The day the Earth stood still, Madagascar 2

The day the Earth stood still

 

Synopsis : L’arrivée sur Terre d’un être extraterrestre d’apparence humaine provoque de spectaculaires bouleversements. Tandis que les gouvernements et les scientifiques tentent désespérément de percer son mystère, une femme et son beau-fils parviennent à nouer un contact avec lui et à comprendre le sens de sa mission : sauver la Terre… avec ou sans les Humains.

Mon avis : Avant d’arriver chez moi, j’avais une idée assez précise du commentaire que je ferais mais en recherchant l’affiche du film j’ai découvert qu’il s’agissait en fait d’un remake d’un film de 1951. Bien que n’ayant pas vu la première version, je vais essayer de comparer les deux films grâce aux informations que j’ai pu glaner sur la toile. Avant de parler du premier film du même nom, il faut se replacer dans le contexte. En 1951, nous sommes en plein milieu de la guerre froide où la plupart des films de SF participent à la psychose autour d’invasions de méchants extraterrestres. Et ces vilains envahisseurs viennent tous de la planète rouge (quelle subtilité !). The Day the Earth Stood Still, l’original, délivrait au contraire un message de paix (peu subtil, mais ce n’était pas le but) et mettait en garde contre l’énergie atomique, à travers la voix d’un extraterrestre christique (Klaatu). En 2008, on retrouve l’extraterrestre Klaatu sous l’apparence d’un humain avec un message assez proche de l’ancien finalement. On nous en met en garde contre notre comportement vis à vis de la planète, l’Homme doit évoluer s’il veut que la Terre survive. Le remake, technologie oblige, est donc visuellement plus percutant que l’original, on en prend plein les yeux. Mais ce qu’on retiendra du film, c’est bien son message et c’est bien ça le plus important.

Madagascar 2

 

Synopsis : Toutes les adorables créatures de MADAGASCAR sont de retour : le lion Alex, le zèbre Marty, la girafe Melman, l’hippopotame Gloria, le Roi Julien, Maurice et les pingouins ? aucun ne manque à l’appel. Après s’être échoué sur les rivages lointains de Madagascar, nos New-yorkais ont concocté un plan dément ? si dément qu’il pourrait bien réussir ! Avec une discipline quasi militaire, les pingouins ont rafistolé une épave d’avion, et au terme d’un vol chaotique à souhait, l’improbable équipage a pu rallier les vastes plaines d’Afrique. Les anciens pensionnaires du zoo de Central Park rencontrent alors pour la première fois leurs familles respectives dans leur habitat naturel. Une occasion unique de renouer avec ses racines, mais aussi de mesurer le gouffre qui sépare la nature de la civilisation, le “continent noir” de la “jungle de béton”. De nouvelles aventures, encore plus palpitantes, attendent nos amis sur la terre de leurs ancêtres, mais le souvenir de New York reste présent en chacun d’eux. N’est-ce pas là que doit finalement se jouer leur avenir ?

Mon avis : Lorsqu’on va voir une suite, on a toujours une petite appréhension. La suite sera-t-elle aussi bonne voire meilleure ? Pour ma part, le verdict est sans appel, Madagascar 2 est un film sympathique mais bien en dessous du premier volet. On retrouve par moment de bonnes idées, on rit mais beaucoup moins que dans le premier opus. Le film est beaucoup trop plat dans l’ensemble et, comme le dit si bien Alex dans le film, il y a comme un air de “déjà vu” !

Bedtime Stories, Secret défense

Bedtime Stories

 

Synopsis : Pour aider sa soeur, Skeeter Bronson accepte sans enthousiasme de veiller sur sa nièce et son neveu. Afin de les occuper, il leur raconte des histoires, déchaînant leur imagination sans limites… Des confins de l’espace aux plaines de l’Ouest sauvage, de la Grèce antique aux arcanes de l’Europe médiévale, les histoires se succèdent, toutes plus folles les unes que les autres… Les enfants ne vont pas avoir l’occasion de s’ennuyer, surtout lorsque les évènements imaginaires racontés par leur oncle vont se produire pour de vrai… C’est le début d’une spectaculaire aventure, d’une incroyable odyssée pour les enfants et d’un cauchemar pour Skeeter !

Mon avis : Bedtime stories, traduit “Histoires enchantées” en français est le dernier film produit par Disney. Même si le film semble au départ plutôt destiné à un public jeune, on peut tout à fait apprécier ce film pour sa magie et son humour. Bon, ne vous attendez pas non plus à un très grand film. Vous passerez sûrement un bon moment en le visionnant mais vous n’acheterez probablement pas le DVD à sa sortie, sauf si vous avez de jeunes enfants.

Secret Défense

 

Synopsis : Chaque jour dans notre pays, mouvements terroristes et services de renseignements se livrent une guerre sans merci au nom d’idéologies que tout oppose. Pourtant, terroristes et agents secrets mènent presque la même vie. Condamnés à la clandestinité, ces stratèges de la manipulation obéissent aux mêmes méthodes. Alex et Al Barad sont deux d’entre eux. A la tête du contre-espionnage opérationnel de la DGSE pour l’un et d’un réseau islamiste pour l’autre, ils s’affrontent en s’autorisant toutes les armes dont les plus redoutables : les êtres humains. Secret Défense suit leur guerre secrète à travers les destins de Diane, une jeune étudiante qui intègre les services secrets français, et de Pierre, un paumé, qui croit trouver son salut dans l’islamisme radical. Recrutés, formés, endoctrinés pour des missions qui les dépassent, ils sont tous deux pris dans un engrenage auquel ils ne semblent pas pouvoir échapper. Seront-ils tous deux sacrifiés au nom de leurs “nobles” causes ?

Mon avis : Dans la lignée du film “Mesrine”, on retrouve ici un film qui joue dans l’ultra-réalisme. C’est violent par moment et l’humour n’y a pas sa place. Malgré tout, si ces arguments ne vous rebutent pas, vous passerez assurément un bon moment devant ce film très bien ficellé et surtout très bien interprêté. Ca change des James Bond ou des OSS 117. La présentation du monde des agents secrets se veut ici proche de la réalité, elle n’est pas là pour nous émerveiller. Une phrase du film résume assez bien l’état d’esprit de celui-ci : “Un agent n’est pas un être humain, c’est une arme”.

Mesrine

Mesrine : L’Instinct de mort

 

Synopsis : Des années 60 à Paris au début des années 70 au Canada, le parcours criminel hors norme d’un petit voyou de Clichy nommé Jacques Mesrine.

Mon avis : à venir.

Mesrine : L’Ennemi public n°1

 

Synopsis : Les spectaculaires actions criminelles de Jacques Mesrine que les médias introniseront “Ennemi public n°1” et que toutes les polices de France traqueront sans répit jusqu’à sa mort.

Mon avis : à venir.

Transporter 3, Max Payne

Transporter 3

Synopsis : Parce qu’il est le spécialiste incontesté des livraisons à haut risque, Frank Martin se voit contraint, sous la menace, de transporter deux sacs imposants et une jeune Ukrainienne depuis Marseille jusqu’à Odessa. Que contiennent les sacs ? Qui est cette fille? Pourquoi doit-il l’accompagner ? Quels enjeux se cachent derrière cette livraison ? Frank ne sait pas grand-chose, et surtout pas comment il va sortir de ce piège tendu par un adversaire bien plus redoutable que les précédents…

Mon avis : à venir.

Max Payne

 

Synopsis : Max Payne est un flic déterminé à retrouver ceux qui ont brutalement assassiné sa famille et son partenaire. Obsédé par sa quête de vengeance, il laisse son enquête l’entrainer dans un voyage cauchemardesque dans les bas-fonds de l’underground new-yorkais. Tandis que le mystère s’épaissit, Max va devoir affronter de puissants ennemis mais aussi ses propres démons.

Mon avis : à venir.


Rappelez-vous, ami gamer, avant d’être un film, Max Payne était un jeu d’action et de tir objectif développé par la compagnie finlandaise Remedy Entertainment, produit par 3D Realms et édité par Gathering of Developers en juillet 2001. Le synopsis du jeu était assez proche du film qui vient de sortir mais on s’en rappelle surtout pour son mode “bullet time” tout droit sorti du film Matrix. En effet, ce mode permettait de ralentir l’action du jeu durant quelques secondes et d’accomplir ainsi des fusillades spectaculaires. Le jeu présentait aussi la particularité de proposer des cinématiques façon BD comics. Que de bons souvenirs…

Festival Kinotayo (5)

アヒルと鴨のコインロッカー (Ahiru to Kamo no coin locker)

Synopsis : Shiina, un étudiant de première année à l’université fait la connaissance de son mystérieux voisin : Kawasaki. Ils ont un amour commun pour le classique de Bob Dylan : Blowin’ in the wind. Le caractère poli et réservé de Shiina contraste avec l’assurance et la détermination de Kawasaki, qui lui demande un jour, sans hésitation : « on devrait dévaliser la librairie, non ? » Son plan : voler un dictionnaire pour en faire cadeau à leur voisin venant du Bhoutan. Shiina interloqué est tenté. Sans vraiment s’en rendre compte, Shiina est devenu l’un des personnages du monde loufoque de Kawasaki.

A propos du réalisateur : Nakamura Yoshihiro est un scénariste reconnu, il a travaillé avec Sai Yoichi notamment sur Doing Time et Quill et Nakata Hideo sur Dark water, il a réalisé plusieurs longs métrages dont on peut citer Route 225 présenté au Festival du cinéma asiatique de Deauville l’année dernière.

Mon avis : à venir.

小さき勇者たち~ガメラ~ (Chīsaki Yūsha Tachi ~Gamera~)

Synopsis : En 1973, Gamera se sacrifie et meurt en sauvant la vie d’un jeune garçon attaqué par une horde de Gyaos. Trente ans plus tard, le fils de ce garçon, Toru découvre un œuf. De cet œuf naît une petite tortue qu’il nomme Toto. Mais Toto n’est pas une tortue comme les autres…

A propos du réalisateur : Tasaki Ryuta est né le 19 avril 1964. Il est connu pour avoir réalisé de nombreuses séries télé animées comme Sailor Moon, Cutie Honey, Powers Rangers et des Kamen Riders.

Mon avis : à venir.


ツヒノスミカ (tsuhi no sumika)

Synopsis : L’été est arrivé. Grand-mère a vu venir et repartir cette saison 89 fois. Mais cet été, celui de ses 90 ans sera différent des précédents. La maison dans laquelle elle a passé tant d’années va être détruite et une nouvelle vie dans une nouvelle maison va commencer pour elle… Un documentaire poignant.

A propos du réalisateur : Yamamoto Tatsuya est né en 1966 dans le département de Shizuoka, il a travaillé pour Dentsû Prod. (anciennement Dentsû Film Company) dans la section consacrée aux films d’entreprise. Sa rencontre avec Segawa Junichi, un des plus grands cameramen japonais, sera déterminante et l’orientera vers la réalisation de documentaires. En 2000, il quitte Dentsû pour se consacrer à la réalisation de ses propres documentaires. Prix Jean Vigo du meilleur réalisateur au Festival International de cinéma documentaire de Navarre Punto de Vista.

Mon avis : à venir.

Festival Kinotayo (4)


接吻 (seppun)

Synopsis : Un crime particulièrement brutal est perpétré dans un quartier tranquille et l’assassin, Sakaguchi Akio, est arrêté devant toute la presse. Une jeune femme, Endo Kyoko amère et lasse dans sa vie routinière aperçoit la scène à la télévision. Saisie d’une sympathie inexpliquée pour Sakaguchi, elle entreprend de constituer un livre d’or avec les coupures de presse qu’elle peut collecter à son sujet… Sur un sujet grave, une histoire qui reste touchante et sereine…

A propos du réalisateur: Manda Kunitoshi est né en 1956 à Tokyo. Après des études à l’Université de Rikkyo, il travaille comme scénariste et assistant réalisateur sur Kandagawa War (1983) et Excitement of the Do-Re-Mi-Fa Girl (1985) de Kurosawa Kiyoshi. Il réalise également des téléfilms et des vidéos institutionnelles. Il est aussi critique de films. Unloved son premier long métrage a été sélectionné à la semaine de la critique en 2001, suivi de Ano Tonneru en 2004 à la Quinzaine des réalisateurs.

Mon avis : à venir.

Festival Kinotayo (3)


めがね megane

Synopsis : Par une belle journée de printemps, une jeune femme (Taeko) descend d’un petit avion. Quand elle arrive dans un endroit retiré (Hamada) plein de nostalgie, des vacances inoubliables débutent sur cette petite île du sud du Japon… La beauté des paysages, la sérénité des lieux, la paisible étrangeté de l’atmosphère plongent le spectateur dans une agréable sensation de repos de l’âme.

A propos du réalisatrice : Ogigami Naoko est née en 1972 à Chiba. Diplômée de l’université de Chiba, elle part pour les Etats-Unis en 1994 pour étudier le cinéma à l’Université de Californie du sud. Elle a travaillé à cette période comme assistante dans des publicités et des films. Elle est retournée au Japon en janvier 2000 et a réalisé son premier long-métrage Yoshino’s Barber Shop en 2004.

Mon avis : à venir.

風の外側 Kaze no Sotogawa

Synopsis : Iwata Mariko (Ando Sakura), lycéenne d’origine aisée, rêve de devenir une chanteuse d’opéra. Un jour un homme la drague sur le ferry qui l’amène au lycée et fait tomber ses affaires dans l’eau. Son-mun Cho (Sasaki Takao), un zainichi (résident coréen au Japon), se jette à l’eau pour les lui récupérer. Pour le remercier, elle lui demande de devenir son garde du corps sur le chemin de l’école. Une relation particulière se créée entre eux, non sans difficultés et déceptions…

A propos du réalisateur: Okuda Eiji est né à Aichi (Japon). Il débute au cinéma en 1979 avec le rôle principal dans Motto shinayaka ni, motto shitataka ni de Toshiya Fujita. En 1985, il remporte le prix du meilleur acteur pour le rôle du jeune étudiant en médecine tourmenté dans La Mer et le poison de Kei Kumai.
Il travaille à plusieurs reprises sous la houlette de Kumai Kei notamment pour La Mort d’un maître de thé (Lion d’argent au Festival de Venise 1989) mais aussi Mochizuki Rokuro à qui l’on doit les films de yakuzas Gokudo kisha (1993) et Minazuki (1999). En 1994, il a remporté pas moins de neuf récompenses – un record au Japon – pour son interprétation dans Bo no Kanashimi (La Tristesse d’un idiot) de Kumashiro Tatsumi, collaboration qui l’a profondément marquée. Kumashiro, affirme Okuda Eiji, « essayait toujours de montrer la partie le plus profonde de l’être humain » et il songe à ses préceptes, lorsqu’en 2001, il passe à la réalisation avec Shoujyo, sorti en France sous le titre Une adolescente, qui a remporté le prix du Festival de l’American Institute (AFI Film Fest) en 2002 ainsi que le Grand Prix du Festival de Paris la même année.
Sa deuxième réalisation Runin : banished, sur l’île de Hachijojima en 1830 a été sélectionné en compétition officielle pour le 17ème Festival International du Film de Tokyo en 2004.
C’est aussi un peintre et un illustrateur d’ouvrages accompli dont les œuvres sont régulièrement exposées. En 2006, il a remporté le Grand Prix au 30ème Festival du Film du Monde Montréal pour A long walk, présenté en film d’ouverture cette année à Kinotayo.

Mon avis : à venir.

Festival Kinotayo (2)

幽閉者 テロリスト (yuuhei hito terrorist)

Synopsis : Adachi Masao dresse un tableau halluciné d’un terroriste engeôlé, entre épreuves physiques et égarement mental. « M » seul rescapé d’une attaque d’aéroport avortée est soumis à un abominable traitement où se mèlent les pires tortures physiques et morales. D’après une histoire vraie, celle de l’attaque de l’aéroport de Tod (à Tel-Aviv) en 1972 et de l’expérience ultérieure de l’un de ses protagonistes (Okamoto Kôzô).

A propos du réalisateur : Adachi Masao est né le 13 mai 1939 dans la préfecture de Fukuoka. Il est surtout connu pour ses collaborations en tant que scénariste avec des réalisateurs comme Oshima Nagisa et le pape du pink Wakamatsu Koji. Il dirigea plusieurs films jusqu’aux débuts des années 70, tous ayant pour thème des sujets politiques d’extrême-gauche. Il rejoignit à ce moment-là l’Armée Rouge Japonaise. Il résida pendant 28 ans au Liban et fut arrêté pour violation de passeport en 2001. Il fut condamné à quatre années de prison ramenée, par la suite, à 18 mois. Il fut ensuite extradé vers le Japon où il fut de nouveau arrêté pour des violations de passeport. Il passa un an et demi en prison avant d’être libéré. Il est maintenant de retour à la réalisation après 30 ans d’absence.

Mon avis : à venir.

舞妓Haaaan!!! (Maiko Haaaan!!!)

Synopsis : Le cadre de cette joyeuse histoire n’est autre sur le monde mystérieux et fascinant des geishas. Kimihiko, modeste employé d’une firme alimentaire de Tokyo n’a qu’un but dans la vie : devenir un familier des geishas… Une comédie complètement loufoque !!!

A propos du réalisateur : Nobuo Mizuta est né à Hiroshima (Japon). Il entre à la Nippon Télévision Network corporation en 1981 et travaille à la production de feuilletons télévisés. En 2004, il remporte le prix de la Hoso Bunka Foundation (Fondation de la culture d’émission) pour Huyu no undokai (Fête sportive d’hiver). Il met en scène des comédies pour le théâtre plusieurs fois. Il commence sa carrière dans le cinéma, en 2006, en réalisant Hanada shounenshi yureito himitsuno tonneru (Boy Meets Ghosts).

Mon avis : à venir.