Category Jeux vidéo

Comme beaucoup, ma liste de jeux non joués n’en finit plus de s’agrandir grâce aux soldes Steam. Cette fois-ci, je n’ai visé que des jeux de qualité (enfin je crois) :

• Dragons Age: Origins (4,99 €)
• FEZ (2,49 €)
• Dust: An Elysian Tail (3,49 €) → en fait, je possède déjà la version Xbox 360.
• Borderlands 2 (7,49 €)
• Far Cry 3 (7,49 €)
• Dishonored (7,49 €)
• BioShock Infinite (7,49 €)
• Tomb Raider (7,99 € via Fast2play)
• Torchlight II (4,74 € via GamersGate)

Le pire, c’est que les soldes Steam seront de retour dans moins d’un mois pour la période de Noël et que ma wishlist est encore loin d’être vide… Bon, par contre, j’ai quand même réussi à me fixer des limites. Je n’achète un jeu que s’il est soldé à -75% (au minimum) et que si son prix est inférieur à 10 €. « Winter is coming » comme on dit !

Depuis cet été, je suis abonné au PlayStation®Plus japonais et ceci pour un an. Comme en France, chaque mois, des jeux sont offerts aux abonnés mais le choix est bien différent. J’ai donc décidé de vous présenter ici chaque mois les jeux qui sont selon moi intéressants. Voici donc la liste de jeux disponibles pour la période mi-novembre mi-décembre :

Gradius II GOFER no yabō (グラディウスII GOFERの野望) -PS3-PSP-PS Vita-

Type : Shooting horizontal

Gradius II est à l’origine un jeu sorti sur PC Engine et borne d’arcade en 1988 au Japon. La version du jeu ici disponible est une conversion réalisée en octobre 2010 pour le PSN. Il se trouve que je possède déjà ce jeu depuis sa sortie, je l’avais alors acheté au prix de 800 yens. Bref, un must-have si vous êtes fan du genre.

Makai senki Disgaea 3 Return (魔界戦記ディスガイア3 Return) -PS Vita-

Type : Tactical RPG

Makai senki Disgaea 3 Return est le remake d’un jeu originellement sorti sur PS3  en 2008. Pour être plus précis, il s’agit ici de la toute dernière version en date du jeu avec tous les scénarios additionnels sortie en avril 2013. N’ayant jamais eu le loisir de m’essayer à des jeux de ce genre, il m’a semblé intéressant de bondir sur cette occasion. Bien entendu, si vous ne parlez pas un minimum japonais, cette version n’est pas pour vous, cela risque d’être trop compliqué. Moi, grâce à elle, j’espère progresser dans ma lecture des kanjis et enrichir mon vocabulaire.

The King of Fighters’95 -PS3-PSP-

Type : Baston

The King of Fighters, ou « KOF » pour les intimes, est un des jeux mythiques de la Neo Geo. Si vous n’avez pas connu ce monument à sa sortie mais que vous êtes fan du genre baston 2D à l’ancienne, foncez !

Skullgirls (スカルガールズ) -PS3-

Type : Baston

Skullgirls est un jeu de baston constitué uniquement de personnages féminins. Par contre, le jeu semble assez dur à prendre en main au niveau de son gameplay donc si vous n’êtes pas disposé à prendre le temps de vous y habituez, vous risquez fort de vite vous lasser face à la difficulté du jeu.

Des jeux proposés les mois précédents sont toujours disponibles également, retrouvez la liste complète à cette adresse : http://www.jp.playstation.com/psn/plus/list/.

Aujourd’hui, il s’agit du dernier jour de ma première visite à Ōsaka, je reviendrai encore deux fois par la suite. Comme hier, je n’ai pas de plan bien précis pour la journée si ce n’est de trouver un trépieds pour ma caméra et d’acheter 2 nouvelles cartes SD de 32GB en prévision du TIF (Tokyo Idol Festival) qui aura lieu le lendemain et où j’aurai la chance d’avoir une accréditation presse pour le compte du site Idols News Network !

Toujours avec le même compagnon français que les jours précédents, je me rends à la gare centrale d’Ōsaka pour faire le tour du très récent et assez imposant nouveau centre commercial, le Grand Front Osaka.

Mon ami souhaitant voir un peu à quoi ressemble le fameux Umeda Sky Building, nous y faisons un petit crochet. J’en profite également pour repérer le lieu de départ de mon bus du soir. Été oblige, les lieux ont été quelque peu décorés.

Nous sommes ensuite allés faire un tour des différentes rues commerçantes situées près de la gare. Là, nous nous sommes arrêtés dans un game center histoire de s’essayer un peu à quels jeux. Mon ami tente une partie sur un jeu de baston Dragon Ball Z plutôt bien foutu il faut l’avouer. Quant à moi, je m’essaye enfin à une borne Project Diva, le top.

Après s’être bien amusé, nous partons chacun de notre côté. C’est également le dernier jour à Ōsaka pour mon comparse mais lui aimerait visiter des lieux que je connais déjà. Je prends donc, à pied, la direction du quartier de Namba. En chemin, je m’arrête au magasin que j’avais repéré via le site kakaku mais celui-ci est minuscule et ne peut avoir le trépieds que je recherche qu’au bout de plusieurs jours…

Je me résigne à devoir attendre Tōkyō et l’après-TIF pour m’acheter mon trépieds et continue mon chemin en direction de Den-Den Town. Arrivé sur place, je fais quand même le tour des boutiques pour voir si par miracle je peux trouver mon trépieds mais rien… J’achète ensuite mes 2 cartes SD dans un petit magasin qui propose des prix bien plus intéressants que le Sofmap tout proche par exemple.

Je me rends ensuite de nouveau dans un game center histoire de voir deux petits musées annoncés à l’entrée : un musée Idolm@ster et un musée Tekken. Finalement, comme j’y trouve aussi une borne Project Diva, je me laisse tenter par une nouvelle tentative. La première partie est un échec cuisant. Trop confiant suite à mon premier essai tranquille en mode normale, j’ai tenté une chanson difficile (apparemment l’une des plus difficiles) et là ce fut le drame… En fait, j’ai surtout perdu car la mécanique du jeu est très éloigné des jeux sur console, il faut donc pratiquement tout réapprendre -_- Ne pouvant rester sur un échec, je tente une deuxième partie. Là, aucun problème, j’enchaîne une chanson en normale puis en difficile. Ça rassure 😀

Il est maintenant temps pour moi de rentrer à l’hôtel pour attendre patiemment mon bus de nuit à destination de Tōkyō. Bien que j’ai quelques heures à attendre, l’attente se fera sans mal car une soirée est justement prévue à l’hôtel. Pas mal de japonais sont de la partie et c’est justement pour moi l’occasion de pratiquer un peu mon japonais tout en buvant de la bière en pression o/

À 22h, je suis dans le bus et c’est la douche froide. Il s’agit en fait d’un bus tout ce qu’il y a de plus normal et la nuit s’annonce donc particulièrement difficile d’autant plus que la clim est poussée à fond (plusieurs personnes vont d’ailleurs s’en plaindre au chauffeur sans succès malheureusement…) et qu’aucune couverture n’est proposée comme dans les autres bus…

Oui, oui ça fait bien longtemps que je n’ai pas posté sur mon blog. J’accumule même les nombreux billets dans l’espace brouillon mais ne soyez pas impatient ça va finir par arriver d’ici peu, je vous le promets. Bientôt la totalité de mon voyage 😉

En attendant, le week-end dernier, j’ai eu l’occasion de me rendre dans la nouvelle salle d’arcade qui s’est ouverte du côté de Nation à Paris. Et j’en suis revenu plus que satisfait. Je commence déjà par vous donner l’adresse et ensuite je détaille un peu l’endroit. C’est donc au 10 rue des immeubles industriels 75011 Paris. C’est ouvert du lundi au samedi, de 12h à 22h.

L’entrée est assez commune, c’est une salle grande baie vitrée avec une petite affichette sur la porte d’entrée pour indiquer le nom du lieu. Mais, à l’intérieur, c’est une tout autre histoire !

Déjà, commençons par le rez-de-chaussée. Vous y trouvez la caisse où vous pourrez acheter un bon petit café fait sur place. Pour le reste de la salle, ce ne sont pratiquement “que” des bornes de jeux de baston : Street Fighter 3.3, Super Street Fighter 4, Blaz Blue CS, Tekken 6… Bref, le paradis si vous êtes fan de ce type de jeu. En plus, combien la partie me direz-vous ? Réponse en photo :

Et comme vous pouvez le voir, c’est même moins cher (pour certaines bornes) qu’au Japon ! Comparé au 2 € qui est la pratique habituelle en France, ça fait une sacrée différence ! Concernant les conditions de jeu maintenant, c’est comme au Japon (une première en France je crois bien), on retrouve des bornes dos à dos liées entre elles permettant ainsi de jouer en face de son adversaire et sans que ni l’un ni l’autre ne voit l’écran adverse ! Nouvelle preuve en image :

Trop de monde devant la borne et pas envie de rester debout comme un con à attendre 1h. Pas de problème, y’a de quoi se poser et c’est plus que confortable :

Passons maintenant au sous-sol. Vous y trouverez différents types de jeu, des shmups, du jeu de baston et une borne DDR. En détail, ça donne ça : Street Fighter 2 HD Remix, ESPgaluda 2, DoDonPachi, Metal Slug X, Alien VS Predator et Dance Dance Revolution X. Concernant cette dernière, la partie coûte 1 € pour 1 joueur et 2 € pour 2 joueurs, faut dire qu’à entretenir ça doit pas coûter le même prix ! Et en photo, ça donne ça :

Vous l’avez compris, si vous êtes fan de jeux-vidéo et de bonnes conditions de jeu à la japonaise, c’est désormais THE PLACE TO BE ! Sur ce, je retourne m’entraîner à DDR o/

Les premières désillusions…

Qualifié pour les 16èmes de finale d’Europa League, nous nous apprêtons à recevoir le club anglais de Tottenham. Le match est très serré mais je parviens à marquer l’unique but du match dans le dernier quart d’heure, le match retour s’annonce difficile…

Une semaine plus tard, nous voici à Londres pour le match retour. Comme prévu, l’équipe de Tottenham nous met une pression monstre mais on parvient à bien défendre et à se créer quelques occasions en contre. A la 75ème minute, malgré le 0-0, mon coach me sort, sûr que l’équipe tiendra bon… erreur, l’équipe recule dès ma sortie et Tottenham égalise sur l’ensemble des 2 matches à la 94ème minute ! En prolongations, les anglais sont remotivés et survoltés. On termine finalement le match à 0-3, la qualification était toute proche mais au final, on prend une sacrée claque…

et les premiers titres

Éliminés de la coupe d’Europe, nous nous reconcentrons sur la Nabisco Cup et la J-League. Je continue d’aligner les matches mais, à la grosse différence de la 1ère partie de saison, j’arrive enfin à délivrer des passes décisives à mes attaquants. Je ne suis plus obligé de faire l’exploit et de marquer, ça soulage.

Arrive enfin le premier grand match de ma jeune carrière, la finale de la Nabisco Cup face à Kyoto. A l’entame de ce match, j’ai un triple objectif en plus de la coupe : finir meilleur buteur, meilleur passeur et être élu meilleur joueur de la compétition, rien que ça ! En offrant le premier but, je valide mon titre de meilleur passeur mais mon manque de réussite devant le but (ou le gardien de Kyoto au choix) me pénalise. Nous gagnons 3-1 grâce à un triplé de notre attaquant qui me pique du coup la place de meilleur buteur… Je réussie 2 objectifs sur 3, on va pas se plaindre.

Vient ensuite la fin du championnat et mon envie extrême de faire aussi bien qu’en coupe. Il reste 5 matches à jouer et nous avons 9 points d’avance sur le deuxième, Kawasaki. J’accuse un retard de 3 passes décisives pour le titre de meilleur passeur, ça s’annonce dur.

Le premier adversaire se nomme Kashima Antlers (mon équipe préférée -_-) et nous l’emportons de justesse 3-2 grâce notamment à mon premier doublé. Plus que 4 matches et toujours 9 points d’avance avant de recevoir… Kawasaki ! Oui, vous l’avez compris, si nous gagnons ce match nous serons champions du Japon ! Surmotivé par cette possibilité, je poursuis sur ma lancée du match précédent et réalise un nouveau doublé et offre une passe décisive. Score final 3-0, nous sommes arrivés au sommet de la J-League, nous sommes qualifiés pour la Ligue des Champions !

Plus que 3 matches et plus qu’un seul objectif, le titre de meilleur passeur. A l’entame du dernier match de la saison, j’ai finalement comblé mon retard mais ce ne sera pas suffisant, je ne récidive pas lors de cette dernière joute et je rate donc ce titre pour 1 passe seulement… J’obtiens “seulement” le titre de meilleur joueur du Japon !

Au final, j’ai donc joué cette saison pas moins de 42 matches avec un temps de jeu moyen de 72 min. J’ai marqué 18 buts et réussi 10 passes décisives. J’ai été élu 18 fois homme du match.

L’énorme surprise

Arrivé à la fin de ma première saison parmi les pros, je m’attends à passer une coupe du Monde pépère devant la télévision, j’ai grandement besoin d’un peu de repos.

Mais… un miracle se produit. Je suis dans la liste des 23 de Raymond Domenech ! A 17 ans, je m’apprête donc à jouer (déjà !) une Coupe du Monde de football !

Voici donc la sélection (originale dirons-nous) complète :
– Gardiens : Landreau (Lille, fr), Coupet (PSG, fr), Frey (Fiorentina, ita)
– Défenseurs : Bonnart (Marseille, fr), Diomède (??), Squillaci (Séville, esp), Mexès (Roma, ita), Gallas (Arsenal, ang), Escudé (Séville, esp), A. Cissokho (Lyon, fr), B. Mendy (Hull City, ang), Konko (Séville, esp)
– Milieux : Vieira (Manchester City, ang), Pires (Villareal, esp), Ribéry (Bayern, all), Nasri (Arsenal, ang), moi (Yamagata, jap), Malbranque (Sunderland, ang)
– Attaquants : Henry (cap., Barcelone, esp), Benzema (Real Madrid, esp), Govou (Lyon, fr), Trezeguet (Juventus, ita), Saha (Everton, ang)

Notre groupe est composé de la Colombie, la Côte d’Ivoire et la Belgique. Un groupe largement à notre portée. Je commence bien évidemment cette compétition en tant que remplaçant, c’est déjà beau d’être là.

Lors du match d’ouverture face à la Colombie, notre équipe piétine et est menée à la mi-temps 1-0. Le sélectionneur décide alors de me lancer dans le grand bain. Mon entrée semble apporter un mieux au milieu de terrain mais il faudra attendre l’entrée de Malbranque pour que l’on fasse enfin la différence. Je lui offre une passe décisive qu’il convertit en but, c’est l’égalisation. L’équipe retrouve de l’envie et on mène bientôt 3-1 ! Dans les derniers instants du match, sur une frappe d’Henry repoussée par le gardien, je reprends en embuscade, 4-1, mon premier but en sélection dès mon premier match ! Je suis même élu homme du match, je suis en plein rêve :p

Lors du deuxième match face à la Côte d’Ivoire, je rentre encore une fois à la mi-temps mais nous nous séparons cette fois-ci sur un match nul, 1 but partout.

Nous jouons le dernier match décisif pour la qualification face à la Belgique dernier du groupe. Après une entame poussive, nous l’emportons finalement 3-1. Je suis à nouveau rentré à la mi-temps et j’ai inscrit mon second but !

En huitième de finale, c’est la Russie qui se dresse devant nous. Comme lors du match d’ouverture, nous déjouons totalement en 1ère mi-temps et sommes menés 1-0. Je rentre alors et le match bascule mais pas grâce à moi, je suis totalement hors du coup, le pire match de ma jeune carrière…

En quart de finale, on retrouve (à ma grande surprise) l’Irlande tombeur du Brésil ! Bizarrement, le match se déroule sans accrocs et nous l’emportons facilement 3-1. Ma mauvaise prestation lors du précédent match m’a valu d’attendre la 61ème minute pour rentrer.

En demi-finale se dresse enfin un “gros”, les Pays-Bas. Je rentre à la mi-temps alors que les deux équipes se neutralisent. On finit malheureusement par céder sur un contre dévastateur à l’entame du dernier quart d’heure, c’est un vrai coup de grâce et Van der Sar repousse toutes nos tentatives… Nous sommes éliminés -_-

Pour la petite finale, nous retrouvons la Corée du Sud. Dès les premières minutes, on sent que l’équipe n’y est pas. A la mi-temps, on perd 1-0. Je ne rentre qu’à la 60ème minute et cela concorde avec notre regain de motivation. On égalise rapidement puis on double la mise à la 85ème, nous sommes 3ème de la Coupe du Monde. L’Argentine, elle, est championne du monde.

Une nouvelle saison commence

La Coupe du Monde étant terminée, les propositions de contrat affluent : Manchester United, Séville, Lille, Kyoto, Blackburn Rovers… et Yamagata. J’hésite très fortement devant la proposition de Man United mais j’opte finalement pour un challenge de taille, une seconde saison à Yamagata en tant que joueur cadre. A nous la Ligue des Champions !

Je vous en parlais l’autre jour, j’ai entamé une carrière de footballeur dans le modeste club de Yamagata. Avant de nous narrer la suite de mes aventures, j’ai trouvé intéressant de vous présenter tout d’abord le club et la ville.

Le club

Le Montedio Yamagata est un club de football japonais créé le 19 janvier 1998. Il débute en J-League (le championnat japonais) l’année suivante en 1999. Après plusieurs saisons en J-League 2ème division, le club retrouve l’élite en 2009. Le club ayant de faibles moyens, il a terminé à une modeste 15ème place sur 18. Cette saison encore, le club risque fortement de jouer les dernières places.

La ville

Yamagata (山県) est la capitale de la préfecture japonaise du même nom.
En 2005, la ville avait une population estimée à 31 256 habitants pour une superficie totale de 222,04 km².
La ville a été fondée le 1^er avril 1889.
Elle détient le record de température maximale atteinte au Japon avec 40,8°C le 25 juillet 1933.
Le festival Hanagasa (花笠祭り; Hanagasa Matsuri), est l’un des festivals majeurs de l’été dans le Tohoku (nord-est du Japon). Il a lieu dans la ville chaque année au mois d’août. A Yamagata se déroule aussi le Festival International Du Film documentaire de Yamagata qui se tient tous les deux ans.

Ma carrière

J’avais reçu le trophée d’homme du match lors du dernier match mais malgré cette bonne prestation je suis resté sur le banc pendant toute la rencontre de championnat qui a suivi face à Albirex Niigata… Une petite déception vite effacée par une grosse surprise, ma première titularisationpour le match d’Europa League à Palerme ! Je joue donc crânement ma chance et elle me sourit puisque je marque et que l’équipe s’impose 2-0 en Italie ! Derrière, j’enchaîne les matches avec l’équipe (toujours en tant que titulaire) et on aligne une belle série de 12 victoires consécutives toutes compétitions confondues ! Unbelievable !

Série oblige, il y a toujours une fin, on enchaîne deux 0-0 et même une défaite 1-0 à domicile face à Palerme qui s’est payée le luxe de marquer à la 94ème minute après avoir été outrageusement dominée pendant toute la partie… Il y a quand même un gros problème d’attaque dans mon équipe, heureusement la défense assure un minimum.

Plus que 2 matches avant la mi-saison et sa période de transfert, on doit reprendre notre marche en avant… Mission accomplie avec 2 belles victoires. Bilan des courses, nous sommes premier en championnat, qualifié en 1/4 de finale de Nabisco Cup (coupe du Japon) et en 16ème de finale de l’Europa League !

Bien évidemment, fort de mes belles statistiques à mi-saison -19 matches pour une moyenne de jeu de 68 minutes, 10 buts et 1 passe décisive- je reçois 4 propositions de contrat de clubs japonais. Certaines propositions m’offrent jusqu’à 3 fois mon salaire actuel mais aucune ne m’apporte un défi sportif intéressant. Je resterai donc dans mon club de Yamagata jusqu’à la fin de saison avec l’espoir de remporter un titre. A suivre…

Grand fan de football, je suis depuis de nombreuses années grand fan des jeux de l’éditeur nippon Konani. Pour ceux qui pour qui ça parle, j’ai commencé avec “International Super Star Deluxe” sur Super Nintendo !

Pourquoi est-ce que je vous parle de PES 2010 (Winning Eleven 2010 pour les puristes dont je fais partie) ? Tout simplement parce que depuis 1 semaine, j’ai la chance de pouvoir jouer à une version (pc) un peu spéciale ! En effet, des internautes français et étrangers, fan comme moi de football japonais ou asiatique en général, ont eu la bonne idée de partager leur travail d’édition pour permettre de modifier le jeu et ainsi accéder à des nouvelles équipes (japonaises pour l’essentiel) et surtout des commentaires en japonais plus des maillots reproduits fidèlement.
Je vois déjà certains me dirent “oui mais ça existe déjà ! Suffit d’acheter la version japonaise spéciale J-League du jeu !”. Et bien non, car depuis l’arrivée de la PS3, aucune version j-league n’a vu le jour et il n’est donc pas possible de jouer avec son équipe japonaise favorite avec un effectif à jour ! Heureusement, ce patch est arrivée et c’est un pure bonheur !

Comme vous le voyez ci-dessus, l’image d’accueil du jeu aussi est modifiée :p
J’aimerais vous parler plus particulièrement d’un mode qui vient seulement d’arrivée en occident mais qui existait déjà depuis plusieurs opus dans les versions japonaises, le mode “Vers une légende”. Pour ceux qui ne connaitraient pas, il s’agit d’un mode où vous pouvez créer un joueur de toute pièce et avec lequel vous allez pouvoir faire carrière. Contrairement au mode de jeu traditionnel, vous ne contrôlerez ici qu’un seul joueur de l’équipe, le vôtre ! Et quand vous n’avez pas été assez bon à l’entraînement, vous n’êtes qu’un simple observateur du match.
Je vous propose donc de vous narrer les exploits de ma formidable carrière en devenir.

J’ai donc commencé par jouer un match test avec des illustres inconnus, c’est l’étape obligatoire lorsque vous commencez ce mode. En fonction de votre prestation durant ce match, vous recevez ensuite 3 propositions de club professionnel. Pour ma part, j’ai eu le choix entre Montedio Yamagata, Jubilo Iwata et Omiya Ardija. Mon but étant de jouer rapidement afin de pouvoir signer ensuite avec les Kashima Antlers, je choisis le club le moins huppé des trois, Yamagata.

Lors des 4 premières journées de championnat, je n’ai participé qu’à des matches d’entraînement. Une nouveauté par rapport aux anciens jeux auxquels j’ai joué par le passé qui aide assez à trouver ses marques et donne un côté réaliste.

Lors de la cinquième journée de championnat, je reçois enfin ma première convocation en tant que remplaçant. Pour un match à l’extérieur face au Gamba Osaka, on ne va pas se plaindre. Après un bon 0-0 à la mi-temps, mon équipe sombre en deuxième et j’entre finalement à la 71ème minute quand le tableau d’affichage présente un 2-0 pour l’équipe locale. Je fais une belle entrée en milieu de terrain et à la 86ème sur un corner, je reprend le ballon de volée, lucarne, 2 buts à 1. Mon premier en pro dès mon premier match :p mais on perd toutefois le match sur ce score.

Lors de la 6ème journée, je suis de nouveau convoqué à nouveau en tant que remplaçant. Il s’agit encore d’un déplacement mais cette fois-ci c’est à Kobe pour affronter le Vissel. Le match est équilibré et c’est du banc de touche que j’assiste à un médiocre 0-0 de la part de mon équipe.

Dans la même semaine, je suis de nouveau convoqué pour jouer en coupe d’Europe (si, si, les clubs japonais remplacent en fait les clubs hollandais). On reçoit le club ukrainien Metalist Kharkiv. Je commence une nouvelle fois sur le banc. A la mi-temps, le coach décide de me lancer après un terne 0-0. Mes premiers ballons sont assez hésitants, j’ai du mal à trouver ma place sur le terrain. Finalement au fil des minutes, je trouve mes marques et je commence à offrir de bons ballons mais mes attaquants se font systématiquement prendre au piège du hors-jeu ce qui a le don de m’énerver. Le temps passe et arrive la 75ème minute. Je presse haut sur un défenseur, récupère la balle et file au but seul. Je tente la frappe en force mais le gardien la repousse… dans mes pieds. J’enchaîne une nouvelle frappe et ça fait but. Mon deuxième en 2 match et celui-ci offre la victoire à l’équipe ! Derrière, je reçois le trophée d’homme du match, ma carrière est bien lancée ! A suivre…

Du vendredi 30 octobre au dimanche 1er novembre se tenait la convention Chibi Japan Expo. Il s’agissait de la troisième édition et de la deuxième pour ma part, je n’avais pas assisté à la première. Comme l’an dernier, j’avais donc prévu de faire la totale, comprendre passer les 3 jours sur place.

Cette année, contrairement à l’année dernière, j’avais donc deux invités chez moi venus spécialement pour l’événement, la venue du groupe HANGRY&ANGRY et non Chibi JE comme certains auraient pu le penser ! Vous remarquerez donc que mon séjour dans la convention tourne en grande partie autour du groupe.

Vendredi 30 octobre :
En ce premier jour, je me rendais donc sur place avec 1 seul de mes invités, le deuxième nous rejoignant dans la journée. Comme souvent, une convention commence pas tout à fait comme on l’avait prévu. On devait donc se rendre tout d’abord au magasin Nikon dans le 17ème arrondissement de Paris près de la station de metro Pereire (metro 3) pour récupérer une pièce d’appareil photo non disponible à la Fnac ou autres enseignes du même type. Bien évidemment, juste au moment où on allait prendre le metro 3, il y a eu un incident sur la ligne… Direction donc Charles-de-Gaulle Etoile via le RER A puis Pereire via le RER C. On récupérait la pièce puis on prenait un bus puis le RER A de nouveau puis le metro 9 et enfin nous arrivions sur place !

En ce premier jour, heureusement, peu de choses nous intéressaient. Notre seul vrai impératif étant le concert des Jelly Beans que j’avais déjà vu personnellement lors du précédent Chibi JE. On retrouvait quelques amis et on se rendait donc au concert qui commençait à 14h30 pour finir seulement une demi-heure plus tard. Malgré la présence du groupe à l’antenne de Nolife, mon avis sur la musique du groupe n’a que peu changé. C’est sympa sans plus mais la sono moyenne ajoutée aux voix aigües de nos demoiselles n’aide pas franchement. Derrière, petite ballade dans la convention, prise de renseignements pour les dédicaces à venir de HANGRY&ANGRY et parce que nous sommes faibles, nous fans d’idols, achat de goodies du groupe : 2 sets de photo et 1 t-shirt pour moi.

Nous assistions ensuite à la conférence Jelly Beans où malheureusement nous avons pas eu le loisir de pouvoir poser des questions. Tout était préparé à l’avance mais certaines étaient quand même dignes d’intérêt donc ce fut intéressant. Derrière, il était déjà l’heure de rentrer donc direction la maison.

A la maison, on improvise une petite soirée Pizza avec au menu des Idols, des Idols et encore des Idols. En bref, on a vu du AKB48 avec le AKBingo et le Shukan de la semaine et du °C-ute avec le DVD Alo Hello °C-ute. Une bien belle soirée donc :p

Samedi 31 octobre :
Arrivée sur place à 9h par la faute des transports encore une fois… On se dit alors qu’on va bien avoir du mal à être dans les 75 élus pour la dédicace de HANGRY&ANGRY puisqu’il faut récupérer les billets sur le stand de Discount Manga dès l’ouverture prévue à 10h. Finalement, nous étions tout juste dans le quota de place avec donc un billet pour la dédicace et le nouvel album vendu en exclusivité : Sadistic Dance.

Derrière, nous prenions l’option de nous installer dans la queue pour le concert du groupe qui ne commençait qu’à 14h. Une attente longue de presque 4h nous attendait, mais quand on aime on ne compte pas, non ? Pendant la queue, des danses avec les wotas japonais présents pour l’événement s’improvisent sur du… Buono! Arrive l’heure fatidique, on nous fait descendre dans la salle de concert, on se retrouve tout devant. Un (grand) wota japonais commence à lancer des “ANGURI”, bientôt suivie par une grande partie du public. La pression monte dans la salle, il fait déjà très chaud ! Les filles arrivent enfin et là c’est la folie ! Elles enchaînent la setlist suivante :
1. TOP SECRET
2. Sadistic Dance
3. Angelia (Crash Berlin Version)
4. MC
5. Lady Madonna
6. The ☆ PEACE! (H&A Death Version)
Encore:
7. Kill Me Kiss Me (Crash Berlin Version)

Le concert fut court mais clairement intense, j’ai vraiment apprécié la nouvelle version de “The ☆ PEACE!”, grand titre des Morning Musume. J’ai eu un peu du mal à reconnaître les premiers accords très hard rock mais j’ai vite reconnu la musique, le public a même étonné les filles en criant bien les “Peace ! Peace !” quand il le fallait, ce fut l’extase.

Derrière, nous assistions à la conférence de Yûsuke KOZAKI (mangaka et chara-designer) & Kyô HATSUKI (mangaka) en attendant la dédicace de H&A. puis l’instant magique de la rencontre arriva. A ma grande déception, nous étions rapidement expédié par le staff donc pas vraiment le temps d’échanger un ou deux mots avec les filles. J’eus tout juste le temps de confirmer mon prénom (écrit en katana à la va vite dans la file d’attente) à Hitomi puis de lâcher un petit “Charmy ga daisuki !” à Rika et je constatais surtout que les filles avaient dédicacés sous leur nom de leur personnage à savoir HANGRY et ANGRY… L’important est que je sache moi qui elles sont vraiment.

On trainait ensuite jusqu’à 19h, heure à laquelle l’ensemble des gens du forum de Nolife qui s’étaient engagés pour l’IRL resto jap’ se retrouvaient. Au restaurant sans trop le vouloir je me retrouvais naturellement dans le coin “Wota” à parler idols pendant qu’on s’échangeait nos photobooks ou photos respectifs. Ce fut même l’occasion de signer un petit mot pour le groupe H&A qui serait remis le lendemain pendant la seconde dédicace. En voici le résultat :

Dimanche 1er novembre :
Arrivée plus tranquille ce jour-là vers 11h je crois. Le seul vrai intérêt de la journée était la conférence donnée par le groupe H&A à 12h30 et pour moi qui joue à DDR, la 1ère épreuve de la nouvelle saison de la DDR League à 12h chose que j’avais presque zappé en arrivant me causant donc un grand problème potentiel. Avant la conférence et le tournoi, j’attendais prêt du lieu de dédicace et je me fis donc embarquer par un de mes invités à la dédicace ouverte des deux mangaka vus en conférence la veille. Voici ce que j’ai obtenu (je précise que je ne connaissais aucun des 2!) :


A ma grande surprise, la mangaka Kyô HATSUKI dessinait du ecchi, voyez plutôt juste au dessus !

12h, je débutais donc mon tournoi, par chance, dans la 1ère poule donc tout de suite. Dès la fin de ma première chanson, je filais à la conférence qui avait déjà commencée depuis une dizaine de minutes…erf. Une fois posée en face des filles, j’ai complètement oublié mon tournoi et suis resté jusqu’au bout de la conférence. Voici en gros ce qui leur a été demandé pendant celle-ci :
– (au début) Qu’elle est la différence entre les morning et H&A ?
– Quels sont vos projets pour l’avenir ? un nouveau concert en Europe de prévu ?
– Comment avez-vous trouvé le public français ?
– Qu’avez-vous visité dans Paris ?
– Comment avez-vous trouvé le niveau du cosplay français ?
– Pourquoi êtes-vous venu en France à Chibi JE ? la réponse a celle-ci était très intéressante pour le futur, apparemment c’est les nombreuses consultations de leur myspace par les français qui a motivé le staff à venir en France. Et Chibi JE parce que l’ambiance est conviviale ( plus qu’une JE par ex).

Y’en a eu d’autres mais bon c’était pas forcément super intéressant et les réponses à part pour le coup de la venue en France étaient déjà connues ou prévisibles.

La conférence finit, je filais au tournoi DDR pour constater avec étonnement et satisfaction que je n’avais pas été éliminé pour mon absence, j’avais le droit à un deuxième appel que je ne manquerais pas cette fois-ci ! Bon, au final comme prévu, je ne passais pas les poules, normal qu’en on ne joue plus depuis des mois, mais j’assurais l’essentiel marquer un point pour ma team, la team Nolife. Ensuite l’ennui total, il n’y avait plus rien d’intéressant.

Après une petite ballade dans Paris, on se décidait moi et l’un de mes invités bloqués jusqu’à 22h heure de son train d’aller chez un ami commun proche de Paris. Chez lui, on en profitait donc pour se mater la dernière émission AKB de la semaine, Nemousu. Encore une journée qui se finissait bien, vivement la prochaine conv’ si on a encore de l’idols !!