[Japon 2013] J.4 La chasse aux Kappa !

Ce matin, pour la première fois, je me suis offert une petite grasse matinée. J’ai du me réveiller vers 9h30-10h. Ayant enfin un peu de temps, j’en profite pour poster mon premier message sur le blog depuis le Japon et je prépare les suivants en triant les photos et mes souvenirs.

Derrière, après avoir mangé, je me décide à faire un tour des coins d’Asakusa que je n’avais jamais visité en espérant tombé sur le fameux Kappa doré dont j’ai entendu parler.

D’après les quelques renseignements que j’ai pris, celui-ci devrait se trouver dans une rue marchante appelée « Kappabashi ». La chasse est ouverte o/

Bien que mon objectif principal soit le Kappa doré, je ne me précipite pas non plus vers la Kappabashi. J’en profite un peu pour flâner dans les rues autour du temple. Pour beaucoup de touristes certainement, le temple est la seule chose à voir du quartier et ils ont tord !

Au bout d’un moment, je finis par tomber sur la fameuse rue recherchée et je m’engage alors dans une séance de matraquage photographique. Tout ce qui ressemble à un Kappa se retrouve immortalisé par mon appareil photo numérique.

Au bout d’un moment, et alors que je n’ai toujours pas aperçu le moindre Kappa doré, je me résous à retourner à mon hôtel car j’ai rendez-vous avec un ami français vivant au Japon dans le quartier de Meguro peu de temps après.

Voici pour résumer l’accès de mes photos du quartier (Attention, certaines photos datent d’il y a 3 ans) :

image à insérer. à venir.

L’ami français que je rejoins donc ensuite est installé depuis 1 an tout juste au Japon et est marié à une japonaise que j’avais également rencontré à Paris avant leur migration pour le Japon. C’est celui-ci notamment qui m’avait aidé à trouver une famille d’accueil pour mon séjour mais, comme vous le savez, celle-ci m’a fait faux bond. Bref, on va passer la soirée à discuter de choses et d’autres et des possibilités qui s’offrent à moi pour le mois d’août. Il me reste peut-être une infime chance de trouver une famille d’ici là.

En rentrant à mon hôtel, c’est un peu la douche froide car j’apprends qu’une des solutions de secours, un logement en guesthouse avec deux autres français, requiert une réponse définitive de ma part d’ici deux jours… Bref, ça risque d’être ultra short -_-