The Expendables 2

Cela faisait longtemps ! Voici une petite critique rapide d’un film que je suis allé voir aujourd’hui au cinéma !

Synopsis : Les Expendables sont de retour, et cette fois, la mission les touche de très près…
Lorsque Mr. Church engage Barney Ross, Lee Christmas, Yin Yang, Gunnar Jensen, Toll Road et Hale Caesar – et deux nouveaux, Billy The Kid et Maggie – l’opération semble facile. Mais quand l’un d’entre eux est tué, les Expendables jurent de le venger. Bien qu’en territoire hostile et donnés perdants, ils vont semer le chaos chez leurs adversaires, et se retrouver à tenter de déjouer une menace inattendue – cinq tonnes de plutonium capables de modifier l’équilibre des forces mondiales. Cette guerre-là n’est pourtant rien comparée à ce qu’ils vont faire subir à l’homme qui a sauvagement assassiné leur frère d’armes…

Mon avis : La crème de la crème niveau acteur de film d’action gonflé à la testostérone, du gros carnage, du second degré, des références à foison… que demandez de plus ? Débranchez votre cerveau et laissez le chaos s’imprégner dans votre rétine durant 1h40, c’est du très très lourd !

Achille et la tortue (アキレスと亀)

Achille et la tortue

Synopsis : Le troisième film de réflexion de Takeshi Kitano sur sa condition d’artiste. Un peintre sans talent persiste à vouloir exercer son art.

Mon avis : C’est une très belle surprise. Je m’attendais à un film un peu déstructuré dans la lignée de Hana-bi mais ce n’est point le cas. L’histoire est parfaitement linéaire et bien ficelée. Malgré toutes les difficultés qui frappent le héros du film, un peintre sans talent, on se met à espérer comme lui qu’il finisse par trouvé l’inspiration et on rit volontiers de ses tentatives parfois totalement loufoques voire désespérées. Un très beau film.

Hana-Bi (はなび)

Hana-Bi
Synopsis : L’histoire d’un flic rongé par les remords, usé par la vie, hanté par les drames et les cadavres. L’histoire d’un homme dont la vie s’évapore petit à petit tout autour de lui, qui a perdu sa fille, et qui assiste impuissant à la disparition de sa femme. L’histoire de Nishi, cet inspecteur au regard toujours dans le vague, le visage triste. Un époux confiné dans son mutisme, paraissant étranger à toute émotion. L’inspecteur Nishi est déjà mort, un petit peu, quelque part à l’intérieur. Et pourtant, Hana-Bi c’est avant tout l’histoire d’un homme … qui déborde d’amour.

Mon avis : Si vous n’êtes pas adepte de film poétique, passez votre chemin car Hana-Bi malgré ces quelques scènes de violence n’est pas un film classique de Yakuza. La première partie est très déstructurée, les séquences ne sont pas montées dans l’ordre et dévoilent peu à peu le personnage de Nishi interprété par Kitano et ses traumatismes. Réflexion sur la mort, l’art et le deuil, ce film profond n’est toutefois pas dénué d’humour. Les émotions sont distillées par touches avec la grâce d’un peintre, et se trouvent encore sublimées par la bande originale de Hisaishi Joe. C’est donc un film d’une beauté rare, on comprend amplement pourquoi il a reçu en 1997 un Lion d’Or au Festival de Venise.

Nuit “Kitano”

Dans la nuit du samedi 20 mars au dimanche 21 mars avait lieu une nuit “Kitano” au cinéma Le Champo à Paris (5e). Comme c’est toujours plus sympa à deux, j’avais proposé à un ami de m’y accompagner, par chance il est lui aussi un grand fan du réalisateur/acteur japonais.
Deux possibilités s’offraient à nous :
– Salle 1 : Violent Cop, Sonatine, mélodie mortelle et Kids Return.
– Salle 2 : Hana-Bi, Getting any? et Jugatsu.
Notre (mon) choix s’est porté sur la salle 1 car les films paraissaient plus intéressants. La formule nuit de ce petit cinéma d’arts et d’essai est vraiment sympa. 3 films + le petit déjeuner (viennoiserie + boisson chaude) pour seulement 15 euros ! Surveillez donc leur programme de temps à autre, ça vaut vraiment le coup, samedi 27 mars, il y aura d’ailleurs une nuit “Burton”, avis aux amateurs !


Synopsis : Un policier violent est aux prises à la fois avec sa hiérarchie et un gang dirigé par le truand Kiyohiro. Kitano réalise ce premier film où il devait seulement tenir le premier rôle, par hasard. A la suite de la défection du metteur en scène, il accepte de mettre en scène “Violent Cop” en remaniant considérablement le scénario. D’une histoire policière classique, il ne garde que la trame et concentre son attention sur le personnage principal qu’il incarne: un antihéros solitaire et à contre-courant.

mon avis : à venir.


Synopsis : Murakawa, vieux yakuza un peu las, est le jouet de clans adverses qui veulent l’éliminer lui et ses hommes.

mon avis : à venir.


Synopsis : Itinéraire de deux copains d’école qui tentent de s’en sortir par l’intermédiaire de la boxe.

mon avis : à venir.

Shuttler Island


Synopsis : En 1954, le marshal Teddy Daniels et son coéquipier Chuck Aule sont envoyés enquêter sur l’île de Shutter Island, dans un hôpital psychiatrique où sont internés de dangereux criminels. L’une des patientes, Rachel Solando, a inexplicablement disparu. Comment la meurtrière a-t-elle pu sortir d’une cellule fermée de l’extérieur ? Le seul indice retrouvé dans la pièce est une feuille de papier sur laquelle on peut lire une suite de chiffres et de lettres sans signification apparente. Oeuvre cohérente d’une malade, ou cryptogramme ?

Mon avis : à venir.

Invictus

Synopsis : En 1994, l’élection de Nelson Mandela consacre la fin de l’Apartheid, mais l’Afrique du Sud reste une nation profondément divisée sur le plan racial et économique. Pour unifier le pays et donner à chaque citoyen un motif de fierté, Mandela mise sur le sport, et fait cause commune avec le capitaine de la modeste équipe de rugby sud-africaine. Leur pari : se présenter au Championnat du Monde 1995…

Mon avis : à venir.

Avatar, le cinéma en 3D !

Synopsis : Malgré sa paralysie, Jake Sully, un ancien marine immobilisé dans un fauteuil roulant, est resté un combattant au plus profond de son être. Il est recruté pour se rendre à des années-lumière de la Terre, sur Pandora, où de puissants groupes industriels exploitent un minerai rarissime destiné à résoudre la crise énergétique sur Terre. Parce que l’atmosphère de Pandora est toxique pour les humains, ceux-ci ont créé le Programme Avatar, qui permet à des ” pilotes ” humains de lier leur esprit à un avatar, un corps biologique commandé à distance, capable de survivre dans cette atmosphère létale. Ces avatars sont des hybrides créés génétiquement en croisant l’ADN humain avec celui des Na’vi, les autochtones de Pandora.
Sous sa forme d’avatar, Jake peut de nouveau marcher. On lui confie une mission d’infiltration auprès des Na’vi, devenus un obstacle trop conséquent à l’exploitation du précieux minerai. Mais tout va changer lorsque Neytiri, une très belle Na’vi, sauve la vie de Jake…

Mon avis : Si comme beaucoup j’ai cédé aux sirènes du film Avatar, c’est avant tout parce qu’il s’agissait d’une première avec la possibilité de voir le film en 3D. Autant le dire tout de suite, je n’ai pas été très emballé par le film. Le scénario n’a rien d’exceptionnel, certains passages du film traînent en longueur, bref si on enlève les décors magnifiques il ne reste pas grand chose de bons dans ce film. La 3D est, il me semble, sous-exploitée ou alors c’est vraiment nase comme système. Je critique, je critique mais je mentirais si je disais que je n’ai pas malgré tout passé un bon moment. A voir une fois mais son succès n’est clairement pas mérité, merci le buzz 3D !