Jeux Linux : les lauréats de 2017

Comme à chaque fin d’année désormais je vous propose un top 20 des sorties de jeux sur Linux cette année sur la base des notes du site metacritic. L’an dernier, le grand vainqueur se nommait Out of the Park Baseball 17, un jeu de gestion de club de baseball. On reste dans le sport cette année car le numéro 1 se nomme F1 2017, soit le premier épisode de la série à venir sur Linux.

Voici maintenant le top 20 complet de 2017 :

  1. F1 2017 (89)
  2. Night in the Woods (88)
  3. West of Loathing (87)
  4. Hollow Knight (86)
  5. Paradigm (86)
  6. SteamWorld Dig 2 (85)
  7. Planescape: Torment: Enhanced Edition (85)
  8. Rakuen (84)
  9. The End Is Nigh (84)
  10. Thimbleweed Park (84)
  11. Detention (83)
  12. Bleed 2 (83)
  13. Football Manager 2018 (82)
  14. Pyre (82)
  15. Finding Paradise (82)
  16. Reigns: Her Majesty (81)
  17. Slime Rancher (81)
  18. Hand of Fate 2 (80)
  19. Tooth and Tail (80)
  20. Flinthook (80)

L’excellent spin-off de Shovel Knight, Specter of Torment, n’est pas classé par manque de notes mais aurait mérité sans aucun doute une place dans ce classement et le portage de Disgaea 2 (81) sorti en janvier 2017 aurait lui aussi pu y figurer.

Bien entendu, comme chaque année, on note une forte présence des jeux indépendants. Hormis F1 2017, aucun “gros” jeu n’a été porté sur Linux cette année. Malgré tout, ce classement a quand même fier allure, mais nul doute qu’avec quelques AAA en plus celui-ci serait encore meilleur.

En tant que fan de jeux japonais, je suis un peu déçu. L’an dernier, nous avions eu droit aux portages des 2 premiers Danganronpa mais seul Disgaea 2 l’a été cette année comme énoncé plus haut. Et encore une fois, cela est à mettre au crédit de NiS America. Chers développeurs japonais, grand merci de désormais proposer vos jeux sur PC pour l’occident mais maintenant faites en sorte de proposer vos jeux aussi sur d’autres plateformes que Windows !

Jeux Linux : les lauréats de 2016

Après un oubli total l’an dernier (honte à moi), je vous propose de nouveau un top 20 des jeux linux sortis cette année en me basant sur les données du site metacritic qui fait la moyenne (un pourcentage) des notes délivrées par différents médias spécialisés. L’an dernier, revenons-y avant de dévoiler ce nouveau top, le grand gagnant était Undertale avec une note de 92.

Voici maintenant le top 20 de 2016 :

  1. Out of the Park Baseball 17 (92)
  2. Stephen’s Sausage Roll (90)
  3. Kentucky Route Zero – Act IV (90)
  4. Stardew Valley (88)
  5. XCOM 2 (88)
  6. Total War: WARHAMMER (86)
  7. Chime Sharp (86)
  8. Pony Island (86)
  9. Day of the Tentacle Remastered (86)
  10. Candle (85)
  11. Darkest Dungeon (84)
  12. The Last Door: Season 2 (84)
  13. Enter the Gungeon (84)
  14. Hyper Light Drifter (84)
  15. SpeedRunners (84)
  16. Hearts of Iron IV (83)
  17. Devil Daggers (83)
  18. Danganronpa: Trigger Happy Havoc (83)
  19. Deus Ex: Mankind Divided (83)
  20. Shadow Tactics: Blades of the Shogun (83)

Comme chaque année aussi, on retrouve des jeux sortis (les années précédentes) sur Linux en 2016 non classés par metacritic : Lara Croft GO (iOS, 2015), Danganronpa 2 (PS Vita, 2014).

Les deux premières places peuvent surprendre mais malgré cela le classement a quand même de la gueule.  Il manque peut-être cependant quelques jeux qui ont fait l’actu comme Oxenfree, Super Hot, Starbound, Tyranny, Firewatch… tous sortis sur Linux bien entendu.

Génération Super Nintendo !

L’été dernier, suite à la parution du numéro spécial de JV le mag consacré à la génération Playstation, j’étais revenu sur mes souvenirs de la première console de Sony. Ce mois-ci, le magazine a récidivé mais en nous proposant de revenir sur ce qui est plus probablement ma génération, à savoir la génération Super Nintendo. Comme la fois précédente, je vous propose donc de revenir en souvenir sur mon rapport avec cette console.

Malgré toutes mes tentatives, je suis bien incapable aujourd’hui de vous dire quel pack de la console j’ai pu avoir pour noël 1992. Était-ce un pack sans jeu ? Je ne saurais le dire, mes premiers souvenirs marquants de la console étant liés au jeu de course futuriste F-Zero. Le “mode 7” dont on nous parlait beaucoup à l’époque était ici exploité de fort belle manière. Arrive assez vite derrière le jeu qui m’a fait découvrir, comme beaucoup, le genre versus fighting, Street Fighter II. Je ne compte plus le nombre d’heures passées à cette époque pour parfaire ma maîtrise des différents personnages. De mémoire, je jouais pas mal avec Chun-Li ou M.Bison. La 3ème claque viendra du jeu multijoueurs le plus fun de la Terre, j’ai nommé l’immense Super Mario Kart ! Là encore, je ne compte plus le nombre d’insultes et de “coups de pute” en tout genre durant mes parties avec frères et/ou potes.

Deux autres jeux au style totalement différent ont également une place particulière dans mes souvenirs. Il s’agit de Mega Man X et de Star Wing (ou Starfox). Le premier est un jeu auquel je peux jouer encore aujourd’hui avec beaucoup de plaisir, bien que j’ai certainement beaucoup perdu en terme de dextérité. Ce jeu, je l’attendais particulièrement car, après avoir retourné dans tous les sens Mega Man 2 sur NES, je n’avais qu’une hâte celle de découvrir la suite de la saga et ses nouvelles mécaniques. Le second, c’est autre chose. Au delà de son aspect premier jeu en simili-3D, que je trouvais bien entendu magnifique, j’ai eu une première rencontre avec ce jeu qui m’a beaucoup marqué. En effet, mon premier contact avec le jeu fut un test de celui-ci en magasin suivi de la remise d’un diplôme de pilote. Cela peut paraître futile aujourd’hui mais à l’époque ce “cadeau” m’avait fait grandement plaisir.

Comment ne pas citer ensuite la période dorée placée sous le signe du club Dorothée avec les nombreuses adaptations de THE anime, Dragon Ball Z. Le premier ne restera sûrement pas dans les annales bien qu’il avait finalement des qualités. Non, comme beaucoup, l’itération qui m’aura le plus marqué est le second, Dragon Ball Z : la légénde Saien. Bien que de très nombreux jeux adaptés de l’anime sont depuis sortis, c’est véritablement pour moi le jeu ultime de DBZ. Alors oui, certes, la traduction est loin d’être d’excellente, le roster de personnages jouables est faible en comparaison avec les jeux d’aujourd’hui mais le gameplay 2D du titre reste pour moi l’expérience ultime. Oui, je n’ai clairement pas aimé le passage à la 3D. Je me suis certainement également lassé du titre avec les années. Aujourd’hui, la nostalgie aidant, j’y replonge avec plaisir mais sans pour autant céder aux sirènes de Dragon Ball Super (nul).

J’aurais pu comme certains céder enfin à l’arrivée de la 3D chez les concurrents mais Nintendo a su trouver la technique adéquate pour me maintenir dans son giron, la pseudo 3D made in Rare. Comment ne pas être subjugué par la beauté des graphismes d’un Donkey Kong Country ou d’un Killer Instinct. Une technique mise au point par le même studio qui avait produit un jeu qu’on m’avait prêté et que j’adorais, Battletoads in Battlemaniacs. Un dernier coup de maître de Miyamoto finira de me convaincre que j’ai eu raison de m’accrocher à la Super Nintendo, à savoir Yoshi’s Island. Mais comment ne pas citer aussi le premier jeu de qualité (hors arcade bien entendu) de football qui lancera la saga PES, International Superstar Soccer Deluxe.

De mauvaises langues pourraient venir me dire que j’ai forcément eu des jeux qui m’ont laissé un goût amer et ils auront raison. Je ne suis pas prêt d’oublier les adaptations de BD franco-belge made in Infogrames (cocorico) qu’on nous a vendus avec des promesses folles ! Je pense notamment à Tintin au Tibet… Au final, même en étant passé à côté (à l’époque mais je rattrape mon retard) de certains des plus grands jeux de l’histoire du jeu vidéo comme Zelda : A link to the past ou bien encore Secret of Mana, la Super Nintendo reste à mes yeux THE console, la console que j’emmènerai avec moi sur une île déserte.

Génération Playstation ?

PlaystationA l’instar de l’excellent hors-série « Super Nintendo – Megadrive : la guerre des consoles », l’équipe du magazine JV a récidivé cet été en sortant un hors-série consacré à la Playstation première du nom. A la fin du dit magazine, chaque membre de l’équipe revient en souvenirs sur son rapport avec la machine et j’ai donc décidé d’en faire de même.

Déjà replaçons-nous un peu dans mon contexte de l’époque. Depuis un certain Noël 1989, j’ai découvert le monde merveilleux de Nintendo avec la NES et les jeux « Super Mario Bros » et « Duck Hunt ». C’était le début d’une histoire d’amour fusionnelle qui durera jusqu’en 1999 (soit 10 ans environ). Durant ce laps de temps, j’aurais bien entendu possédé toutes les consoles Nintendo de l’époque mais contrairement à ce qu’on pourrait croire je n’étais pas un anti-Sega, loin de là. Pour preuve, j’ai possédé durant la même période une Master System et une Game Gear. La vérité c’est que, hormis un de mes oncles, peu de personnes possédaient une console de Sega dans mon entourage.

Donc en 1999, bien que la nouvelle de Sony est sortie depuis bientôt 4 ans chez nous, j’ai su résister à l’appel de la nouveauté. Bien aidé il faut le dire par mon activité vidéo-ludique de l’époque sur PC. En effet cette année-là, après avoir retourné les jeux de la Nintendo 64, je passe le plus clair de mon temps à jouer sur ordinateur à des jeux comme « Duke Nukem 3D », « Blood » ou bien encore « Warcraft II ». C’étaient les joies de la découverte du jeu en réseau. J’étais d’ailleurs dans une association de jeunes consacrée à la pratique de l’outil informatique mais où on passait le plus clair de notre temps à jouer ou à tester des logiciels de modélisation comme « 3ds Max » ou « Maya ».

FF7

C’est d’ailleurs l’un des membres de cette association qui me convaincra de me laisser tenter par la petite dernière, celui-ci pouvant m’avoir la bête à prix réduit (rien d’illégal là dedans, je précise). Je découvre donc la Playstation courant 1999 avec le jeu « Final Fantasy VII » qui s’avère être alors mon tout premier J-RPG. Certains se demandent sûrement comment cela est possible avec les quelques très bons J-RPG sortis sur Super Nintendo notamment mais c’est la triste réalité. Triste oui car en découvrant ce jeu je tombe littéralement amoureux d’un genre qui m’était alors totalement inconnu. Et je ne suis pas seul car mes deux frères étaient eux aussi tout autant « hypé » que moi par ce jeu maintenant mythique.

Dans la foulée, je découvre un autre jeu qui me marquera durablement, j’ai nommé « Metal Gear Solid » de (mâitre) Kojima Hideo. Là encore, c’est un tout nouveau genre qui s’offre à moi. C’est la première fois que je joue à un jeu aussi réaliste et c’est une vraie claque. Dans le genre réaliste, en fan de bolides que j’étais déjà, je m’essaye à « Gran Turismo » et là encore c’est l’effet « Waouh » qui l’emporte.

En définitive, bien que j’ai eu la console sur le tard, la Playstation a clairement une place de choix dans mon cœur car c’est elle qui m’a fait découvrir des genres qui m’étaient jusqu’alors inconnus et surtout, malgré tout mon amour pour Nintendo, c’est la console qui épousait le mieux mon entrée dans le monde des adultes. Il est évident que sans elle le jeu vidéo n’en serait peut-être pas là où il en est aujourd’hui tant de nombreux jeux issus de cette console ont établi les bases des jeux actuels.

L’OG si près du but !

La saison 57 se termine sur une déception, une note amère. Voici quels étaient les objectifs fixés :

Championnat (division 6) : Champion → résultat : 2ème place
Coupe de France : 4ème tour ou Coupe Rubis : 3ème tour → résultat : 2ème tour (Coupe de France) / 1er tour (Coupe Rubis)

Aucun objectif de la saison n’a été atteint et pourtant l’équipe a réalisé sur l’ensemble de la saison une belle saison.

Tout s’est malheureusement joué en début de saison. On était prévenu pourtant mais la chance nous a tourné le dos. On a perdu sèchement la première journée face à notre principal adversaire (au final 3ème du championnat !) en prenant un rouge dès la 17ème minute. On a ensuite enchaîné avec une seconde (courte) défaite face au futur champion. Notre équipe était alors amputée de 2 joueurs cadres (le libéro et le numéro 10). On a malgré tout cru au miracle en voyant l’équipe reprendre la 1ère place en début de phase retour mais la malchance a de nouveau frappé le club lors de l’avant-dernière journée. L’équipe possédait 3 points d’avance sur le second et jouait un match face à une équipe de milieu de tableau. Tous les voyants étaient donc au vert. Sauf qu’au final nous sommes ressortis avec une courte défaite, un rouge pour notre dix et une nouvelle longue blessure pour notre libéro (sic).

Les objectifs pour la prochaine saison seront les suivants :

Championnat (division 6) : Maintien.
Coupe de France : 2ème tour et Coupe Rubis : 2ème tour

Compte tenu des résultats de la saison, nous avons décidé de revoir l’équipe dans son ensemble pour la reconstruire sur la durée. Nous arrivons en fin de cycle avec des joueurs formés au club désormais trentenaires. Il apparaît clairement que si on souhaite passer le cap de la montée en D5 des changements sont nécessaires. Des joueurs formés vont donc être vendus et nous allons recruter de nouveaux joueurs répondant aux exigences d’un tel projet. C’est pourquoi nous avons revu nos objectifs à la baisse pour la saison prochaine.

De plus, d’un point de vue financier, nous constatons que l’équipe ne génère pas assez de rentrées d’argent dans le mode de fonctionnement actuel. Nous allons donc fermer l’académie de jeunes dès que possible et limiter la masse salariale de l’équipe à 200.000 € avec un salaire individuel maximum de 30.000 €. Nous tenterons également de surveiller plus attentivement le marché des transferts afin de faire régulièrement de bonnes affaires (des plus-values en somme).

Jeux Linux : les lauréats de 2014

A l’image de ce que j’avais fait l’an dernier, je vous propose un top 20 des jeux linux basés sur les données du site metacritic qui fait la moyenne (un pourcentage) des notes délivrées par différents médias spécialisés. Pour rappel, le grand gagnant de 2013 était Fez avec une note de 91.

  1. Kentucky Route Zero – Act III (91)
  2. Metro: 2033 Redux (90)
  3. Out of the Park Baseball 15 (89)
  4. The Binding of Isaac: Rebirth (89)
  5. The Talos Principle (87)
  6. Shadowrun: Dragonfall – Director’s Cut (87)
  7. TowerFall Ascension (87)
  8. Shovel Knight (85)
  9. BattleBlock Theater (85)
  10. Europa Universalis IV: Wealth of Nations (84)
  11. Transistor (83)
  12. Terrian Saga: KR-17 (83)
  13. This War of Mine (82)
  14. Door Kickers (82)
  15. Broken Age Act 1 (82)
  16. Wasteland 2 (81)
  17. Sid Meier’s Civilization: Beyond Earth (81)
  18. DG2: Defense Grid 2 (81)
  19. Europa Universalis IV: Conquest of Paradise (81)
  20. Crusader Kings II: Charlemagne (80)

Certains jeux disponibles sur Linux depuis 2014 n’apparaissent pas dans ce classement car ils étaient officiellement sortis auparavant mais ils méritent d’être cités : Borderlands 2, The Witcher 2.

Alors, toujours pas décidé à jouer sur Linux ?

[Guide] Diablo III – Monter rapidement un perso au lvl 70 en solo

Nécessite d’avoir au moins terminé une fois le jeu et d’avoir un personnage niveau 60.

1) Jouer de préférence en mode “aventure”.
a/ Faire en priorité les primes avec events de coffre maudit (au besoin relancer une partie pour en avoir). Chercher des primes avec pour nom “maudit” comme sur l’exemple entouré en rouge ci-dessous :

b/ Faire des failles Nephalem.

Le but ici est d’affronter un maximum d’ennemis pour maximiser les gains. Si possible, ignorer les monstres basiques (blanc) et se concentrer sur les monstres puissants (bleu, jaune).

Voici la liste des coffres/sanctuaires maudits :

Acte I

  • La cave maudite – Cave humide (Les vieilles ruines) – Coffre
  • Le soufflet maudit – Salles de l’agonie, niveau 3 – Coffre
  • Le bosquet maudit -Bosquet d’arbres (Champs du malheur) – Coffre
  • La cour maudite – Cathédrale, niveau 2 – Coffre
  • La chambre des Oeufs maudite – Caverne d’Aranéa -Coffre
  • La chambre des Os maudite – Cathédrale, niveau 1 – Sanctuaire
  • Le moulin maudit -Ancien moulin (Champs du malheur) – Sanctuaire
  • Le camp maudit – Hautes-Terres du Sud – Sanctuaire

Acte II

  • L’avant-poste maudit – Plateau plaintif – Coffre
  • La fosse maudite – Les salles des Tempêtes (Archives de Zoltun Kulle) – Coffre
  • La flèche maudite – Les profondeurs insondables (Archives de Zoltun Kulle) – Coffre
  • L’archive maudite – Caveau des assassins (Sables désolés) – Sanctuaire
  • Le rempart maudit – Plateau plaintif – Sanctuaire
  • Les bas-fonds maudits – Grotte inondée, niveau 1 (Oasis de Dahlgur) – Sanctuaire

Acte III

  • La garnison maudite – Champ de bataille – Coffre
  • La caldera maudite – Cratère d’Arreat, niveau 2 – Sanctuaire
  • Le glacier maudit – Grottes de la chute de glace, niveau 1 (Champs du carnage) – Sanctuaire
  • Les profondeurs maudite – Profondeurs du donjon, niveau 2 – Sanctuaire

Acte IV

  • La chapelle maudite – La cime d’Argent, niveau 2 – Coffre
  • Le dais maudit – Jardins de l’Espoir, niveau 1 – Sanctuaire

Acte V

  • La fosse d’ossements maudite – Reliquaire des ossements, niveau 2 (Hauteurs d’Ouestmarche) – Coffre
  • Le forum maudit – Communs d’Ouestmarche – Coffre
  • La cité maudite – Passage vers Corvus – Sanctuaire
  • La salle de guerre maudite – Forteresse de Pandémonium, niveau 1 – Coffre
  • La tourbière maudite – Les voies des noyés – Coffre
  • Le royaume maudit – Champs de bataille de l’éternité – Sanctuaire

2) Jouer au niveau de difficulté correspondant à son perso.
Pour savoir si on est au bon niveau de difficulté, il faut tenter un event de coffre maudit. Si on n’obtient pas le coffre bonus à la fin, il faut baisser le niveau de difficulté.

3) A bas niveau, acheter 2 anneaux et une amulette avec la caractéristique “+ 2-4 dégâts”
On les trouve facilement auprès d’un vendeur dans chaque caravane d’acte. Pour l’anneau, il faut au minimum un niveau 7 et pour l’amulette un niveau 12.

4) A bas niveau, miser en priorité sur une arme avec beaucoup de dégâts

5) Utiliser un rubis (pierre rouge) pour son arme (+ dégâts), voire un second pour son casque (+bonus XP)

6) Recycler un maximum d’items chez le forgeron pour récupérer des composants

7) Ne pas gaspiller d’argent avec des achats inutiles.
Par exemple, ne pas acheter ou faire forger une arme nécessitant un niveau supérieur à son perso.

8) Pour retirer un rubis, utiliser le recyclage pour ne pas dépenser d’argent

9) Pour des choix d’objets, prioriser en fonction de ces caractéristiques :
a/ +Caractéristique principal (Main stat)
Dextérité : Moine et Chasseur de démon.
Intelligence : Sorcier et Féticheur.
Force : Barbare et Croisé.
b/ +Vitalité
c/ +XP

10) Utiliser un compagnon dès le début
De préférence le templier pour vous maintenir en vie.

Si l’anglais ne vous fait pas peur, vous pouvez trouver d’autres conseils utiles sur la chaîne YouTube de Rhykker.

Jouer à des jeux Windows grâce à PlayOnLinux

playonlinux-logoSi vous me suivez, vous savez que je suis un utilisateur averti de Linux. Bien que Steam, Humble Bundle et même GOG maintenant proposent de nombreux jeux tournant sous Linux, il existe encore un grand nombre de jeux exclusifs à Windows et notamment du côté des jeux AAA. Heureusement, pour ces jeux-là, il existe une application formidable nommée “PlayOnLinux”.

PlayOnLinux est en réalité une application basée sur Wine, l’émulateur Windows de Linux le plus connu et utilisé. Celle-ci a cependant la particularité de permettre la création d’un disque virtuel pour chacun de nos jeux à installer avec une version de Wine (et donc Windows) particulière. Par exemple, pour un vieux jeu on pourra utiliser “Windows 98” et pour un plus récent “Windows 7”.

L’application est généralement disponible dans le centre des applications de votre distribution. Si ce n’est pas le cas, une rapide recherche sur google vous conduira vers le site officiel pour télécharger les fichiers d’installation.

Une liste des jeux supportés est disponible à cette adresse : https://www.playonlinux.com/fr/supported_apps-1-0.html. Sachez toutefois que même des jeux non listés peuvent être supportés.

Comme vous pouvez le voir sur la capture d’écran ci-dessous, la plupart des jeux supportés proposent une pré-installation du jeu avec les bons réglages pour le disque virtuel. Si votre jeu n’apparaît pas dans la liste, il suffit d’utiliser le lien en bas de la fenêtre : “Installer un programme non listé”.

L’installation se passe ensuite grosso modo comme sous Windows. Pour l’installation d’un programme non listé, utilisez les choix liés au disque virtuel proposés par défaut. Si d’aventure, votre jeu ne marchait pas, rendez-vous sur les forums officiels de PlayOnLinux pour y trouver une aide voire une solution.

Pour ma part, actuellement, je joue régulièrement à Diablo III et Starcraft II sous Linux grâce à PlayOnLinux sans le moindre problème. Voyez ci-dessous à quoi peut ressembler le jeu lorsque vous y jouez en mode fenêtré.

Je vous parle du mode fenêtré car vous serez malheureusement obligé pour certains jeux de passer par là. Pour définir la taille de votre fenêtre de jeu, faites un clic-droit sur le jeu dans votre fenêtre PlayOnLinux et choisissez “Configure Wine” puis allez dans l’onglet “affichage”.

Voilà, j’espère que je vous aurais donné envie d’essayer ce logiciel et ainsi de jouer à certains de vos jeux Windows sous Linux !