[Japon 2013] J.14 Petite journée à Ōsaka

Aujourd’hui, il s’agit du dernier jour de ma première visite à Ōsaka, je reviendrai encore deux fois par la suite. Comme hier, je n’ai pas de plan bien précis pour la journée si ce n’est de trouver un trépieds pour ma caméra et d’acheter 2 nouvelles cartes SD de 32GB en prévision du TIF (Tokyo Idol Festival) qui aura lieu le lendemain et où j’aurai la chance d’avoir une accréditation presse pour le compte du site Idols News Network !

Toujours avec le même compagnon français que les jours précédents, je me rends à la gare centrale d’Ōsaka pour faire le tour du très récent et assez imposant nouveau centre commercial, le Grand Front Osaka.

Mon ami souhaitant voir un peu à quoi ressemble le fameux Umeda Sky Building, nous y faisons un petit crochet. J’en profite également pour repérer le lieu de départ de mon bus du soir. Été oblige, les lieux ont été quelque peu décorés.

Nous sommes ensuite allés faire un tour des différentes rues commerçantes situées près de la gare. Là, nous nous sommes arrêtés dans un game center histoire de s’essayer un peu à quels jeux. Mon ami tente une partie sur un jeu de baston Dragon Ball Z plutôt bien foutu il faut l’avouer. Quant à moi, je m’essaye enfin à une borne Project Diva, le top.

Après s’être bien amusé, nous partons chacun de notre côté. C’est également le dernier jour à Ōsaka pour mon comparse mais lui aimerait visiter des lieux que je connais déjà. Je prends donc, à pied, la direction du quartier de Namba. En chemin, je m’arrête au magasin que j’avais repéré via le site kakaku mais celui-ci est minuscule et ne peut avoir le trépieds que je recherche qu’au bout de plusieurs jours…

Je me résigne à devoir attendre Tōkyō et l’après-TIF pour m’acheter mon trépieds et continue mon chemin en direction de Den-Den Town. Arrivé sur place, je fais quand même le tour des boutiques pour voir si par miracle je peux trouver mon trépieds mais rien… J’achète ensuite mes 2 cartes SD dans un petit magasin qui propose des prix bien plus intéressants que le Sofmap tout proche par exemple.

Je me rends ensuite de nouveau dans un game center histoire de voir deux petits musées annoncés à l’entrée : un musée Idolm@ster et un musée Tekken. Finalement, comme j’y trouve aussi une borne Project Diva, je me laisse tenter par une nouvelle tentative. La première partie est un échec cuisant. Trop confiant suite à mon premier essai tranquille en mode normale, j’ai tenté une chanson difficile (apparemment l’une des plus difficiles) et là ce fut le drame… En fait, j’ai surtout perdu car la mécanique du jeu est très éloigné des jeux sur console, il faut donc pratiquement tout réapprendre -_- Ne pouvant rester sur un échec, je tente une deuxième partie. Là, aucun problème, j’enchaîne une chanson en normale puis en difficile. Ça rassure 😀

Il est maintenant temps pour moi de rentrer à l’hôtel pour attendre patiemment mon bus de nuit à destination de Tōkyō. Bien que j’ai quelques heures à attendre, l’attente se fera sans mal car une soirée est justement prévue à l’hôtel. Pas mal de japonais sont de la partie et c’est justement pour moi l’occasion de pratiquer un peu mon japonais tout en buvant de la bière en pression o/

À 22h, je suis dans le bus et c’est la douche froide. Il s’agit en fait d’un bus tout ce qu’il y a de plus normal et la nuit s’annonce donc particulièrement difficile d’autant plus que la clim est poussée à fond (plusieurs personnes vont d’ailleurs s’en plaindre au chauffeur sans succès malheureusement…) et qu’aucune couverture n’est proposée comme dans les autres bus…

[Japon 2013] J.13 Matsuri dans les rues d’Ōsaka

Pour ma première vraie journée dans la ville d’Ōsaka, je n’ai pas vraiment de plan particulier. Je prévois juste de me rendre à la grande procession du Tenjin matsuri qui sera suivie d’un feu d’artifice.

Toutefois, comme je ne vais pas passer ma journée à rien faire, je propose à mon nouveau camarade français de lui faire visiter la ville et plus particulièrement le quartier de Namba et ses environs : Dotombori, Den-Den Town et Shinsekai.

Après avoir fait un premier tour de Dotombori, nous finissons par nous poser dans un restaurant situé en sous-sol pour profiter d’une spécialité locale, l’okonomiyaki. Sans vraiment le faire exprès, on se retrouve dans le même restaurant où j’avais testé ce plat trois ans auparavant.

Preuve s’il en fallait encore que l’anime « Shingeki no kyojin » (L’attaque des Titans en français) est populaire au Japon, on trouvera dans la même rue que le restaurant un stand de glace à l’effigie de la série 😮

Nous nous rendons ensuite dans le quartier de Den-Den Town, le quartier de l’électronique/culture otaku d’Ōsaka, qui ressemble pas mal à Akihabara. Puis, nous finissons notre périple par le quartier de Shinsekai (ou le « nouveau monde » en français). Au final, nous n’avons donc vu que des rues commerçantes.

Direction ensuite la station d’Ōsaka-Tenmagu qui est la plus proche de l’endroit où aura lieu la procession du Tenjin Matsuri.

Avant de vous proposer quelques photos, un peu d’histoire. Le « Tenjin Matsuri » existe depuis plus de 1000 ans et fait partie des trois plus gros festivals du Japon. Selon l’office de tourisme japonais, il s’agit également du plus beau festival au monde avec bateau. Ce festival d’été qui a lieu tous les ans les 24 et 25 juillet se déroule principalement dans l’Ōsaka Tenman-gū mais différents célébrations (taiko, bunraku) ont lieu un peu partout en ville.

Près de 3000 personnes sont requises pour le défilé du mikoshi (palanquin divin) dans les rues puis sur les bateaux à proximité du pont Tenmabashi. Le tout est conclu par un gros feu d’artifice. 

défilé du mikoshi dans les rues

suite de la procession en bateau

suite de la procession en bateau

Après la procession en bateau, nous avons cherché un bon coin pour profiter du feu d’artifice et cela s’est révélé être quasi mission impossible. Déjà, pour commencer, les infos qu’on nous avait données à l’hôtel concernant le lieu de tir des feux d’artifice étaient inexactes… Ensuite, même après avoir repéré le bon endroit au loin, nous avons buté sur la marée humaine et surtout sur les immeubles nombreux qui nous empêchaient de voir clairement le lieu exact où se rendre. Finalement, nous avons réussi à trouver un coin pas trop mal mais nous n’aurons profité que des dernières minutes…

Nous nous poserons ensuite dans la rue pour manger des yakisobas achetés sur l’un des nombreux stands de nourriture disséminés un peu partout. Puis, nous finirons par rentrer à l’hôtel en en profitant pour prendre une jolie photo de japonaises en yukata car oui qui dit matsuri au Japon dit yukata ! Et c’est beau un yukata 😀

[Japon 2013] J.12 Kame(亀)+Shika(鹿)=Nara(奈良)

Ce matin, je dois quitter mon hôtel de Kyōto pour me rendre tout d’abord à Nara puis dans la soirée à Ōsaka.

Je me prépare tranquillement et quitte mon hôtel un peu avant 11h du matin. Arrivé à la gare, j’achète mon billet de train local pour Nara sans grande difficulté et assez rapidement à ma grande surprise. Sachez que le trajet dure environ 45 minutes et coûte 690 yens.

Je suis sur place aux alentours de midi. Je cherche tout d’abord un coin locker pour y laisser mes affaires durant la journée. Une fois cela fait, je me dirige vers le conbini le plus proche pour m’acheter de quoi manger. Je cherche ensuite un endroit pour me poser et finit par arriver dans un petit parc très sympa situé juste à côté du Kōfuku-ji, ma première visite de la journée.

Durant le repas, je remarque dans le petit plan d’eau du parc qu’il y a beaucoup de tortues (kame) : kawaii ^_^

Comme dit plus haut, je me rend ensuite au temple Kōfuku-ji où on peut notamment admirer de jolis pagodes à plusieurs étages comme celle ci-dessous :

Pour plus d’informations sur le lieu, je vous renvoie à la carte en bas de cette page ou à l’article sur Nara de mon voyage au Japon en 2010.

Bien entendu, une fois que vous avez atteint ce temple, vous croiserez énormément de cerf (shika). Attention toutefois à eux car ils sont assez peu farouches et ont tendance à manger tout ce qui passe près de leur mâchoire.

J’ai ensuite pris la direction de mon objectif prioritaire de la journée, le temple Tōdai-ji où se trouve le fameux Daibutsu (grand Bouddha). Pourquoi y retourner puisque j’y suis déjà allé trois ans auparavant me demanderez-vous ? Tout simplement parce que lors de ma première visite en août 2010, juste avant l’arrivée au dit temple, la batterie de mon appareil photo de l’époque avait rendu l’âme et que je souhaitais donc forcément avoir mes propres photos du lieu et non celles d’un autre. Au final, j’ai donc eu ça (la photo présentée ici n’a pas encore été retouchée faute de temps…) :

J’ai ensuite poursuivi mon chemin vers deux autres lieux rattachés au temple Tōdai-ji : le Nigatsu-dō et le Hokke-dō (ou Sangetsu-dō). Je vous recommande particulièrement le Nigatsu-dō qui a la particularité d’être gratuit et d’offrir une vue panoramique fort sympathique.

J’ai ensuite poursuivi mon chemin vers l’autre lieu important de Nara, le sanctuaire Kasuga-taisha qui est tout bonnement magnifique avec ses nombreuses lanternes un peu partout. Là encore, je vous recommande fortement l’endroit bien qu’ici l’entrée (uniquement le temple principal en fait) vous coûtera 500 yens, ce qui en soit reste raisonnable.

Après cette dernière visite, je suis donc retournée à la gare pour récupérer mes affaires et prendre la direction d’Ōsaka. Comme lors de mes précédents voyages, je vais loger au J-Hoppers situé dans le quartier de Fukushima. Arrivé sur place, j’apprends que le festival que j’avais prévu de voir le lendemain avait en fait en genre de pré-quel dans un petit temple situé tout près de l’hôtel. Ni une ni deux, une fois douché et rassasié, je me suis rendu dans le temple où avait lieu la cérémonie.

Une fois sur place, j’ai retrouvé des gens en yukata, de nombreux stands de nourriture ou de jeux typiques des festivals (matsuri). La cérémonie proposait essentiellement de la musique à l’aide de taiko (tambours japonais) et de la dance traditionnelle. Un moment bien sympathique en soi si on est fan du genre.

Je suis ensuite rentré à l’hôtel. J’y ai alors fait la connaissance d’un français, d’un coréen ainsi que de trois américains et une anglaise. Ensemble, nous allons boire un coup dans un bar à fléchettes situé tout près et finir par une discussion assez tardive dans le lobby de l’hôtel. La journée de demain s’annonce bien !

Voici une carte résumant les lieux intéressants de Nara à voir :

Carte de Nara

J11 (25 avril 2012) : Osaka again

Comme à mon habitude, je me lève vers 8h du matin et descends me chercher un petit déjeuner au combini du coin. Lorsque je passe près de l’accueil, je croise M. Yano un des membres du staff de l’hôtel qui est connu pour organiser des visites de la ville et des soirées dans le quartier. Il m’invite, tout comme ma copine de la veille, à l’accompagner pour sa visite de la ville mais je préfère décliner son offre. En effet, il propose de visiter des lieux que j’ai déjà vu et un maid café, ce qui ne m’intéresse absolument pas !

Ce matin encore donc, je prends mon temps pour me préparer et décider de ma journée. Après une longue hésitation, devant le fait que le château d’Himeji n’est toujours pas totalement ouvert, nous décidons de rester une nouvelle fois à Osaka pour la journée. Au programme, un nouveau passage par Dotombori, une visite du jardin suspendu de l’Umeda Sky Building et la visite d’un temple tout près de la gare d’Osaka.

Notre première cible à Dotombori est le “Gokuraku Shôtengai” qui est un lieu que j’avais voulu visiter deux ans plus tôt mais qui était fermé pour travaux. A notre arrivée, le bâtiment est bien ouvert cette fois-ci mais son fonctionnement semble avoir quelque peu changer depuis sa réouverture. A l’origine, c’était un lieu où l’on pouvait à la fois voir une représentation de théâtre et manger des spécialités locales. Aujourd’hui, le théâtre n’est plus ouvert que pour quelques spectacles par période et seuls des restaurants (assez chers) restent accessibles… Bref, on décide de zapper la visite du bâtiment et de se rendre à un temple situé juste derrière.

On galère un peu à trouver le temple et on finit par réaliser que celui-ci s’étale en fait sur plusieurs rues. L’ambiance des rues changent radicalement par rapport aux grosses artères de Dotombori, c’est aussi ça le Japon.

le temple Hôzen-ji

Sur le chemin du retour, je fais un petit détour par le Tsutaya du coin, ceci afin de chercher un album de musique tradionnel pour mon père. Ca peut paraître difficile à croire mais c’est beaucoup plus difficile à trouver au Japon qu’en France ! Après de longues minutes de recherche, je finis par trouver mon bonheur dans le rayon classique/ambiance. Logique, non ? Bref, je remercie mon dictionnaire de kanji qui pour le coup m’a un peu sauvé la vie pour déchiffrer le nom du CD sans quoi je serai encore une fois passé devant sans m’en rendre compte. Au passage, je me prends le dernier single de la jeune chanteuse d’enka que j’apprécie particulièrement, Sakura Maya.

Le 5ème single de Sakura Maya "Watashi kara anata e"

Après un repas pris à l’hôtel, nous repartons vers l’Umeda Sky Building, à pieds pour changer un peu. Nous galérons un peu pour trouver l’entrée mais nous finissons par y arriver. L’entrée est un peu chère à mon gôut, surtout avec le temps couvert mais le cadre est relativement agréable. Le lieu est semble-t-il essentiellement fréquenté par des couples japonais mais il en faut plus pour nous arrêter. Par contre, pour un jardin suspendu, je m’attendais à voir un peu plus de verdure mais il n’y en a point ! Constatez par vous-mêmes en cliquant sur l’aperçu ci-dessous (lien à venir) :

Umeda Sky Building

Nous nous rendons ensuite dans le quartier de la gare d’Osaka tout proche afin d’aller visiter le temple Taiyû-ji. Encore une fois, nous galérons un peu pour le trouver car celui-ci est un peu perdu au milieu de grands buildings. Arrivé à l’entrée du temple, nous voyons les portes se fermaient devant nous…

Temple Taiyû-ji

Pas grave, ça me donnera l’occasion de revenir une nouvelle fois sur Osaka une prochaine fois. Histoire de ne pas être venu pour rien, nous faisons le tour de la longue galerie juste à côté. Nous y repérons un kaitenzushi (restaurant à sushi avec tapis roulant) où nous envisageons de nous rendre demain. Nous retournons ensuite à l’hôtel pour attendre eva01 et son frère qui passaient leur soirée à un concert des NMB48 dans la banlieue d’Osaka.

L’heure maximale de check-in étant fixée à 22h, nous nous occupons comme on peut en attendant. On joue quelques parties de billard, on surfe sur internet et on discute avec les deux jolies demoiselles de l’accueil. Ne les voyant toujours pas arriver à 15 minutes de l’heure fatidique, j’entame une négociation pour récupérer les clés d’eva01. On rigole sur le fait que nos deux retardataires sont à un concert des vedettes locales. Lorsque nos deux frères débarquent à 22h tout pile, c’est l’éclat de rire. Le frère d’eva01, avec son écharpe des NMB48 ultra visible autour du coup, affiche d’entrée la couleur. On finit une nouvelle fois la soirée sur le toit avec une petite glace :normal:

J10 (24 avril 2012) : Osaka

Déjà depuis mon premier passage à l’hôtel J-Hoppers d’Osaka, j’avais repéré le Mister Donut à côté de la gare de Fukushima en me disant qu’il faudrait que j’y ailles. Comme j’ai tout mon temps, je décide donc d’aller y prendre mon petit déjeuner.

Ouh Marge, un donuts !

Je rentre ensuite à l’hôtel pour me doucher et me raser. Je prends tout mon temps et je finis par faire une rencontre agréable. Une des membres du staff de l’hôtel est en train de faire le tour de mon étage pour récupérer les draps usagés et vider les poubelles. Nous nous croisons ainsi plusieurs fois en quelques minutes et des sourires s’échangent. Alors que je prépare ensuite mon programme de la journée sur ordinateur, je reconnais une voix familière en provenance du couloir. Avec grand étonnement, je constate que l’ami du frère d’eva01 est déjà arrivé. Il est seulement 11h du matin et le check-in ne se fait pas avant 15h.

On déjeune ensemble sur place après être allés se chercher un petit repas au combini. On prend ensuite le train local direction Namba pour une ballade dans le quartier de Dotombori. On passe tout d’abord un long moment à photographier les grosses artères du quartier. Cliquez sur l’image ci-dessous pour accéder à la galerie (certaines photos datent de mon premier passage en 2010). 

Quartier de Dotombori

On fait un rapide tour au Hello! Project Shop histoire de le situer pour une éventuelle prochaine fois. Puis, on traverse également la très longue galerie marchande. On finit par s’arrêter au book-off local où je trouve enfin un photobook et un DVD de Takahashi Ai que je n’ai pas pour seulement 500 yens chacun ! Je finis également par prendre les deux premiers jeux PSP de “Project Diva” (vocaloïd) après avoir plusieurs fois hésité à les acheter. Me reste à trouver le troisième opus à un prix raisonable et j’aurai alors la collection complète.

Encore des achats à Book-off

On rentre ensuite à l’hôtel où on retrouve mon colocataire français. Ensemble, on se met à la recherche d’un restaurant dans les environs et après de nombreuses hésitations sur les prix ou les plats proposés nous atterrisons au McDonald’s du coin. C’est la toute première fois que j’y vais alors que j’ai déjà séjourné en tout plus d’un mois complet au Japon ! Histoire de changer un peu, je décide de prendre un sandwich aux couleurs locales : le teriyaki burger. Je découvre avec grand étonnement et joie que l’on peut choisir une taille différente pour les frites et la boisson ! Ca change de la France où on a seulement le choix entre menu normal et maxi.

Le Teriyaki burger, ça change

De retour à l’hôtel, on décide de se prendre une bière au combini d’à côté et d’aller se poser sur le toit de l’hôtel où la vue est plus qu’honorable, surtout de nuit, pour discuter tranquillement. Chacun retourne ensuite à ses occupations. Moi, je trie mes nombreuses photos des derniers jours et avance un peu la rédaction de mon blog. Je finis par enfin aller me coucher vers 1h du matin.