vendredi, réveil difficile vers 11h. Au programme de la journée, mise en place de la salle de réception pour l’après mariage. Rien de bien transcendant quoi. Le soir fous que nous sommes nous remettions une nouvelle fois la tournée des bars à l’affiche, uniquement dans le bar de notre hôte cette fois-ci et avec une rentrée à une heure moins tardive vers 2h.
Samedi, c’était le grand jour. On se réveillait encore difficilement vers 6h du matin. Direction l’appartement du futur marié avec au programme coiffeur et habillage. Arrive enfin le moment fatidique avec le mariage à la mairie. Celui-ci fait, nous prenions la direction de la chapelle prévue pour le mariage. Arrivée sur place, je suis chargée de l’organisation pendant que les mariés se font photographier. En préparant la cérémonie, on se rend vite compte qu’il manque quelque chose. Le lecteur CD et le CD des morceaux prévus plus la prière universelle (que je devais lire) avait été oubliés par la famille du marié. 30 minutes de retard donc. La cérémonie se déroulait ensuite dans la plus pure tradition et se concluait avec un petit pot dans une salle avoisinante. Ensuite, pour la famille proche c’était directement la salle des fêtes. La soirée était particulièrement réussie. S’enchaînaient avec brio jeux, chansons/danses et repas par étape. On finissait même par un ovni, la chanson d’Albert l’alsacien. Jugez plutôt :
Le lendemain, après une nouvelle nuit trop courte, on se retrouvait vers 14h pour fêter l’anniversaire de la grand-mère de la mariée et ranger/nettoyer la salle.
Lundi, j’étais l’un des rares à ne pas être parti. J’en profitais donc pour faire la visite de la ville d’Obernai avec la famille du marié avec à la fin un petit détour par la boutique fabrique de pain d’épice Fortwenger de Gertwiller. Ci-dessous vous pouvez voir l’ensemble de mes photos de cette journée en cliquant sur l’image :
Et ce fut donc le lendemain, le mardi, que je rentrai enfin sur Paris. Une bien belle semaine mais épuisante.
Après de longs mois d’absences dûs à mon boulot (dans la vraie vie) et sur mon site internet, je reviens enfin sur mon blog pour vous narrer mes pérégrinations.
Pour ceux qui se poseraient la question, le titre en japonais signifie “je suis vivant”.
Au programme dans les jours à venir :
– Mes ressentis par rapport à Japan Expo (j’ai mis en ligne des reportages sur l’ensemble du festival d’un point de vue général sur mon site internet, vous aurez donc ici les ressentis de mon côté fanboy)
– Quelques photos et ressentis de mon séjour en Alsace
– Mon voyage au Japon (qui commence le 31 juillet pour se terminer le 31 août).
Le 1er octobre ouvrait à Paris, rue du scribe, derrière l’Opéra Garnier, tout près du quartier japonais parisien, le premier grand magasin Uniqlo en France. Pour ceux qui ne connaitraient pas encore cette marque japonais, sachez qu’elle se place en concurrence de marque comme H&M ou Zara pour ne citer qu’elles.
Vous pouvez avoir une idée un peu plus précise de ce qu’on y trouve en vous rendant sur le site officiel français : http://www.uniqlo.com/fr/.
Pour ma part, je me suis rendu sur place dès que j’ai pu en sortant de mon boulot. Je suis donc arrivé sur place aux environs de 17h30 et il y avait encore foule 5h après l’ouverture officielle ! Toutefois, je n’ai mis qu’un petit quart d’heure pour rentrer. Une fois à l’intérieur, j’ai foncé à l’étage, puisque c’est là que semblait se trouver ce que je recherchais, à savoir des t-shirts UT (t-shirts spéciaux aux thématiques diverses : jeux vidéos, manga, j-music…). A ma grande déception, pas de t-shirt Rockman (Megaman pours les non initiés) en vue mais un t-shirt attire toutefois mon attention.
Le t-shirt qui me fait de l’oeil est donc un t-shirt bleu de “Captain Tsubasa”, vous savez le personnage à l’origine de mon pseudo. Pendant que je l’observe, avec mon mp3 sur les oreilles, je réalise tout d’un coup qu’il y a quelqu’un que je connais à côté de moi, il s’agit de PTiTRoZ. Il se moque de moi en m’annonçant qu’il est à côté depuis plusieurs minutes et que je ne l’avais pas calculé… Bref, on continue nos emplettes ensemble et on repart tous deux avec plus que ce que l’on avait prévu au départ… Au final, j’ai donc pris un jean rouge, un sweat classique assez fin et avec un col long mais surtout deux t-shirts “Captain Tsubasa” dont voici les photos :
C’est beau quand le Japon vient à nous comme ça ! Je vous invite donc fans de culture japonaise à vous rendre dès que possible et assez souvent dans ce très beau magasin.
Aujourd’hui est un jour important dans la vie de l’une de mes chanteuses préférées, Takahashi Ai a aujourd’hui 23 ans ! Pour l’occasion, je me dois d’écrire un message digne de cet événement. Toutefois, avant de pousser plus loin mon propos à son sujet, je souhaiterais revenir sur un autre événement qu’il y a eu le 9 septembre, c’est à dire l’anniversaire de celle qui m’a fait aimer la pop japonaise et qui, en quelque sorte, m’a préparé au monde des idols japonaises, j’ai nommé Otsuka Ai ! Non non, vous ne rêvez pas, c’est encore une chanteuse prénommée Ai qui signifie “amour” en japonais. Ouais, je sais, je suis un gros romantique :p
Vers fin 2003, je suis dans une période faste de découverte de la culture moderne japonaise. Depuis bientôt 2 ans, je regarde des animés en VOST (chose qui me semblait horrible quelques années auparavant) et je contribue moi aussi en faisant un peu de fansub. Je commence, grâce aux génériques des animés, à m’intéresser sérieusement à la musique japonaise et je découvre une émission sur le net qui va beaucoup m’aider, j’ai nommé la célèbre “Music Station” de la chaîne TV Asahi.
Dans l’émission, je découvre de nombreux artistes et une particulièrement retient mon attention avec son nouveau titre “Sakuranbo”, la fameuse Otsuka Ai dont je parlais un peu plus haut. Voici une petite photo de la miss pour ceux qui ne l’a connaitraient pas encore :
Bien évidemment, au même moment j’ai entendu parler des Morning Musume. mais je n’y ai pas trop prêté attention à ce moment-là. J’ai continué de suivre Otsuka Ai avec “Amaenbo” et “Happy Days”, deux titres encore énormes. Puis, je fais la connaissance d’un fan de culture japonaise à la fac avec qui je découvre de nouveaux artistes comme BOA ou Amuro Namie et qui me montre son groupe préféré, les Morning Musume. Il me passe quelques vidéos pour me faire mon idée (j’avais entendu parler du groupe dans Music Station mais je connaissais assez peu leur discographie à cette époque). C’est ainsi que je fais mes premières armes avec “Do it! Now” où une jeune fille retient immédiatement mon attention mais j’ignore encore son nom, il s’agit bien entendu de Takahashi Ai.
Bon, je dois reconnaître que malgré la jolie plastique de certaines des filles du groupe, leur âge me gênent un peu à l’époque donc je passe mon chemin comme on dit.
En juin 2007, alors que j’ai un peu lâché mon suivi des sorties musicales japonaises, une nouvelle chaîne fait son apparition sur freebox, Nolife, je suis là pour la découvrir. A l’antenne, je découvre de nouveaux artistes japonais et en mai 2008, les Morning Musume. débarque sur la chaîne avec “Koi no dance site”. Là, je me dis “ah ouais je me rappelle d’elles, c’est marrant de les retrouver là” mais je ne porte toujours pas d’attention particulière au groupe. Fin juin, une annonce est fait à l’antenne, un week-end spécial entièrement consacré a été programmé. Devant l’engouement naissant sur la chaîne, je me dis alors “matons-nous ce week-end spécial pour me refaire une idée”. Et là, c’est l’engrenage, je sombre littéralement dans le monde merveilleux kawaii rose bonbon du H!P… Dès la rentrée qui suit, je libère des places dans mes votes au J-Top (classement des musiques de la chaîne) pour le groupe. Grâce au clip “Joshi Kashimashi Monogatari” et les superbes sous-titres du professeur Chron (un membre de la chaîne ultra fan du groupe) j’apprends à reconnaître un grand nombre de visages du groupe et bien évidemment à poser un nom sur mon coup de coeur de 2004, Takahashi Ai.
Petit à petit, je découvre un peu le H!P à travers les clips qui arrivent sur la chaîne mais il me faudra attendre l’arrivée de l’émission “Ami Ami Idol Hello! France” le 24 janvier 2009 au soir pour basculer du statut de simple fan au statut de gros fan du groupe. Peu de temps après, je participe de manière active aux différents topics consacrés aux groupes du H!P sur le forum de Nolife. Puis, je débarque sur le chan des fans “Hello! France” (cf. liens à droite) et enfin je finis par rejoindre le groupe qui m’attendait depuis longtemps, le groupe du “Saru no Ai”, le groupe de fans de Takahashi Ai.
La suite, vous la connaissez puisque je l’ai déjà mise dans des billets précédents mais je conclurai en vous parlant de mon dernier achat en date. Fin août, j’ai acheté le t-shirt du dernier concert d’été du H!P, mon premier t-shirt officiel, c’est celui que porte Ai sur la toute première photo de l’article. La boucle est bouclée 🙂
Pour la deuxième fois cette année, j’ai enchaîné une activité sans dormir dans la lignée d’une nocturne epitanime. Cette fois-ci, l’activité en question n’était pas une sortie ordinaire mais une soirée pour fêter les 2 ans de la série nerdz diffusée sur Nolife.
Pour m’accompagner à cette soirée spéciale j’avais deux amis du forum de la chaîne qui avaient eux aussi zappé la case dodo. Après un rapide repas au McDo de Bastille, nous sommes arrivé aux environs de 14h “Aux Disquaires” un petit bar du quartier. A notre arrivée, il y avait déjà une petite vingtaine de personnes. Nous nous sommes donc installés dans la queue avec nos mp3, DS et PSP. Ouverture des portes prévue à 18h, l’attente va être longue.
Au bout d’un certain temps, un troisième amis du forum nous rejoignait avec son beau t-shirt “Le jeu du ***” (je l’aurai un jour moi aussi !). Vers 16h (si je me souviens bien), les patrons du bar arrivaient étonnés de voir autant de monde (apparemment cela n’est pas courant chez eux). Sans trop que je sache pourquoi, ils décidaient de nous faire rentrer à l’intérieur tout en interdisant l’accès aux mineurs.
Vers 17h, plusieurs membres de Nerdz arrivaient. Davy nous disait bonjour et combien les patrons du bar n’avaient rien compris à l’organisation de la soirée malgré 4 réunions de préparation. Sur ce, on nous invitait alors à ressortir du bar le temps de tout mettre en place mais filous que nous sommes, nous réussissions à sortir en dernier pour être premier dans la file ! Aux environs de 18h, la délivrance, nous étions enfin bel et bien à l’intérieur.
Premiers entrés, premiers servis. Nous bénéficions du tarif “Happy Hour” juste avant que le patron change d’avis pour profiter de son affluence record, bravo la mentalité ! A l’intérieur, d’autres membres du forum nous rejoignaient bientôt. J’essayais de me rendre au même moment à la boutique improvisée dans l’entrée pour acheter un t-shirt de la série, sans succès. La soirée débutait à ce moment-là avec un discours de présentation de Davy, quasiment tous les intervenants visibles ou non de la série étaient là. Nous croisions aussi beaucoup de gens du staff de Nolife venus pour l’occasion comme Josaudio, Caroline, Fred, Pierre-Alexandre.
A 20h, le premier événement de la soirée débutait : un concert de Milk & Fruit Juice, compositeur de la musique du générique de la série. Rien de bien nouveau pour moi puisque j’avais déjà vu le groupe 3 fois en live et possédait déjà leur album dédicacé :p
A 21h, un deuxième concert nous était offert, un concert dul LPB Club. Une musique festive comme on les aime chantée entièrement à capela et avec de nombreux instruments faits maison. Voici l’adresse de leur myspace si vous voulez vous faire une idée : http://www.myspace.com/lpbclubmusic
A 22h, troisième et finalement dernier événement de la soirée, il n’y aura pas eu de tournage public au plus grand désespoir de beaucoup, le quizz spécial nerdz avec plein de cadeaux à gagner. Là, de nombreuses questions assez pointus et parfois moins où j’aurais pu tenter de répondre mais je n’étais pas trop intéressé par les cadeaux. Derrière, je restais un peu pour discuter puis je prenais le chemin du retour. Une bien belle soirée encore une fois mais les journées de 40h ça use.
Si José obtenait un résultat cohérent à ses yeux, le mien me paraît bien space. M’enfin, c’est le jeu !
A vous maintenant !
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