En ce jeudi 3 juillet 2008, après un dernier rapide passage à mon boulot, j’arrivais à 11h au Parc des Expositions de Paris-Nord Villepinte pour ma toute première Japan Expo. Sur place, je me dirigeais vers l’accueil VIP où j’étais sensé récupérer mon billet Zen. Dans la queue, je croisais une grande partie du staff de Nolife. Arrivé devant l’hôtesse d’accueil, on m’annonçait que pour mon billet il était inutile de faire la queue à cet endroit et que je devais simplement rejoindre la queue Zen avec mon papier imprimé… 20 minutes d’attente pour rien, vive l’organisation… Je rejoignais donc derrière la dite queue et j’entrais dans l’expo aux environs de 11h40.
Dès mon entrée, je cherchais le stand Kaze. Arrivé devant, je croisais Mr Poulpe himself (pour la première fois) et lui lançait fièrement “je vais acheter la saison 2 de Nerdz”. Sa réponse ne se fît pas attendre : “Vas-y vite, tout de suite !”. J’achetais donc mon box DVD. Derrière, je faisais un petit tour dans les environs et je tombais sur une distribution de ticket au stand Dybex. Intrigué, je me mettais dans la file et je récupérais bientôt un ticket pour la dédicace de Mr Kawamoto (auteur de Cowboy Bebop).
Je me dirigeais ensuite vers le stand Nolife. A mon arrivée, le stand était encore en phase d’installation, pas encore de caisse pour pouvoir acheter les jolis goodies en exclusivité… Je récupérais au point info juste à côté le plan de la convention et me rendais à la salle de dédicace 1 pour la dédicace de l’équipe de Nerdz. Sur place, je retrouvais Soubi, un membre du forum nolife et je voyais débarquer bientôt tout une flopée de gens du forum. Mon tour venu, je filmais les dédicaces tout en conversant avec les acteurs. En quittant l’estrade je disais au revoir à l’équipe et réussissait à feinter Poulpy, qui avait tenté le doigt d’honneur, en coupant la caméra au bon moment.
Dédicaces de Davy et Maelys
Dédicace de Didier
Dédicace de Mr Poulpe
achat stand nolife / dédicace de Suzuka
Mes achats sur le stand nolife
dédicace de Suzuka-san
Ma Nintendo DS a été nolifée !!
Concert de Aoi
Lapins crétins avec la team nerdz chez Ubisoft. Pour le délire, on récupère un masque offert.
En ce mardi 1 juillet 2008, j’avais rendez-vous à 20h à la Maison de la Culture du Japon à Paris pour la représentation de Kyôgen de la Compagnie Shigeyama.
Tout d’abord, qu’est-ce que le Kyôgen me direz-vous ?
Kyôgen signifie “paroles folles” en français, tout du moins c’en est la traduction littérale. Le Kyôgen est une forme théâtrale japonaise apparue au XIVème siècle. Les saynètes de Kyôgen constituaient à l’origine l’intermède comique du théâtre Nô. Elles libèrent par le rire la tension tragique du Nô.
Maintenant, une petite présentation des protagonistes de la Compagnie Shigeyama :
– Shime Shigeyama : né à Kyôto en 1947, il apprend dès l’âge de 4 ans le kyôgen. En 1992, à l’âge de 45 ans, il devient “important bien culturel vivant” puis reçoit l’année suivante le prix de la ville de Tôkyô pour l’ensemble de ses travaux. Il voyage à travers le monde pour présenter son art depuis le milieu des années 80.
– Ippei Shigeyama : Fils de Shime Shigeyama, il a été formé par son grand-père dès l’âge de 4 ans comme le veut la tradition japonaise. Acteur brillant, il a acquis une grande renommée dans son pays. Il joue notamment au cinéma et dans des séries télévisées de la NHK.
– Osamu Kuroi : Il a été formé par Chuzaburô Shigeyama IV. Diplomé de l’Université des Arts d’Ôsaka, section d’art scénique. Il a également étudié à l’Ecole Nationale d’art dramatique Claude Debussy et a été chercheur à l’Institut d’études théâtrales de l’Université Paul Valéry à Montpellier.
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Au programme nous attendait 2 saynètes : Ficelé au baton et le saké de la tante. Dans la première saynète, un maître déplore que pendant son absence ses deux disciples boivent systématiquement son saké. Et en ce jour où il doit de nouveau s’absenter, il envisage de ficeler ses disciples afin garder son saké intact. Bien évidemment, comme vous vous en doutez, malgré le fait qu’il réussira par la ruse à ficeler ses disciples, ceux-ci trouveront encore le moyen de boire son précieux saké…
Dans la deuxième saynète, l’un des deux disciples de la saynète précédente décide de rendre visite à sa tante, vendeuse de saké. Mais malheureusement pour lui, sa tante s’obstine à lui refuser de goûter son saké. Le neveu, déçu, prend congé de sa tante mais en chemin une idée lui vient à l’esprit. Il rend de nouveau visite à sa tante et lui annonce qu’un terrible démon sévit dans la région la nuit tombée et s’en va. Il revient une nouvelle fois dans la nuit, cette fois-ci déguisé en démon, et s’en prend à sa tante. Il parvient donc à assouvir son fantasme mais semble oublier les effets de la boisson…
Au final, j’aurais passé une agréable moment et j’aurais beaucoup ri. J’espère maintenant avoir la chance de découvrir le théâtre Nô à la MCJP ou au Japon qui sait…
Lorsque j’ai appris que le groupe qui a composé la musique du générique de la série Nerdz était en concert dans un petit bar de Paris, je me suis dit que cela pourrait être une sortie sympa et l’occasion pour moi de découvrir un bar parisien où sortir à l’avenir.
Le concert avait donc lieu le dimanche 29 juin à 20h au Motel à Paris, soir de la finale de l’Euro. J’arrivais sur place aux environs de 19h20, je découvrais donc un lieu atypique avec un style un peu ancien. Le bar en lui-même est aussi assez petit mais les prix pratiqués sont très bon marché !! C’est “Happy Hour” jusqu’à 21h !
Je commandais rapidement un petit demi (à 2 € 40 !) et essayait de motiver par téléphoner quelques amis mais aucun n’aura la motivation pour venir… Tant pis (pour eux), je profiterais de ce concert tout seul. En attendant l’heure du concert, j’assistais aux mises au point du matériel et aux répétitions test. J’apercevais rapidement Didier (Jérôme dans Nerdz) venu lui aussi assisté au concert (en fait c’est grâce à son annonce sur Facebook que j’ai su pour le concert). Le concert prenait un peu de retard à cause de légers problèmes techniques et commençait vers 20h20 environ.
Avant le groupe tant attendu, c’est une invitée du groupe qui fait la première partie, Mina Tindle. Une très belle surprise pour l’ensemble de l’assemblée. On découvrait là une belle jeune femme avec une très belle voix. Je vous invite d’ailleurs à visiter son myspace ici.
Derrière, en attendant Milk & Fruit Juice, petite entracte qui me donnait l’occasion d’échanger 2-3 mots avec Davy (Régis-Robert dans Nerdz) lui aussi présent. Ensuite, le show commençait ! Le groupe nous remerciait d’être présent en ce fameux soir de finale de l’Euro et un espoir d’une victoire allemande était lancé car l’album du groupe dont la sortie était prévu pour ce même concert est toujours bloqué en Espace par les routiers. Le groupe affichait un look décontracté, seul le batteur du groupe se prenait au jeu du déguisement en affichant un masque blanc sur le visage et un joli t-shirt interactif qui réagissait à l’ambiance sonore. Les morceaux s’enchaînaient dans différents styles avec entre autre l’utilisation de Ukulélé et xylophone. Le batteur se faisait aussi remarquer par ses prestations à la Wiimote/nunchuk ou encore à la Guitare de Guitar Heroe. Des solos et des morceaux avec choristes s’offraient à nous. Au final, un concert de toute beauté ! Je vous invite là aussi à visiter le myspace du groupe ici.
Pour finir, une nouvelle petite discution avec Davy et Rémy puis direction métro et la maison. Une bien belle soirée une nouvelle fois ^^
Après Kokia et l’Arc~en~Ciel, voici donc mon troisième concert de J-Music en seulement 4 mois !! Et, avec la Japan Expo 9 qui s’annonce bientôt ce nombre va littéralement exploser !!
Cette fois-ci, c’était le groupe de hip-hop japonais bien connu des fans de la chaîne nolife, Halcali. Avant de rentrer dans les détails du concert du groupe, une petite présentation de celui-ci s’impose.
Le groupe Halcali est composé de 2 filles, Haruka et Yukari d’où le nom du groupe. Hal pour Haruka et cali pour Yukari. Les 2 demoiselles se sont rencontrées pendant leur enfance dans une école de danse. Ensemble, elles ont remporté le grand prix Female Rapper Audition. En 2002, elles ont fait leur début sur scène devant 10 000 spectateurs, lors du concert de Rip Slyme à Tôkyô. Leur premier single a été un succès ; les suivants ont été classés parmi les meilleures ventes de l’Oricon chart, le chart le plus connu au Japon. Avec leur premier album, elles ont même atteint la 5ème place. 2004 a été l’année de leur consécration : elles ont remporté le Prix du jeune artiste de l’année au Japan Gold Disc Award.
Le groupe était venu pour un double concert à la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) : un premier le 20 juin réservé aux adhérents MCJP et un deuxième le 21 juin (jour de la fête de la musique) en entrée libre. J’ai eu la chance d’assister aux 2 prestations et on peut déjà dire que celles-ci ont été totalement différentes.
Concert du 20 juin :
La soirée commençait à 20H00 par un discours ému du président de la MCJP qui tenait à remercier les adhérents de leur présence et fidélité car depuis onze ans qu’existe ce lieu de rendez-vous, il a connu une augmentation croissante du nombre d’adhérent.
Dix minutes plus tard, le DJ qui accompagne le groupe apparaissait sur scène. Les deux jeunes filles débarquaient une minute plus tard et le concert commençait enfin par le morceau “It’s PARTY TIME!”. Yukari, la plus pétillante des deux chanteuses, invitait rapidement le public à se lever. Mais autant le dire tout de suite, le public n’était pas vraiment en adéquation avec le style de musique du groupe, il était identique en grande partie à celui du concert de Koto où j’étais 2 semaines plus tôt, soit âgé de 50-60 ans.
Elles enchaînaient avec le morceau “Marching March”. Plus tard, on avait le morceau “Tip Taps Tip”. Puis “LOOK”, classé classique sur nolife, “Giri Giri Surf Rider”… Vers le milieu du concert, un certain nombre de personnes avaient déjà quitté la salle…
Arrivaient bientôt (bien trop vite) la dernière chanson. Le groupe quittait la scène et le public réactif attendait avec impatience le rappel. Une nouvelle fois, le DJ était le premier sur scène avec un joli t-shirt blanc “I love Paris”. Puis, les filles arrivaient avec le même t-shirt en noir.
3 nouvelles chansons dont “Twinkle Star” et “Cyborg Oretachi” en guise de conclusion.
Derrière un pot était offert aux personnes présentes pour ce concert avec pour amuse gueule des macarons. Le dernier album dédicacé par le groupe étant en vente pour la modique somme de 15 €, autant dire que j’ai sauté dessus. Et une bonne heure plus tard, j’étais chez moi bien décidé à renouveler l’expérience le lendemain soir où normalement le public s’annonçait bien différent.
Concert du 21 juin :
Hier, pour le deuxième concert, une ambiance donc totalement différente. Déjà, en arrivant vers 16h45, je croisais un membre du forum de nolife. On discutait et “Oh, mais c’est Haruka et Yukari !”. Il était 17h07 et les filles du groupe passaient devant nous tenue de scène à la main. Les autres membres du forum attendus arrivaient ensuite au fur et à mesure.
Vers 18h, on rentrait à l’intérieur de la MCJP car la file d’attente n’allait pas tarder à se former. La sécurité arrivait peu après et on était les premiers dans la file ! Derrière, c’était l’attente. Les plus prévoyants sortaient leur DS.
Durant l’attente, on apercevait du staff de nolife : Josaudio puis Caroline et enfin Didier et Clément.
19h, on récupérait nos places et filions au niveau -3. Une nouvelle période d’attente se profilait.
Durant ce laps de temps, certains en profitaient pour acheter l’album dédicacé du groupe.
Le staff nolife réapparaissaient plus tard par la porte VIP et les reprises de musique de la chaîne se faisaient entendre.
20h environ, on rentrait enfin dans la salle et on se jetaient sur les 2 premiers rangs. De nouveau, l’attente. Puis bientôt le DJ du groupe se présentait et la salle commençait à bouillonner. Là, on voyait arriver devant nous dans la mini-fosse entre la scène et le 1er rang une troupe de fans survoltés. Ni une ni deux, on se levait à notre tour pour les rejoindre. Haruka et Yukari rentraient ensuite en scène et la folie s’emparait des lieux sur “It’s PARTY TIME!”.
Les titres s’enchaînaient et de plus en plus de monde envahissaient la fosse. Sur “LOOK”, c’était le tremblement de terre et en me retournant je découvrais à côté de moi Clément, Caroline et Didier.
Les filles sur scène se donnaient à 400%, encore bien plus que la veille où malgré la tiédeur du public elles n’avaient rien lâché !
Arrivé à la dernière chanson, même topo que la veille : impatiente du public pour le rappel, générale cette fois-ci. Puis les différents protagonistes revenaient avec leur t-shirt “I love Paris”.
A la sortie, photos et discussions enflammées avec le staff nolife. Au passage, on récupérait une pochette au stand des ventes de CD.
Plus tard, petit restaurant japonais (ou chinois plutôt…) entre membres du forum.
Et, enfin, pour clôturer la soirée en beauté (pour ceux qui étaient restés), petite rencontre avec le groupe et photo improvisée.
Ah, une bien belle soirée 😀
Setlist des 2 concerts (sensiblement dans le même ordre) :
1. It’s PARTY TIME
2. Marching March
3. Koi no BUBUBUN
4. Girl! Girl! Girl!
5. Tip Taps Tip
6. Clutch
7. Hello,Hello,Alone
8. Stylee Stylee
9. LOOK
10. check!!check!!it!!
11. Ai
12. Sister Ship
13. ZIG ZAG ZIG SATURDAY NIGHT
14. Giri Giri Surf Rider
15. A One two
16. Wakakusa DANCE
17. HaruKari Michi ~19 no Yoru~
——— RAPPEL ————-
18. Twinkle Star
19. Cyborg Oretachi
20. Tandem
C’est courant 89 que j’eus ma toute première console de jeu, l’illustre Atari 2600 avec le jeu « Berzerk », jeu de shoot multi-directionnel. En plus d’une photo de la console et d’un screenshot du jeu, je vous propose carrément une vidéo du jeu en bonus.
Le noël de la même année, j’eus la console que tout le monde rêvé de posséder à l’époque, la NES de Nintendo avec les jeux « Super Mario Bros » et « Duck Hunt ». Que d’heures passés sur ces 2 jeux mythiques, et beaucoup d’énervement aussi après les moqueries du chien de Duck Hunt !
Je jouais aussi beaucoup, chez un ami, au jeu « Donkey Kong » pour sauver notre princesse préférée. C’est également chez un ami que je découvris le « Legend of Zelda », mon tout premier jeu d’aventure. Je peux également citer les autres jeux qui m’avaient marqué à l’époque : Double Dragon, Megaman, Paperboy, Probotector, Soccer, Teenage Mutant Ninja Turtles.
Courant 90, c’était la Game Boy première génération de Nintendo qui franchisait le seuil de notre porte avec le jeu à forte addiction, Tetris. Pour dire, c’est grâce à ce jeu qu’on a réussi à faire jouer ma mère pour la première fois !
Derrière on récupérait une vieille Sega Master System d’occasion avec le jeu Alex Kidd intégré à la console.
Courant 92, nouvelle console portable : Sega Game Gear avec le jeu « Sega Game Pack 4 in 1 » qui comme son nom l’indique comportait 4 jeux : Columns (réponse de Sega au Tetris de Nintendo), un jeu de tennis, un jeu de foot et un jeu de course de voiture. Si les jeux de cette console étaient tout simplement somptueux pour l’époque le gros problème de la console venait de l’autonomie de celle-ci. En effet, il fallait 4 piles alcalines pour la faire tourner et celles-ci se vidaient en 30 minutes environ !! Autant dire que l’investissement dans un câble secteur était obligatoire ! C’est ce gros défaut de conception qui coutera très cher à la firme Sega.
Noël 92, nouvelle révolution à la maison avec l’arrivée de ma console préférée, la Super Nintendo avec le jeu « F-Zero », qui reste selon moi le meilleur de la série.
Comme ne pas parler ici des très nombreux jeux qui m’ont marqué sur cette console : Super Mario Kart, Super Mario World, Street Fighter II, Battletoads, Donkey Kong Country 1 à 3, Dragon Ball Z 1 à 4, Earthworm Jim, ISS Deluxe, Killer Instinct, Legend of Zelada : A link to the past, Megaman X, Mortal Kombat, NBA Jam, Sim City, Star Fox, Super R-Type. Comme vous pouvez le voir au nombre de jeux cités, cette console m’a vraiment marqué !
5 ans plus tard, pour le noël de l’année 97, on recevait la console nouvelle génération full 3D, la Nintendo 64 avec le jeu « Super Mario 64 ».
Cette console m’aura apporté de bons moments mais moins que la Super Nes. Je retiendrais quand même certains jeux : Mario Kart 64, Super Smash Bros, The Legend of Zelda : Ocarina of Time et Majora’s Mask, Mario Tennis, Banjo-Kazooie, Golden Eye 007, Diddy Kong Racing.
Courant 99, nous faisions enfin l’acquisition de la Sony Playstation avec le jeu « Final Fantasy VII », mon premier RPG et quel RPG !!
Bon j’ai aimé pas mal de jeu sur cette console mais j’en arrive rapidement à ma console suivante qui permettait de rejouer à ces jeux, la Sony Playstation 2, achetée courant 2001. Mon premier jeu sur cette console fut le premier Pro Evolution Soccer, suite du magique ISS de Super Nintendo.
Sur cette console que je possède toujours, j’ai donc eu tour à tour toutes les versions possibles des PES sauf que depuis 3 ans je ne prends que les versions japonaises du jeu qui s’appellent Winning Eleven. J’ai Final Fantasy X, NBA 2k6, WRC 2005, NBA Street V3, Naruto Narutimate Hero 1 à 3, Dragon Quest VIII, DBZ Budokai Tenkaichi, Fighting for One Piece, Bleach Erabareshi Tamashii, Berserk : sword of the Berserk, Fullmetal Alchemist Dream Carnaval. Autant dire que beaucoup de ces jeux sont en japonais et que je ne les ai pas fini…
Courant 2005, j’achetais la Nintendo Gamecube avec le jeu « Zelda Wind Waker », premier Zelda en cell shading.
Noël 2007, j’achetais la Nintendo Wii en revendant la Gamecube car les jeux sont compatibles (enfin!) avec la nouvelle console. Comme tout le monde, j’ai eu le jeu Wii Sport et je me suis procuré Wii Play pour la deuxième manette. J’attends Mario Kart Wii et Wii Fit sans parler des nombreux jeux Gamecube que je possède encore : Metroid Prime, F-Zero GX, Starfox Adventures, Final Fantasy Crystal Chronicles, Donkey Kong Jungle Beat, Mario Kart : Double Dash, Mario Smash Football, Mario Party 7, Zelda Four swords adventures.
Enfin, août 2008, j’achetais une Nintendo DS Lite avec Final Fantasy III.
Il y a peu encore, je n’osais pas regarder en arrière et ne voulait voir que les nouveautés du jeu vidéo. Mais, avec l’arrivée de la Nintendo Wii et des émissions comme « Rétro & Magic », « Hidden Palace » ou « Mon souvenir » (de la chaîne nolife), j’ai redécouvert le côté fun du jeu où on prend plus de plaisir dans le gameplay que dans le graphisme. Sur Wii, par exemple, j’ai racheté via la console virtuelle des jeux mythiques : « Metal Slug », « Bomberman 93 », « Donkey Kong Country » et « Super Street Fighter II : The New Challengers ».
Metal Slug
Bomberman 93
Street FighterII
Derrière, je me suis racheté la console qui reste pour moi l’âge d’or de Nintendo, la console qui m’a procuré le plus de plaisir en son temps : la Super Nintendo. Je l’ai racheté avec le jeu « Flashback » et je compte bien remettre la main sur d’autres jeux de la console dont certains qui doivent encore traîner chez ma mère.
Super Nintendo
Flashback
Enfin, sur PC, je me suis racheté des anciens jeux de mon éditeur préféré Blizzard : Warcarft II, Diablo II et Starcraft avec les extensions à chaque fois. Je me suis de plus procuré un jeu auquel j’avais seulement à peine joué, à l’époque, chez mon cousin : Another World dans sa version remastérisée pour les 15 ans du jeu.
Après avoir vu cette même collection dans l’émission “Chez Marcus” pour la présentation du nouveau Mario Kart Wii, j’ai voulu moi aussi l’avoir. J’ai tout de même attendu quelque semaines histoire de l’avoir en même temps que le jeu commandé sur Internet. Malheureusement le site où je l’ai commandé accuse de gros retard sur l’envoi et j’ai donc finalement craqué en achetant la collection complète à un magasin italien sur ebay pour la modique somme de 30€ port compris 😀
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