Archives juillet 2009

The Hangover

VERY BAD TRIP

Synopsis : Au réveil d’un enterrement de vie de garçon bien arrosé, les trois amis du fiancé se rendent compte qu’il a disparu 40 heures avant la cérémonie de mariage. Ils vont alors devoir faire fi de leur gueule de bois et rassembler leurs bribes de souvenirs pour comprendre ce qui s’est passé.

Mon avis : Very bad trip est un film totalement délirant. Si vous avez le cafard, n’hésitez pas une seconde, regardez ce film, vous ne pourrez qu’être plié de bout en bout. Sans aucun doute la comédie de l’année !

ピアノの森

Piano Forest

Synopsis : Une variation sur l’apprentissage du piano entre deux adolescents talentueux : l’un fils de bonne famille (Amamiya Shûhei), l’autre, enfant des rues (Ichinose Kai) mais ayant en commun Mozart et Chopin.

Mon avis : Il faut savoir qu’à l’origine, comme beaucoup de film d’animation japonaise, le film est tiré d’un manga éponyme toujours en parution au Japon depuis 1998 et qui compte 15 tomes pour le moment. Même si je n’ai pas lu celui-ci, je présume que les japonais ont respecté au maximum l’oeuvre originale.
Première chose avant de rentrer dans le détail, je tiens à dire que le doublage français est de bonne facture même si j’aurais préféré le voir en version originale sous-titrée ce qui n’a malheureusement pas été possible.
Le film est donc un récit musical pédagogique narré à travers l’amitié et la rivalité entre deux enfants. L’un possède la technique, l’autre est animé par la passion. Bref, un film tout bonnement magique. A voir absolument !

Terminator Renaissance

terminator renaissance

Synopsis : En 2018, après l’apocalypse qui a vu s’affronter les hommes et les robots, John Connor est devenu le chef de la résistance humaine contre Skynet et son armée de Terminators. Sa vision du monde est pourtant remise en cause par l’apparition de Marcus Wright, un inconnu qui se souvient seulement de s’être trouvé dans le quartier des condamnés à mort. Connor doit découvrir si Marcus a été envoyé du futur ou s’il est un rescapé du passé. Alors que Skynet prépare l’assaut final, Connor et Marcus s’engagent dans une odyssée qui va les mener au coeur même des opérations de Skynet. Ils y perceront le terrible secret qui se cache derrière l’annihilation programmée de l’humanité tout entière…

Mon avis : Quand j’ai vu ce film arrivé dans nos salles de cinéma, j’ai eu une grosse hésitation avant de choisir d’y aller car j’avais été particulièrement déçu par Terminator 3. Mais je dois reconnaître au final que McG a réussi à donner un nouveau souffle à la série tout en respectant la mythologie (je pose cependant une réserve pour le Scharzy trop bodybuildé qui a été modélisé en 3D dans le film). J’attends maintenant la suite avec impatience.

Bronson

bronson

Synopsis : 1974. Livré à lui-même, Michael Peterson, 19 ans, cherche à faire la Une des journaux : rêvant de devenir célèbre, il tente de braquer un bureau de poste avec un fusil à canon scié qu’il a lui-même bricolé. Rapidement interpellé, il est d’abord condamné à sept ans de prison. A ce jour, il a passé 34 années en prison, dont 30 en cellule d’isolement.

Mon avis : Si l’idée de voir un film sur le prisonnier le plus violent d’Angleterre avait de quoi me plaire, je dois dire que j’ai été très déçu par ce film. Le réalisateur a semble-t-il voulu faire dans l’original et a tenté des choses… J’ai entendu des gens comparé le film à Orange Mécanique même mais pour moi les deux films ne sont clairement pas au même niveau. Je me suis profondément ennuyé en voyant ce film que j’ai trouvé au final assez répétitif (la vie de Bronson l’est peut-être vraiment aussi mais bon…). C’est dommage car l’acteur principal est très convaincant dans le rôle mais l’histoire ne m’a définitivement pas accrochée.

おくりびと

okuribito

Synopsis : Dans une province rurale du nord du Japon, à Yamagata, où Daigo Kobayashi retourne avec son épouse, après l’éclatement de l’orchestre dans lequel il jouait depuis des années à Tokyo. Daigo répond à une annonce pour un emploi “d’aide aux départs”, imaginant avoir affaire à une agence de voyages. L’ancien violoncelliste s’aperçoit qu’il s’agit en réalité d’une entreprise de pompes funèbres, mais accepte l’emploi par nécessité financière. Plongé dans ce monde peu connu, il va découvrir les rites funéraires, tout en cachant à sa femme sa nouvelle activité, en grande partie taboue au Japon.

Mon avis : J’avoue avoir eu envie d’aller voir ce film au départ uniquement parce que c’est un film japonais et que j’aime ce cinéma mais ce film n’est pas qu’un simple film japonais comme il en arrive parfois dans nos contrées. En effet, après en avoir discuté (avant visionnage) avec un ami japonais, j’apprenais avec étonnement que celui-ci avait eu une énorme succès lors de sa sortie au Japon en 2008 et qu’il avait même obtenu l’oscar du meilleur film étranger, rien que ça !
Avant de rentrer enfin dans ce film, j’ajouterai qu’après avoir vu le casting j’étais très impatient de revoir l’actrice Hirosue Ryoko que j’avais découvert dans un film français, si si rappelez-vous, Wasabi où elle avait été particulièrement exceptionnelle à mes yeux !
Le film donc. Si le sujet semble être difficile à aborder au Japon, il en est de même chez nous. Qui se vanterait d’être croque-mort ou fils de ? Sûrement pas grand monde. Le réalisateur réussit ici pourtant à nous toucher tout en douceur, en mélancolie et même avec un soupçon d’humour. Un film humaniste aux qualités indéniables que vous ne devez pas manquer !

Män som hatar kvinnor

millenium

Synopsis : Mikael Blomkvist est journaliste économique dans le magazine Millenium. Condamné pour diffamation, il décide de prendre de la distance avec sa vie et son métier. Mais Henrik Vanger, grande figure de l’industrie suédoise, fait appel à lui afin d’enquêter sur un meurtre non élucidé, celui d’Harriet Vanger, nièce du grand homme et disparue à l’âge de seize ans. Au cours de ses recherches, Blomkvist se rend compte que La famille Vanger semble cacher bien des haines et des secrets. Dans le cadre de son enquête, le journaliste est amené à rencontrer Lisbeth Salander. La jeune femme de vingt-quatre ans possède un don exceptionnel, celui de découvrir des informations introuvables. Tous deux vont être amenés à se croiser dans une enquête qui va révéler beaucoup plus que ce que chacun aurait pu imaginer…

Mon avis : Je n’ai pas encore lu le livre malgré son grand succès, je ne suis donc pas en mesure de faire une comparaison entre le film et celui-ci mais peut-être y reviendrai-je plus tard une fois que j’aurai lu le livre ?
Avant de me rendre en salle, je n’avais pas eu de très bons échos de celui-ci mais les arguments avancés ne m’avaient pas paru très objectifs. J’ai donc attaqué le visionnage du film avec un peu d’appréhension mais malgré la longueur de celui-ci, je ne me suis absolument pas ennuyé une seconde. Il y a certes de la violence mais celle-ci est affichée sans complaisance. Les paysages nordiques sont magnifiques et les acteurs sont convaincants. Bref, si vous êtes fan de thriller comme moi, vous devez voir ce film ou lire le livre, au choix.

Looking for Eric

Looking for Eric

Synopsis : Eric Bishop (Steve Evets) , postier à Manchester, traverse une mauvaise passe.
Sous son nez, ses deux beaux fils excellent dans des petits trafics en tous genres, sa fille lui reproche de ne pas être à la hauteur et sa vie sentimentale est un désert.
Malgré la joyeuse amitié et la bonne humeur de ses collègues postiers qui font tout pour lui redonner le sourire, rien n’y fait…
Un soir, Eric s’adresse à son idole qui, du poster sur le mur de sa chambre semble l’observer d’un oeil malicieux. Que ferait à sa place le plus grand joueur de Manchester United ?
Eric en est persuadé, le King Cantona, peut l’aider à reprendre sa vie en mains.

Mon avis : Jusqu’ici je n’ai jamais été trop fan d’Eric Cantona l’acteur contrairement au joueur bien entendu mais force est de constater qu’en jouant son propre rôle dans ce film j’ai aimé sa prestation. Ce film malgré son aspect “social” saura vous faire rire par ses nombreux rebondissements. Si vous ne l’avez pas encore vu et que vous êtes fan du joueur Eric Cantona, foncez, vous ne serez pas déçu !

La déferlante AKB48 !

Oui, comme beaucoup de petits français, j’ai moi aussi cédé aux sirènes des idols du AKB48… Pour ceux qui seraient complètement passés à côté de cet événement énorme (premier concert d’idols en France!), voici une petite présentation du groupe :

En décembre 2005, le producteur Yasushi Akimoto crée le groupe d’idoles AKB48 avec comme concept “Rencontrer de vraies idoles chaque jour”. En effet, les AKB48 se produisent presque tous les jours au théâtre AKB48 à Akihabara. Elles se sont déjà produites au “58ème Kôhaku uta gassen” (un show musical télévisé diffusé pour le nouvel an et très connu au Japon) en 2007, et ont même leur propre émission de télévision “AKBINGO!”. En Septembre 2008, il y a 18 membres dans l’équipe A, 16 membres dans l’équipe K et 17 membres dans l’équipe B, soit un total de 51 membres.

Contrairement à beaucoup de gens que je connais via le forum de Nolife, je n’ai pas découvert le groupe via la chaîne mais via un anime japonais que je suivais l’année dernière, Deltora Quest. En effet, leur chanson “Boku no Taiyou (僕の太陽)” avait été choisi pour être le second opening de la série. Malgré tout, à ce moment-là, je ne me suis pas trop intéressé au groupe pour autant. Un peu plus tard, je suis tombé par hasard sur un AKBingo l’émission du groupe et ça m’a bien fait marrer. Toutefois, je n’ai encore une fois pas poussé plus loin mon intérêt. C’est finalement suite à l’annonce de la venue du groupe à Japan Expo que j’ai vraiment franchi le pas et que je me suis acheté leur unique album studio qui contenait la plupart de leurs gros succès. Je me suis un peu plus renseigné sur les demoiselles qui composent ce grand groupe et j’ai complètement basculé le jour où Nolife a eu leur dernier PV à l’antenne, “Namida Surprise” puis la semaine suivante un ancien PV (mais très populaire) “Aitakatta” !

Comme souvent, on se dégage toujours une petite préférée. Pour ma part, mon coeur s’est portée pour la très populaire Acchan (Maeda Atsuko) malheureusement déjà impliquée dans un événement au Japon pendant Japan Expo donc non présente vous l’aurez compris. Une petite photo de la belle qui fête (OMG) aujourd’hui même ses 18 printemps !
Acchan

Mon report sur la venue du groupe en France :
Le 1er juillet 2009 avait lieu un événement particulier, un showcase à la fnac avec seulement trois membres, Kitahara Rie de la team A, Nito Moeno et Sashihara Rino de la team B. J’ai eu l’occasion de façon tout à fait fortuite de les croiser un peu plus tôt en haut des champs élysées :

Passée la petite déception de ne voir que trois membres, on profite du court showcase, trois chansons de stage (donc pas les plus connues sauf si on a déjà vu une dizaine de concerts) : “Tsundere!”, “Hearth Gata Virus” et “Kuroi Tenshi”. Ensuite, chose étonnante, la fnac annonce une dédicace alors que celle-ci n’avait jamais été confirmée de manière officielle… Et comme par hasard, alors que j’y avais pensé la veille j’avais oublié mon seul cd du groupe… Deuxième annonce derrière, des cds du groupe seront dispos et en vente dans l’heure qui suit !? On attend, on attend, toujours rien… La Fnac nous ballade d’un endroit à un autre du magasin… Finalement on rappelle les trois filles pour nous offrir un petit spectacle improvisé sur le concert diffusé derrière sur les écrans, on retrouve tout de suite le sourire ! Arrive enfin un peu plus tard, les fameux cds, uniquement des singles du groupe : “Oogoe Diamond”, “10 nen Zakura” et “Sakura no Hanabiratachi”, tous au prix de 36 € ! Et on nous annonce au même moment que seuls ces cds seront dédicacés !! Entre frustration et incertitude quant aux dédicaces à venir à Japan Expo, nous sommes nombreux à céder à l’arnaque organisée par le magasin… mais comme beaucoup on retiendra surtout le moment magique d’échange avec les trois membres du groupe avec pour ma part un “Je t’aime” de Nito Moeno 😀

3 juillet, deuxième jour de Japan Expo, le premier grand jour avec concert et dédicace du groupe à venir. Nous sommes fin prêt avec cd et dvd achetés la veille pour la dédicace et sticks fluos pour le concert. Première mauvaise nouvelle, vive l’orga de merde de la SEFA, ce sera soit le concert soit la dédicace étant donné que les billets pour celle-ci seront distribués pendant le concert… Nous portons alors notre choix sur la dédicace en pensant assisté au deuxième concert le lendemain. L’heure fatidique arrive, nous obtenons nos billets. Un peu plus tard, nous nous rendons à l’espace dédicace et le groupe Ra:In n’a toujours pas fini sa séance, encore et toujours du retard… 9 membres des AKB arrivent et c’est l’anarchie, tout le monde double dans la file sauf nous, “personnes civilisées”, qui nous retrouvons donc dans le dernier carré. Les dédicaces commencent, on nous rappelle que seul un produit officiel du groupe sera dédicacé par chaque membre et non uniquement le poster vendu 10 € par Japan Expo comme dit auparavant ! Vive les pompes à fric ! Comme attendu, l’orga ne surveille rien et nombreux sont les personnes qui se font dédicacer 2 voire 3 produits par chaque membre. Arrive notre tour et surprise, on nous annonce qu’on a plus le temps, qu’il y a déjà trop de retard, donc une seule dédicace d’un seul membre possible pour nous ! On tape le scandale et on nous rétorque c’est ça ou rien ! En bon français qui se respecte, on essaye au maximum de gruger comme on peut, j’arrive finalement à avoir 3 signatures sur 9 avant de me faire sortir… Un peu énervé, nous nous rendons au point d’informations pour exprimer notre mécontentement et on nous promet une compensation pour le lendemain.

4 juillet, la journée AKB48 par excellence avec conférence, concert puis dédicace ! Dès le matin, on se rend de nouveau au point d’informations et là surprise (ou pas!) on nous dit qu’on aura droit à une dédicace comme les autres si on obtient un billet…. Sympa la compensation ! Bref, on est reparti pour une queue et cette fois-ci, on obtient gain de cause en obtenant les billets beaucoup plus tôt que prévu nous laissant ainsi le temps de se rendre à la conférence. On se dirige donc vers le lieu dédié. On se fait remarquer avec nos pancartes (hihi) et on écoute les réponses aux différentes questions posées par le public. Certaines sont intéressantes d’autres complètement nases genre “vous avez des petits amis?”… Ensuite, direction la salle de concert, on en profite pour taper la discut’ avec les wotas japonais qui ont fait le déplacement puis on croise le groupe en ballade pour la promotion du concert à venir. On se pose en attendant le concert, chacun prépare son matos, APN, caméscope, sticks fluos voire pancartes (la mienne a eu du succès :p). La salle ouvre ses portes et on court pour être le plus près possible de la scène (qui a dit pour mieux voir les petites culottes ?).
En voici la setlist :

– Aitakatta
– 10 nen Zakura
– Namida Surprise
– MC: présentation des membres. (Bônjyiu! Jé mapéru xxx)
– Glass no I LOVE YOU (Kitahara, Sashihara, Nitou, Kobayashi)
– Kinjirareta Futari (par Rena Matsui et Tomomi Kasai)
– Nage KISSU de uchi otose!
– Himawari (par Meetan, Nonti, Sayaka et Mocchi)
– Bingo (en anglais)
– Oogoe Diamond (en anglais)
– Sakura no hanabiratachi (refrain en français!)

Le concert une fois fini, on court à la la salle de dédicace. Nous sommes cette fois-ci parmi les premiers mais il y a moins de dédicaces de prévu et on est vite expédié, pas trop le temps de taper la discut’ avec les membres donc mais j’ai quand même pu bien échanger avec Sayaka qui était impressionné par mon japonais et surtout avec Rie-chan, mon gros coup de coeur et sûrement ma nouvelle préférée (na! t’avais qu’à venir Acchan!).
Pour finir, une petite photo de Rie-chan pour que vous voyez de qui je parle :