[Japon 2013] J.4 La chasse aux Kappa !

Ce matin, pour la première fois, je me suis offert une petite grasse matinée. J’ai du me réveiller vers 9h30-10h. Ayant enfin un peu de temps, j’en profite pour poster mon premier message sur le blog depuis le Japon et je prépare les suivants en triant les photos et mes souvenirs.

Derrière, après avoir mangé, je me décide à faire un tour des coins d’Asakusa que je n’avais jamais visité en espérant tombé sur le fameux Kappa doré dont j’ai entendu parler.

D’après les quelques renseignements que j’ai pris, celui-ci devrait se trouver dans une rue marchante appelée « Kappabashi ». La chasse est ouverte o/

Bien que mon objectif principal soit le Kappa doré, je ne me précipite pas non plus vers la Kappabashi. J’en profite un peu pour flâner dans les rues autour du temple. Pour beaucoup de touristes certainement, le temple est la seule chose à voir du quartier et ils ont tord !

Au bout d’un moment, je finis par tomber sur la fameuse rue recherchée et je m’engage alors dans une séance de matraquage photographique. Tout ce qui ressemble à un Kappa se retrouve immortalisé par mon appareil photo numérique.

Au bout d’un moment, et alors que je n’ai toujours pas aperçu le moindre Kappa doré, je me résous à retourner à mon hôtel car j’ai rendez-vous avec un ami français vivant au Japon dans le quartier de Meguro peu de temps après.

Voici pour résumer l’accès de mes photos du quartier (Attention, certaines photos datent d’il y a 3 ans) :

image à insérer. à venir.

L’ami français que je rejoins donc ensuite est installé depuis 1 an tout juste au Japon et est marié à une japonaise que j’avais également rencontré à Paris avant leur migration pour le Japon. C’est celui-ci notamment qui m’avait aidé à trouver une famille d’accueil pour mon séjour mais, comme vous le savez, celle-ci m’a fait faux bond. Bref, on va passer la soirée à discuter de choses et d’autres et des possibilités qui s’offrent à moi pour le mois d’août. Il me reste peut-être une infime chance de trouver une famille d’ici là.

En rentrant à mon hôtel, c’est un peu la douche froide car j’apprends qu’une des solutions de secours, un logement en guesthouse avec deux autres français, requiert une réponse définitive de ma part d’ici deux jours… Bref, ça risque d’être ultra short -_-

[Japon 2013] J.3 Première soirée musicale !

Pour ce troisième jour au Japon, mon problème est déjà de faire mon changement d’hôtel. En effet, j’abandonne mon hôtel capsule au profit d’un hôtel avec chambres dortoirs situé à seulement dix minutes de là mais de l’autre côté de la rivière Sumida. Je ne serai donc plus techniquement dans le quartier d’Asakusa mais dans celui de Sumida.

Pour ceux qui seraient intéressés, l’hôtel est celui-ci : http://asakusasmile.com/index.php. Comme je prends un lit dans une chambre de six, je payerai 2.100 ¥ par nuit, ce qui est plutôt bon marché.

C’est vers 10h que je quitte mon hôtel Capsule sans regret et que je me dirige vers le Asakusa Smile. Arrivé sur place, je constate déjà que le staff parle un bien meilleur anglais que dans l’hôtel précédent. En même temps, cela n’était pas trop dur vu qu’ils ne parlaient pas un mot d’anglais… Bref, je laisse mes valises et m’en vais à pied direction Akihabara en passant via Ueno o/

La chaleur étant assez intense, je prends bien mon temps en marchant au maximum à l’ombre. Au final, je mets ainsi environ 1h15 pour arriver à destination. Cette fois-ci, je suis bien décidé à trouver le magasin pour mon caméscope. J’ai vérifié la veille au soir et il se trouve qu’en fait le magasin que je cherchais le premier jour avait légèrement déménagé sauf que l’adresse sur le site était toujours l’ancienne… Seul un plan présent sur le site permettait de comprendre après coup que l’adresse n’était pas la bonne.

Je trouve bien cette fois-ci le magasin mais, comble de mon malheur, le caméscope est en rupture de stock >_< Histoire de me remonter le moral, je cours dans un restaurant tout proche pour me consoler avec un bon petit kare~ (plat à base de curry).

N’étant pas venu pour faire une simple visite, je me décide ensuite à franchir les portes du Yodobashi d’Akihabara avec la ferme intention de faire quasiment tous les étages. Je mets donc mon plan à exécution et je ressors du magasin avec : une multiprise (3 prises), un adaptateur FR->JAP et des pochettes de transport pour ma nouvelle tablette et ma PS Vita.

PS : Comme je n’ai plus tous les objets avec moi à cet instant, la photo arrivera plus tard.

Ensuite, j’ai fait un petit détour dans de petites échoppes afin de trouver des branchements particuliers. J’ai donc fini par acheter une rallonge USB de 3 mètres et un adaptateur mini-jack vers deux prises micro 6mm pour ma future caméra.

PS : même chose que précédemment, photo à venir.

Je retourne ensuite, toujours à pied, à mon hôtel pour réaliser le check-in. Une fois mes affaires installés, une prise d’une douche et un changement de vêtements, me revoilà parti pour une soirée du côté de Higashi-Nakano.

J’arrive à la gare de Higashi-Nakano vers 17h40 pensant que la soirée débute à 18h. Je me perds un peu et trouve seulement l’endroit vers 18h05 mais je suis surpris de voir que je ne suis pas en retard. En effet, Usagino namihey, qui est la raison pour laquelle je suis venue, avait annoncé une mauvaise heure sur son blog… Bref, plus de peur que de mal, j’ai donc tout loisir de choisir ma place.

Affiche de la soirée

Affiche de la soirée

J’explique cependant un peu le déroulement de la soirée car moi-même en arrivant, je l’ignorais un peu. Je savais seulement que namihey chanterait avec son groupe ShōjoQ. En fait, il s’agissait d’une soirée avec au menu une sélection d’artistes au style un peu rétro. Nous avions donc dans l’ordre :

  • 18h30-19h : Charly Sakamoto (チャーリー坂本)
  • 19h-19h30 : Tōkyō Yasagure onna (東京やさぐれ女)
  • 19h30-20h : ShōjoQ (少女Q)
  • 20h-20h30 : Roman★Kissa (浪漫★喫茶)
  • 20h30-21h : Snack Tachibana (スナック橘)

Honnêtement, cette soirée a été une agréable surprise bien que je n’ai pas particulièrement accroché au style des différents protagonistes.
Charly Sakamoto, par exemple, c’était plus sympa mais sans plus pour moi. Disons malgré tout que je retiendrais son titre à la guitare sèche accompagné d’une violoncelliste.
Tōkyō Yasagure onna, c’était musicalement très sympa mais j’ai eu un peu de mal avec le style très particulier de la chanteuse. Visiblement, son jeu c’était de faire croire qu’elle était bourrée durant chaque MC O_o
ShōjoQ, certes je connaissais un peu, ce fut une vraie découverte. Pour la première fois, j’entendais les morceaux avec de vrais musiciens et ça rendait vraiment très bien. Bien mieux que ce que j’avais entendu en France en tout cas.
Roman★Kissa, ce fut la grosse découverte de la soirée. J’ai franchement beaucoup aimé et le groupe était en plus vachement sympa. Ils nous ont offert des bonbons 😀
Snack Tachibana, c’était particulier. J’ai pas forcément accroché à toutes les chansons mais la chanteuse par son timbre de voix très « Edith Piaf » ne m’a pas laissé indifférent. Le plus surprenant avec elle fut de la voir descendre 1 ou 2 bières entre chaque chanson, le public se prenant au jeu de lui en offrir une nouvelle à chaque fois.

Bien entendu, je remercie namihey pour m’avoir proposé cette soirée mais aussi pour sa gentillesse car elle est revenue me remercier en civile tout de suite après sa prestation, pendant le petit temps de pause entre les passages des artistes. A la fin également, elle m’a offert un petit livret de présentation de son groupe. Bref, ce fut un bon petit moment.

Derrière, je me suis malgré tout empressé de rentrer car d’une, je n’avais pas mangé, et de deux, j’avais besoin d’une bonne nuit de sommeil dans un vrai lit !

Arrivé à l’hôtel, je découvre un truc dont m’avait parlé la personne de l’accueil mais je n’avais pas franchement écouté. En fait, de 19h à 24h, le rez-de-chaussée de l’hôtel se transforme en bar et le jour de son arrivée on a le droit à une boisson gratuite. Je profite donc de ma boisson gratuite pour m’installer au bar sans forcément l’intention d’engager la conversation. Finalement, alors que l’on est entouré de clients anglo-saxons, les seuls qui viennent me parler sont des japonais 😀

Et c’est donc vers 0h15 seulement que je rejoins mon lit, après un dernier cours en live de japonais.

[Japon 2010] Le centre historique de Takayama

À 13h50, nous sommes de retour à Takayama et nous profitons du temps qu’il nous reste pour faire un tour de la ville. Plus exactement, nous visitons le centre historique de Takayama.

Comme cette visite n’était pas planifiée au départ, nous explorons un peu au hasard différents lieux de la ville. Le centre historique est vraiment très intéressant et nous offre l’image d’un vieux Japon.

Voir l’ensemble de mes clichés en cliquant sur l’image ci-dessous :

Le pont Nakabashi

Au détour d’une rue commerçante, nous tombons sur un vendeur de Taiyaki dont j’avais beaucoup entendu parlé par l’intermédiaire des SKE48. On s’est donc laissé tenter sans trop hésiter et bien mal nous en a pris car c’était très bon !

Le Taiyaki (たい焼き, littéralement “dorade cuite”) est un gâteau japonais en forme de poisson. La plupart du temps, il est fourré d’anko, une pâte de haricots rouges sucrés.

Voici la photo de celui que j’ai mangé ce jour-là :

Le taiyaki, c'est bon !

Le taiyaki, c’est bon !

À 16h44, il est ensuite temps pour nous de reprendre le train à destination de Nagoya. Nous dormirons ce soir encore dans le même hôtel qu’auparavant.

Vers 19h30, nous sommes à notre hôtel pour le check-in. Une fois ces formalités remplies, je contacte mon ami Takeshi qui devait nous rejoindre pour se faire un resto. Notre choix se portera finalement sur un izakaya situé dans les environs de l’hôtel.

Un izakaya, c’est en quelque sorte un bar à tapas japonais. C’est un lieu où l’on sert des boissons alcoolisées ; très fréquentées le soir, on y boit de la bière ou du saké et on peut commander des plats chauds ou froids que l’on se partage entre amis ou collègues dans une ambiance décontractée.

Vous n’aurez malheureusement pas de photos de ce moment formidable car dans le feu de l’action j’ai totalement oublié d’immortaliser cet évènement. Finalement, à la fin du repas, malgré mes protestations, mon ami insistera pour nous offrir ce repas. J’aurai bien l’occasion de lui rendre la pareille lors d’une prochaine visite à Nagoya.

Derrière, nous rentrons nous coucher après avoir bien remercié mon ami et lui avoir dit à bientôt. Demain, c’est la ville de mes rêves qui nous attend, j’ai nommé Kyōto !

[Japon 2010] Village historique de Shirakawa-gō

Mardi 17 août 2010. Nous nous réveillons vers 7h du matin. Nous faisons comme la veille l’aller-retour au conbini de la gare afin de petit-déjeuner à l’hôtel. Nous en profitons également pour acheter notre repas de midi.

Direction ensuite la gare de Takayama où on retrouve la compagnie de bus locale qui nous amènera à Shirakawa-gō. Lorsque nous achetons nos places, alors que je fais ma demande en japonais, la caissière me répond à mon grand étonnement en anglais O_o

Pour vous rendre à Shirakawa-gō depuis Takayama, il vous faut emprunter la compagnie de bus Nohi. Le trajet dure environ 1 heure et l’aller-retour coûte 4.300 ¥. Vous trouverez l’ensemble des horaires ici : http://www.nouhibus.co.jp/english/shirakawago_kanazawa.html.

À 8h50, notre car quitte la ville de Takayama. À 9h40, nous sommes déjà arrivés à Shirakawa-gō.

Shirakawa-gō (白川郷, le village de la rivière blanche) est un village situé dans le centre du Japon dans la vallée de Shokawa, au nord de la ville de Nagoya dans le nord de la préfecture de Gifu. Inscrit au patrimoine mondial de l’humanité, Shirakawa-gō est surtout connus pour ses maisons typiques dans lesquelles étaient élevés les vers à soie. Ce style architectural appelé gasshō-zukuri (合掌造り, construction aux paumes des mains jointes) désigne les maisons au toit très pentu afin de supporter les chutes de neige très abondantes de cette région montagneuse.

À l’intérieur des maisons, les vers à soie étaient élevés à l’étage qui était chauffé par des foyers placés au rez-de-chaussée. La chaleur permettait également de conserver le chaume au sec. Cette toiture spécifique demande un peu d’acrobatie pour changer sa paille, et des poutres sortant du faîte permettent aux artisans de s’accrocher pendant qu’ils travaillent sur le toit.

Vous pouvez consulter l’ensemble de mes photos du lieu en cliquant sur l’image ci-dessous :

Maisons typiques du village

Il est donc environ 10h lorsque nous commençons notre visite. Pour rejoindre le village, il faut commencer par traverser un pont suspendu. Nous faisons ensuite un premier stop à la maison Wada qui est l’un des nombreux exemples de maison du style gasshō-zukuri.

La visite de la maison Wada coûte 300 ¥ par personne.

Un observatoire se trouvant près de là, nous décidons de nous y rendre afin de prendre quelques clichés et de profiter de la vue complète sur le village qui nous tend les bras.

Nous faisons ensuite le tour complet du village sans visiter d’autres maisons car elles sont relativement semblables à celle que l’on a déjà visité et sont également payantes !

Aux alentours de midi, nous sommes de retour à notre point de départ. Finalement, nous avons mis beaucoup moins de temps que ce que nous avions prévu. On se décide donc à manger notre repas sur un banc en attendant le bus du retour.

À 13h, nous reprendrons le bus direction Takayama où nous profiterons du temps qu’il nous reste avant le train du soir pour visiter la ville.

[Japon 2010] Nagoya, jour 2

Lundi 16 août 2010. Comme nous ne sommes pas pressés par le temps, nous nous levons ce matin vers 7-8h. Comme la veille, on se rend au conbini du coin pour acheter notre repas. On se prépare ensuite tranquillement.

À 11h, nous retrouvons mon ami Takeshi à la gare de Kanayama puisque c’est là qu’il nous a donné rendez-vous. Là, comme convenu, nous constatons avec plaisir qu’il est venu en voiture. Cool, nous allons donc visiter la ville avec celle-ci. En plus d’être pratique, c’est surtout la première fois que je circule en voiture du côté gauche de la route ! Hé oui, si vous ne le savez pas encore, au Japon on conduit du côté gauche comme chez nos amis anglais. Et pour commencer la journée, il nous emmène au sanctuaire shintoïste Atsuta-jingū. Celui-ci est considéré comme le second temple le plus sacré du Japon.

Le sanctuaire Atsuta-jingū a été construit durant le règne de l’Empereur Keikō (71-130). Il renferme notamment l’épée légendaire Kusanagi, l’un des trois trésors impériaux du Japon, ainsi que plus de 4 000 autres trésors nationaux, témoignant de ses deux millénaires d’histoire. Notez cependant que cette épée n’est pas exposée à la vue du public. Ce sanctuaire est dédié à cinq Ōkami : Amaterasu, Susanoo, Yamatotakeru, Takeinadame et Miyasuhime. L’accès y est totalement gratuit.
Pour plus de renseignements, voir le site officiel : http://www.atsutajingu.or.jp/en/intro/

Vous pouvez accéder à mes photos du lieu en cliquant sur l’image ci-dessous :

Atsuta-jingū

Notre visite s’étant terminée aux alentours de 12h, nous avons décidés de déjeuner sur place. En effet, comme vous pourrez le voir sur place, il y a un restaurant à l’intérieur du sanctuaire. Pas mal de choix est au menu mais je me laisse tenter par un petit katsu kare (porc pané au curry japonais). En guise de dessert, nous pouvons prendre de la glace, chose extrêmement rare dans un restaurant japonais ! Plus exactement, il s’agit de kakimizu (glace pilée). Plusieurs parfums sont disponibles et en ce qui me concerne, j’ai pris le goût melon. Et comme c’était ma première du voyage, j’ai immortalisé l’instant en photo !

Kakimizu au melon

Kakimizu au melon

Nos corps étant désormais bien rafraîchi, nous reprenons la voiture en direction du château de Nagoya. Nous arrivons vers 14h environ et commençons par une première rencontre inattendue juste avant la grande entrée, une rencontre avec Hachimaru la mascotte officielle de la ville de Nagoya.

Hachimaru

Hachimaru

Après nous être pris en photo avec lui, nous nous dirigeons vers les caisses pour prendre nos billets d’entrée. Là, mon ami, curieux de m’entendre me débrouiller en japonais, me met au défi d’aller acheter seul nos billets d’entrée, ce que je fais sans le moindre problème. Une fois à l’intérieur, nous faisons une deuxième rencontre toute aussi inattendue que la première dans le parc juste devant le château. Cette fois-ci, il s’agit d’un cosplayeur local semble-t-il assez connu qui porte un costume du célèbre politicien japonais Sakamoto Ryōma. Là encore, nous prenons la pose avec lui. Il faut savoir que le cosplay a une vraie valeur ici à Nagoya car c’est dans cette ville qu’est organisée chaque année le World Cosplay Summit, soit en quelque sorte la coupe du Monde du cosplay. Nous avons ensuite effectué la visite du château et de son parc jusqu’à la fermeture, soit 16h. Cliquez sur la photo ci-dessous pour accéder à l’ensemble de mes photos du lieu :

Château de Nagoya

Le château de Nagoya a été construit à l’origine autour de 1525 mais il a été plusieurs fois reconstruit par la suite. Le visage actuel du château est celui de 1612 qui a été reconstruit après la seconde guerre mondiale durant laquelle celui-ci avait été incendié par les bombardements aériens de l’armée américaine. Au sommet du donjon se trouvent deux dauphins à tête de tigre en or, appelés kinshachi (金鯱), ou Shachihoko utilisés comme talismans pour la prévention des incendies. Ils sont un symbole de l’autorité du seigneur féodal. On trouve également à l’intérieur du château, un musée assez intéressant. L’entrée vous en coûtera 500 yens par personne.

Il nous reste peu de temps derrière avant notre train pour Takayama. Nous effectuons donc un rapide détour par le quartier de Sakae histoire de prendre en photo le Sunshine Sakae que j’avais aperçu seulement de loin auparavant. C’est un peu juste pour dire, je suis allé voir l’antre des SKE48, les cousines de Nagoya des AKB48. On se contente comme on peut à défaut d’avoir gagné au tirage au sort pour voir l’un des stages du groupe. De toute façon, je les verrai à la fin du mois à l’occasion du « Idol Summer Festival » qui aura lieu au Shibuya CC Lemon Hall.

Sunshine Sakae

Sunshine Sakae

Takeshi nous dépose à la gare centrale de Nagoya. C’est l’heure des adieux mais nous nous donnons déjà rendez-vous pour le lendemain soir car nous serons de retour à Nagoya et nous prévoyons d’aller manger quelque part ensemble. Vers 17h30 environ, nous nous apprêtons à monter dans notre train à destination de Takayama. Nous n’avons pas véritablement pour objectif de visiter la ville de Takayama mais plutôt la ville de Shirakawa-gō classée au patrimoine mondial de l’Unesco située juste à côté. Petite anecdote alors que nous faisons la queue pour accéder à l’unique wagon sans réservation. Un groupe d’espagnols tente devant nous une manœuvre à « l’occidentale ». Comme la queue est assez longue, nos amis espagnols tentent de passer par un autre wagon afin de joyeusement doubler tout le monde. Ils essayent une première fois un wagon plus en avant mais ils se font refouler par un contrôleur. Ils essayent ensuite un wagon plus en arrière et, « Oh miracle », nous les retrouvons plus tard dans notre wagon comme si de rien n’était. Et après on s’étonne que les japonais aient une mauvaise image des étrangers…

Pour vous rendre à Takayama depuis la ville de Nagoya, il vous faudra prendre le « JR Hida Limited Express ». Le trajet dure environ 2h30 et coûte 5.360 yens pour un siège sans réservation (ou gratuit si JR Pass).

Vers 20h, nous arrivons à la gare de Takayama. Nous nous rendons à notre hôtel, le J-Hoppers de Takayama. Pas de chambre dortoir cette fois-ci mais une chambre triple, comprendre une chambre privée pour trois personnes.

Une nuit dans une chambre triple au J-Hoppers de Takayama coûte 3.000 ¥ (environ 28 €) par personne.

Après avoir rapidement fait notre check-in, nous retournons du côté de la gare pour faire quelques emplettes au conbini tout proche puis nous rentrons manger à l’hôtel. Nous ne tardons ensuite pas trop avant d’aller nous coucher.

[Japon 2010] Nagoya, jour 1

Dimanche 15 août 2010. Je me réveille sur le coup des 7h du matin. Je petit déjeune en vitesse car j’ai prévu de partir vers 8h mais… mes deux acolytes traînent de nouveau et m’oblige finalement à retarder le départ. Pour couronner le tout, je n’ai pas réussi à joindre mon ami japonais de Nagoya, nous devrons donc nous débrouiller seuls pour aujourd’hui. Au final, nous partons avec 2h de retard, ça va être tendu niveau programme.

Je n’en ai pas encore parlé jusqu’ici, donc j’aborde le sujet du transport sur longue distance au Japon. Si vous comptez comme moi vous rendre en train à Nagoya ou tout autre ville au-delà avec pour point de départ Tōkyō, il vous faudra très certainement avoir recours au Japan Rail Pass (JR Pass). Ce précieux sésame vous permettra en effet de voyager gratuitement sur la grande majorité des trains du réseau JR (il n’est pas valable pour les trains les plus rapides comme le Nozomi) à travers tout le Japon (ou une région selon la formule choisie) pour une période donnée. Pour un JR Pass national d’une semaine, il vous en coûtera 28.300 ¥ (soit environ 264 €). Peut-être que certains penseront que c’est cher mais histoire de vous montrer l’intérêt de la chose, voyons le montant du billet de train pour le trajet Tōkyō-Nagoya. Pour un trajet aller-retour Tōkyō-Nagoya, il vous en coûtera au minimum 20.000 ¥ (soit environ 187 €). Dans le premier cas, avec le JR Pass, vous aurez la possibilité de prendre un grand nombre de trains autres durant toute une semaine alors que dans le deuxième cas vous devrez repayer à chaque nouveau trajet. Faites bien vos calculs à l’avance pour voir ce qui est le plus avantageux pour vous. Pour cela, ce site (en anglais) vous sera très utile : http://www.hyperdia.com/en. Sachez toutefois que ce pass n’est valable que pour les voyageurs étrangers (pas pour les locaux en somme) et doit s’acheter impérativement dans votre pays d’origine dans les 3 mois précédant le voyage. Celui-ci est en général disponible soit directement dans votre agence de compagnie aérienne soit dans une agence de voyage spécialisée. Une rapide recherche sur internet vous permettra de trouver votre bonheur.

Il est 12h15 et je viens d’arriver à Nagoya. Si au départ je devais venir en simple touriste, j’ai pu grâce au très généreux Killersky4 me rendre à un mini-live des S/mileage qui avait justement lieu ce jour-là à Nagoya. Bon, problème, on vient de débarquer avec nos valises, l’hôtel est un peu loin de la gare et on ne trouve aucun “coin locker” disponible pour y laisser nos affaires… Finalement, après 30 minutes de patience (et de recherche), nous obtenons enfin un coin locker et nous y posons en vitesse nos affaires, tellement vite que j’en oublie de prendre mes sticks et ma towel encore à l’intérieur -_- Tant pis, je ferai sans.

Commence ensuite le parcours du combattant avec la recherche du lieu de l’évènement, le Club Diamond Hall. A priori, c’est facile, il suffit de prendre une grande rue en sortant du bon côté de la gare et de la longer jusqu’à l’immeuble où se trouve la salle. Problème, c’est beaucoup plus loin que prévu et j’arrive un peu à la bourre soit à 13h40 alors que l’event commence à 14h, ouf ! Je respire un grand coup, je montre mon ticket ainsi que le mail gagnant sur mon téléphone portable (héhé) et j’obtiens mon billet d’entrée. Je me précipite à la boutique pour acheter le t-shirt que m’avait demandé Killersky4. Je suis tellement tendu que je dois faire répéter la vendeuse qui me disait tout simplement “Chō ureshii !?”. Oui, ça c’est sur, je suis super content d’être là. Je regarde ensuite mon ticket. Hé, pas mal, je suis rang 6 et en plein milieu de la salle \o/

Histoire de faire court, je ne reviens pas trop en détails sur le live, c’était génial forcément. En voici la setlist :

>> Les filles entament le concert dans la tenue noir du single “○○ Ganbaranakutemo ee nende!!”.
01. ○○ Ganbaranakutemo ee nende!!
>> MC (présentation)
02. Smile Bijin
03. Asu wa date nanoni, imasugu koe ga kikitai
04. Yume miru fifteen
>> MC (sur le PV de Yume miru fifteen)
>> Entracte dans le style de leur émission radio avec à la présentation DJ Kanon qui reçoit en guest les S/mileage 
>> Passage aux tenues blanches du single “○○ Ganbaranakutemo ee nende!!”.
05. Yume miru fifteen
06. Suki-chan
>> MC (remerciements) Chacune fait sa promo. Kanon parle de sa vidéo Youtube qui approche des 50.000 visions, objectif fixé pour que Yūka et Ayaka aient droit à leur version. Sakitty parle ensuite de son émission Ohastar et nous invite à la regarder. Ayaka parle de ? (j’ai rien compris) et Yūka de son photobook et son DVD qu’on doit bien évidemment acheter. Qui pourrait lui refuser quelque chose ? Pas moi en tout cas… Elles parlent enfin de leur prochain (le 3ème) single major à venir, “Onaji jikyū de hataraku tomodachi no bijin mama”.
07. ○○ Ganbaranakutemo ee nende!!

C’est le moment du “Bye! Bye!”, la lumière s’éteint puis se rallume. Personne ne bouge, je me dis alors qu’on va avoir droit à un petit bonus. Je rêve déjà d’un handshake et c’est bien ça qui s’annonce. Les rangs sont appelés un par un en commençant par le premier. Arrive enfin mon tour. Les filles se placent dans l’ordre suivant : Kanon, Ayaka, Yūka et Saki. Je sers donc en premier la main de Kanon et la remercie, puis j’enchaîne avec Ayaka. Je place tant bien que mal un petit “furansu ni kite kudasai !” (“Venez en France” dans la langue de Molière , encore une fois le staff pousse très fort (comme à Buono!). Le plus drôle sur le coup, bien que je n’ai pas eu beaucoup le temps de tergiverser, c’est la tête d’halluciné qu’elle me fait alors. Derrière, j’arrive en un éclair (merci le staff…) sur Yūka et c’est le black out total dans ma tête. Je suis à 20 centimètres d’elle, elle m’offre un sourire irréel, je fonds littéralement… La perfection existe en ce monde \o/ Puis arrive enfin Saki. Je lui sers la main presque par réflexe tellement mon contact précédent m’a marqué… Voilà, c’est déjà fini mais c’était tellement bon !!

À la sortie, je retrouve donc mes deux comparses et mon amie me dit alors : “Pourquoi tu souris comme un con ?”. Et moi, bêtement, je lui réponds : “Ah, c’est vrai ? Ça doit être le résultat de la rencontre avec une déesse…” Bref, nous retournons à la gare chercher nos bagages puis nous reprenons un train local direction Kanayama, un quartier de Nagoya, où se trouve notre hôtel.

La gare de Kanayama (Aichi) se trouve à seulement 3 minutes en train de la gare centrale de Nagoya. Pour vous y rendre, il existe une ligne JR donc gratuite si vous avez le JR Pass.

Arrivés à Kanayama, c’est la panique… Rien ne ressemble à mon plan et je ne trouve pas l’hôtel. On demande à plusieurs commerçants du quartier et c’est le vide intégral, personne ne connaît notre hôtel… On s’arme de courage et on continue à chercher quand, miracle, nous trouvons notre hôtel dans une toute petite ruelle… En fait, nous apprendrons plus tard que nous sommes sortis du mauvais côté de la gare d’où le problème de plan ! L’hôtel, c’est Hostel Ann, un petit hôtel avec chambres dortoirs ou privées fort sympathique et peu cher.

Une nuit dans une chambre dortoir à l’Hostel Ann coûte 2.500 ¥ (environ 23 €) par personne.

Après avoir fait notre check-in et posé nos affaires, je me rends dans la salle commune pour profiter du wifi et voir si mon ami m’a répondu. Rien. Je prends donc mon courage à deux mains et je me dirige vers une cabine téléphonique afin d’appeler directement chez lui. Au bout du fil, je tombe sur son père qui ne parle bien sûr que japonais et comme la liaison (en plus) est mauvaise, je ne comprends pratiquement rien… Après une minute de galère, c’est finalement sa soeur qui reprend le combiné et, par chance, elle parle anglais ! Elle me dit que son frère est parti pour la journée avec leur mère pour visiter un temple et qu’il sera de retour dans la soirée. Elle me promets ensuite de faire passer le message à son frère, il ne me reste plus qu’à attendre donc.

En attendant la dite réponse, je me pose de nouveau dans la salle commune et commence à discuter tranquillement avec d’autres clients de l’hôtel. Un chinois qui parle couramment anglais et japonais m’invite à discuter avec lui et la responsable des lieux. Truc extraordinaire, il offre même en guise d’apéro aux gens présents de l’ananas frai découpé en morceaux ! C’est le grand luxe (on est au Japon remember) !

Chacun ira ensuite chercher ou préparer son repas. Moi, j’opte pour la solution de facilité avec le passage au conbini du coin. Pendant le repas, à ma grande surprise, je tombe sur des clients français. Comble du hasard, ce sont mêmes deux professeurs à la retraite ! Nous discutons donc un peu travail mais nous enchaînons très vite par une discussion sur le Japon. Et là, c’est le drame… Nous ne sommes alors pas du tout sur la même longueur d’ondes. Mes deux “collègues”, habitués à se rendre régulièrement en Chine, trouvent la vie en général au Japon trop chère ! Bien évidemment, quand on compare l’un des pays les plus riches au monde avec un pays en voie de développement, c’est pas pareil c’est sûr… Nous nous quittons malgré tout bons amis.

Dans la soirée, mon ami me répond enfin par mail et me donne rendez-vous devant la gare de Kanayama le lendemain matin. Vivement demain donc !

J12 (26 avril 2012) : Kyôto !

A mon réveil vers 8h, je descends à la réception et constate avec étonnement qu’eva01 est déjà parti… comme un voleur. Je suis bientôt rejoint par le frère d’eva01 et ensemble on déjeune tranquillement dans le coin cuisine du rez-de-chaussée. On attend un peu notre troisième comparse mais celui-ci tarde à venir. On apprend finalement qu’il ne se sent pas bien et qu’il compte passer sa journée à se reposer dans sa chambre. Pas grave, nous irons visiter Kyôto sans lui. Nous décidons malgré tout d’attendre le début d’après-midi avant de partir afin de d’abord bien se décider sur les lieux à aller voir. Notre choix se porte sur deux lieux : la promenade des philosophes (célèbre pour ses nombreux sakuras en fleur au printemps) et la forêt de bambou d’Arashiyama.

La promenade des philosophes (testugaku no michi) donnant l’occasion de visiter de nombreux temples, qui ferment potentiellement tôt, nous nous rendons en priorité à cet endroit. Pour cela, il nous suffit tout simplement de prendre le métro à la gare de Kyôto. Sur place, nous découvrons qu’il y a également un zoo tout proche mais nous n’irons pas le visiter. Nous commençons par le temple Konchi-in dont le prix d’entrée est fixé à 400 yens. Il n’est pas très grand mais le cadre est magnifique.

Temple Konchi-in

Plus loin, nous visitons le temple Nanzenji qui est en fait un regroupement de plusieurs temples. Nous visitions plus spéficiquement le temple Tenjuan dont qui lui aussi offre un cadre des plus merveilleux.

Temple Tenjuan

C’est avec joie que nous constatons la faible présence d’étrangers en ces lieux. Ca change clairement des gros spots bien connus de Kyôto où les étrangers sont légions ! Nous marchons encore un petit peu puis nous arrivons enfin à la fameuse promenade des philosophes où nous découvrons avec amertume que la très grande majorité des sakuras n’offre plus la moindre fleur…

Promenade des philosophes

Nous retournons ensuite au métro et prenons la direction d’Arashiyama. Après un bout en métro, il nous faut cette fois-ci prendre en plus un train local du réseau JR. Arrivés sur place, la nuit commence tout doucement à tomber, ils nous font donc presser le pas. Nous perdons un petit 1/4h pour trouver le chemin qui permet l’accès à la forêt de bambou mais l’endroit vaut clairement le coup d’oeil. On se dit cependant que le lieu doit être encore plus sympathique lors le soleil est à son zénith, encore une raison de revenir sur Kyôto :normal: 

Forêt de Bambou d'Arashiyama

On revient sur Osaka où on retrouve notre grand malade. Il va apparemment mieux et consent à nous accompagner au kaitenzushi repéré la veille. Comme on est loin d’être des habitués, on préfère se laisser tenter par des sets de sushis afin de pouvoir goûter un maximum de sushis différents pour une somme maudique. Comme je n’ai pas énormément faim non plus, je prends le plus petit modèle proposé, un set de 10 pièces (omelette, thon, poulpe, saumon, crevette…) accompagné d’un thé oolong.

J'adore les sushis !

Nous rentrons ensuite à l’hôtel pour ce qui sera ma dernière nuit à Osaka. Demain, c’est retour sur Tôkyô pour un double concert des Up-Up Girls au Live Gate d’Ebisu. Up-Up Girls est un groupe temporaire formé de 6 filles issues du Hello! Project Egg, la branche de formation du Hello! Project en quelque sorte.

J11 (25 avril 2012) : Osaka again

Comme à mon habitude, je me lève vers 8h du matin et descends me chercher un petit déjeuner au combini du coin. Lorsque je passe près de l’accueil, je croise M. Yano un des membres du staff de l’hôtel qui est connu pour organiser des visites de la ville et des soirées dans le quartier. Il m’invite, tout comme ma copine de la veille, à l’accompagner pour sa visite de la ville mais je préfère décliner son offre. En effet, il propose de visiter des lieux que j’ai déjà vu et un maid café, ce qui ne m’intéresse absolument pas !

Ce matin encore donc, je prends mon temps pour me préparer et décider de ma journée. Après une longue hésitation, devant le fait que le château d’Himeji n’est toujours pas totalement ouvert, nous décidons de rester une nouvelle fois à Osaka pour la journée. Au programme, un nouveau passage par Dotombori, une visite du jardin suspendu de l’Umeda Sky Building et la visite d’un temple tout près de la gare d’Osaka.

Notre première cible à Dotombori est le “Gokuraku Shôtengai” qui est un lieu que j’avais voulu visiter deux ans plus tôt mais qui était fermé pour travaux. A notre arrivée, le bâtiment est bien ouvert cette fois-ci mais son fonctionnement semble avoir quelque peu changer depuis sa réouverture. A l’origine, c’était un lieu où l’on pouvait à la fois voir une représentation de théâtre et manger des spécialités locales. Aujourd’hui, le théâtre n’est plus ouvert que pour quelques spectacles par période et seuls des restaurants (assez chers) restent accessibles… Bref, on décide de zapper la visite du bâtiment et de se rendre à un temple situé juste derrière.

On galère un peu à trouver le temple et on finit par réaliser que celui-ci s’étale en fait sur plusieurs rues. L’ambiance des rues changent radicalement par rapport aux grosses artères de Dotombori, c’est aussi ça le Japon.

le temple Hôzen-ji

Sur le chemin du retour, je fais un petit détour par le Tsutaya du coin, ceci afin de chercher un album de musique tradionnel pour mon père. Ca peut paraître difficile à croire mais c’est beaucoup plus difficile à trouver au Japon qu’en France ! Après de longues minutes de recherche, je finis par trouver mon bonheur dans le rayon classique/ambiance. Logique, non ? Bref, je remercie mon dictionnaire de kanji qui pour le coup m’a un peu sauvé la vie pour déchiffrer le nom du CD sans quoi je serai encore une fois passé devant sans m’en rendre compte. Au passage, je me prends le dernier single de la jeune chanteuse d’enka que j’apprécie particulièrement, Sakura Maya.

Le 5ème single de Sakura Maya "Watashi kara anata e"

Après un repas pris à l’hôtel, nous repartons vers l’Umeda Sky Building, à pieds pour changer un peu. Nous galérons un peu pour trouver l’entrée mais nous finissons par y arriver. L’entrée est un peu chère à mon gôut, surtout avec le temps couvert mais le cadre est relativement agréable. Le lieu est semble-t-il essentiellement fréquenté par des couples japonais mais il en faut plus pour nous arrêter. Par contre, pour un jardin suspendu, je m’attendais à voir un peu plus de verdure mais il n’y en a point ! Constatez par vous-mêmes en cliquant sur l’aperçu ci-dessous (lien à venir) :

Umeda Sky Building

Nous nous rendons ensuite dans le quartier de la gare d’Osaka tout proche afin d’aller visiter le temple Taiyû-ji. Encore une fois, nous galérons un peu pour le trouver car celui-ci est un peu perdu au milieu de grands buildings. Arrivé à l’entrée du temple, nous voyons les portes se fermaient devant nous…

Temple Taiyû-ji

Pas grave, ça me donnera l’occasion de revenir une nouvelle fois sur Osaka une prochaine fois. Histoire de ne pas être venu pour rien, nous faisons le tour de la longue galerie juste à côté. Nous y repérons un kaitenzushi (restaurant à sushi avec tapis roulant) où nous envisageons de nous rendre demain. Nous retournons ensuite à l’hôtel pour attendre eva01 et son frère qui passaient leur soirée à un concert des NMB48 dans la banlieue d’Osaka.

L’heure maximale de check-in étant fixée à 22h, nous nous occupons comme on peut en attendant. On joue quelques parties de billard, on surfe sur internet et on discute avec les deux jolies demoiselles de l’accueil. Ne les voyant toujours pas arriver à 15 minutes de l’heure fatidique, j’entame une négociation pour récupérer les clés d’eva01. On rigole sur le fait que nos deux retardataires sont à un concert des vedettes locales. Lorsque nos deux frères débarquent à 22h tout pile, c’est l’éclat de rire. Le frère d’eva01, avec son écharpe des NMB48 ultra visible autour du coup, affiche d’entrée la couleur. On finit une nouvelle fois la soirée sur le toit avec une petite glace :normal: